"On sait que la technologie vient de percuter de plein fouet l’industrie. La pandémie a complètement rebattu les cartes et la digitalisation ramassé la mise. Alors on fait quoi face à cette nouvelle donne ?/crédit DepositPhoto
Les acteurs traditionnels du business travel vont devoir passer la surmultipliée pour contrer la révolution copernicienne en cours. Oui, le voyage d’affaires va devoir refaire ses gammes et changer d’ère.
Oui, quelles que soient les options retenues, il ne sera jamais le même.
Et faire le dos rond en attendant que l’orage passe, serait une grave erreur. Tous les acteurs du secteur s’accordent, plus ou moins, là-dessus.
Bien entendu, une fois qu’on a dit ça, le problème reste entier. Changer pourquoi, quand, comment et pourquoi faire ?
Car force est de constater que le BT ne signifie pas la même chose pour tout le monde… Quelle comparaison entre les poids lourds du secteur qui visent les entreprises du CAC40 et la TPE du bout de la rue dont le dirigeant confie ses déplacements à l’agence de voyage de quartier ? Entre les deux extrêmes, où placer le curseur ?
Oui, quelles que soient les options retenues, il ne sera jamais le même.
Et faire le dos rond en attendant que l’orage passe, serait une grave erreur. Tous les acteurs du secteur s’accordent, plus ou moins, là-dessus.
Bien entendu, une fois qu’on a dit ça, le problème reste entier. Changer pourquoi, quand, comment et pourquoi faire ?
Car force est de constater que le BT ne signifie pas la même chose pour tout le monde… Quelle comparaison entre les poids lourds du secteur qui visent les entreprises du CAC40 et la TPE du bout de la rue dont le dirigeant confie ses déplacements à l’agence de voyage de quartier ? Entre les deux extrêmes, où placer le curseur ?
La techno vient de percuter de plein fouet l’industrie
Un exemple nous montre la diversité et la complexité du voyage d’affaires. Du Travel Manager au voyageur final, de la politique voyage à la stratégie de déplacement, il y a lieu de placer toute la chaîne : TMS, agences, plateaux, technologies, self booking tools, transporteurs, hôteliers, concierges…
Quid de la place de chacun dans l’échiquier de demain ? Y aura-t-il assez de cases pour tout le monde où va-t-on tout droit vers un jeu de chaises musicales ?
A l'équation il faut rajouter d’autres inconnues : l’empreinte carbone de l’entreprise, sa politique RSE et last but not least, son efficacité.
Car parfois, pression sociétale et politiquement correct obligent, on en oublierait presque que la vocation première d’une firme est de générer du profit, n’en déplaise à ceux qui trouvent le terme péjoratif. Oui, le profit c’est ce qui permet de créer des emplois et de créer des richesses.
On sait que la technologie vient de percuter de plein fouet l’industrie. La pandémie a complètement rebattu les cartes et la digitalisation ramassé la mise. Alors on fait quoi face à cette nouvelle donne ?
Le premier constat a été acquis sous la “contrainte”. Oui, il est possible d’organiser des réunions à distance qui tiennent la route et de réduire les déplacements. Ce n’est pas une découverte fondamentale mais cette modalité fait désormais figure de règle sinon de principe. Auparavant, elle était l’exception.
Quid de la place de chacun dans l’échiquier de demain ? Y aura-t-il assez de cases pour tout le monde où va-t-on tout droit vers un jeu de chaises musicales ?
A l'équation il faut rajouter d’autres inconnues : l’empreinte carbone de l’entreprise, sa politique RSE et last but not least, son efficacité.
Car parfois, pression sociétale et politiquement correct obligent, on en oublierait presque que la vocation première d’une firme est de générer du profit, n’en déplaise à ceux qui trouvent le terme péjoratif. Oui, le profit c’est ce qui permet de créer des emplois et de créer des richesses.
