Petit rappel des faits.
Oihana Voyages est membre de TourCom depuis quelques années déjà.
Son patron, Jakes Salaberry en est même administrateur. Jusque-là, tout va bien.
Sauf que, un beau jour du printemps 2012, Jakes ose demander au Président du réseau, Richard Vainopoulos, quelques explications sur les comptes du réseau.
Il estime en effet, au titre d'adhérent, normal d'être informé sur les résultats de l'association et de pouvoir comprendre comment fonctionne financièrement le réseau.
Enfer et damnation, comme on dit dans les bonnes BD.
La réponse du président est cinglante: "Les basques (Salaberry est basque, son agence est située à Bayonne), vous êtes gentils, mais j'ai autre chose à faire"!
Propos injustifiés, estime Salaberry qui préfère quitter le conseil.
Bien évidemment, la réplique est immédiate et en Septembre 2012, Oihana Voyages est viré du réseau.
En clair, qui êtes-vous pour oser demander où va l'argent du réseau.
Le Basque insiste. Fallait pas… Convoqué d'urgence au siège du réseau à Paris, il comparait devant le bureau composé ce jour-là de Richard Vainopoulos, Patrick Loison, Michel Jouannot et Antoinette Raymond.
L'entretien sera bref et pas du tout cordial. Le Président du réseau indique à Jakes Salaberry que des "réceptifs" se sont plaints de ses agissements.
Oihana Voyages est membre de TourCom depuis quelques années déjà.
Son patron, Jakes Salaberry en est même administrateur. Jusque-là, tout va bien.
Sauf que, un beau jour du printemps 2012, Jakes ose demander au Président du réseau, Richard Vainopoulos, quelques explications sur les comptes du réseau.
Il estime en effet, au titre d'adhérent, normal d'être informé sur les résultats de l'association et de pouvoir comprendre comment fonctionne financièrement le réseau.
Enfer et damnation, comme on dit dans les bonnes BD.
La réponse du président est cinglante: "Les basques (Salaberry est basque, son agence est située à Bayonne), vous êtes gentils, mais j'ai autre chose à faire"!
Propos injustifiés, estime Salaberry qui préfère quitter le conseil.
Bien évidemment, la réplique est immédiate et en Septembre 2012, Oihana Voyages est viré du réseau.
En clair, qui êtes-vous pour oser demander où va l'argent du réseau.
Le Basque insiste. Fallait pas… Convoqué d'urgence au siège du réseau à Paris, il comparait devant le bureau composé ce jour-là de Richard Vainopoulos, Patrick Loison, Michel Jouannot et Antoinette Raymond.
L'entretien sera bref et pas du tout cordial. Le Président du réseau indique à Jakes Salaberry que des "réceptifs" se sont plaints de ses agissements.
Viré sans indemnités ni "supercommissions"...
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Sans indemnités, bien entendu et sans pouvoir toucher les "supercommissions".
Une mésaventure qui est déjà arrivée à un certain nombre d'adhérents (et qui continue d'ailleurs). Mais, jusqu'à présent, personne n'avait bougé.
Pour le Basque, pas question de se faire enfumer. "Je suis dans mon bon droit, estime-t-il, appuyé d'ailleurs par les témoignages des réceptifs cités par Vainopoulos" !
Et, immédiatement, assignation et plainte contre le réseau. Oihana Voyages réclame purement et simplement sa réintégration, assortie d'une compensation financière pour le préjudice subit de 120.000€
L'audience s'est déroulée hier, sous les ors du TGI de Paris. Pour TourCom, maitre Robin Castel a immédiatement demandé "l'irrecevabilité concernant les sociétés TourCom Affaires et TourCom solidarité, soulignant au passage "la volonté de nuire de Jakes Salaberry au Président de Tourcom".
Il balaye d'un revers de manche la demande de versement des "supercommissions", auguant que les statuts du réseau mentionnent qu'un adhérent doit faire partie du réseau à la date de versement, c’est-à-dire le 15 juillet.
Sans grande conviction, aurions-nous tendance à penser, et sous les regards interrogateurs des trois juges.
Pour sa part, le conseil d'Oihana Voyages relève l'incohérence des griefs faits à son client, souligne le préjudice important qu'il a connu et réclame sa réintégration au sein du réseau.
Pour faire bonne mesure, il ajoute un dédommagement pour le préjudice subi de... 120.000€ !
Dans sa grande sagesse, le Tribunal a mis sa décision en délibéré jusqu'en début mai prochain…
Une mésaventure qui est déjà arrivée à un certain nombre d'adhérents (et qui continue d'ailleurs). Mais, jusqu'à présent, personne n'avait bougé.
Pour le Basque, pas question de se faire enfumer. "Je suis dans mon bon droit, estime-t-il, appuyé d'ailleurs par les témoignages des réceptifs cités par Vainopoulos" !
Et, immédiatement, assignation et plainte contre le réseau. Oihana Voyages réclame purement et simplement sa réintégration, assortie d'une compensation financière pour le préjudice subit de 120.000€
L'audience s'est déroulée hier, sous les ors du TGI de Paris. Pour TourCom, maitre Robin Castel a immédiatement demandé "l'irrecevabilité concernant les sociétés TourCom Affaires et TourCom solidarité, soulignant au passage "la volonté de nuire de Jakes Salaberry au Président de Tourcom".
Il balaye d'un revers de manche la demande de versement des "supercommissions", auguant que les statuts du réseau mentionnent qu'un adhérent doit faire partie du réseau à la date de versement, c’est-à-dire le 15 juillet.
Sans grande conviction, aurions-nous tendance à penser, et sous les regards interrogateurs des trois juges.
Pour sa part, le conseil d'Oihana Voyages relève l'incohérence des griefs faits à son client, souligne le préjudice important qu'il a connu et réclame sa réintégration au sein du réseau.
Pour faire bonne mesure, il ajoute un dédommagement pour le préjudice subi de... 120.000€ !
Dans sa grande sagesse, le Tribunal a mis sa décision en délibéré jusqu'en début mai prochain…