On sait que la technologie vient de percuter de plein fouet l’industrie. La pandémie a complètement rebattu les cartes et la digitalisation ramassé la mise. Alors on fait quoi face à cette nouvelle donne ?
Le premier constat a été acquis sous la “contrainte”. Oui, il est possible d’organiser des réunions à distance qui tiennent la route et de réduire les déplacements. Ce n’est pas une découverte fondamentale mais cette modalité fait désormais figure de règle sinon de principe. Auparavant, elle était l’exception.
Le rôle de l'agent de voyage doit évoluer
Même vécue sous contrainte et avec tous les défauts qu’on lui connaît, la visioconférence fait le job. Les entreprises sont quasi-unanimes sur cette question.
Cela ne règle pas tous les problèmes, loin de là. Pour certains c’est vécu comme un emplâtre sur un jambe de bois. Pour d’autres, c’est l’un des effets vertueux de la pandémie.
Mais une chose est sûre : la technologie progresse, les GAFAM sont en embuscade, les mentalités changent et nécessité fait loi. Voilà comment la digitalisation des rendez-vous s’est, peu à peu, imposée en quelques mois dans nos sociétés.
Bien entendu, cela ne suffira pas. La rencontre humaine est irremplaçable dans un processus commercial, celui qui nous intéresse ici. Bien entendu, les hommes d’affaires continueront de se déplacer.
Mais les relations du business travel avec toutes ses composantes seront profondément altérées dans les mois et les années à venir. Les relations du Travel manager (ou du chef d’entreprise) avec son agence vont être bouleversées. Particulièrement au niveau des grilles de rémunération.
Le rôle de l'agent de voyage doit évoluer pour passer de l'expert d'outils complexes à l'expert de la relation client," soulignait à juste titre, Laurent La Rocca, PDG de The Treep, dans le dernier Grand Live du Voyage d’Affaires de CDS Group
En effet, quel sera la valeur ajoutée de la TMS dans le business travel de demain ?
Ce sont tous ces enjeux qui seront abordés dans la nouvelle verticale Travel Manager Mag de votre portail préféré. Avec notre partenaire CDS Group, nous allons accompagner et donner la parole aux acteurs incontournables de l’industrie pour mieux présenter, éclairer et analyser les (nombreux) défis qui se profilent et vont impacter le secteur.
Cela ne règle pas tous les problèmes, loin de là. Pour certains c’est vécu comme un emplâtre sur un jambe de bois. Pour d’autres, c’est l’un des effets vertueux de la pandémie.
Mais une chose est sûre : la technologie progresse, les GAFAM sont en embuscade, les mentalités changent et nécessité fait loi. Voilà comment la digitalisation des rendez-vous s’est, peu à peu, imposée en quelques mois dans nos sociétés.
Bien entendu, cela ne suffira pas. La rencontre humaine est irremplaçable dans un processus commercial, celui qui nous intéresse ici. Bien entendu, les hommes d’affaires continueront de se déplacer.
Mais les relations du business travel avec toutes ses composantes seront profondément altérées dans les mois et les années à venir. Les relations du Travel manager (ou du chef d’entreprise) avec son agence vont être bouleversées. Particulièrement au niveau des grilles de rémunération.
Le rôle de l'agent de voyage doit évoluer pour passer de l'expert d'outils complexes à l'expert de la relation client," soulignait à juste titre, Laurent La Rocca, PDG de The Treep, dans le dernier Grand Live du Voyage d’Affaires de CDS Group
En effet, quel sera la valeur ajoutée de la TMS dans le business travel de demain ?
Ce sont tous ces enjeux qui seront abordés dans la nouvelle verticale Travel Manager Mag de votre portail préféré. Avec notre partenaire CDS Group, nous allons accompagner et donner la parole aux acteurs incontournables de l’industrie pour mieux présenter, éclairer et analyser les (nombreux) défis qui se profilent et vont impacter le secteur.
Rédigé par Jean Da Luz
Directeur de la rédaction - TourMaG.com
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