Pour Christian Sabbagh, la norme NDC va profiter aux ventes directes pour les prestations liées au vol et à l’aérogare et pour la distribution indirecte à travers les agrégateurs que sont notamment les GDS - DR : Orchestra
i-tourisme : La nouvelle norme NDC (New Distribution Capability) commence à faire parler d’elle. Quel est votre point de vue ?
Christian Sabbagh : Le NDC est un programme lancé au sein de IATA par les compagnies aériennes, dont l’objectif est d’augmenter les revenus issus de la vente de billets d’avion.
Il s’appuie sur une norme XML. C’est un langage très ouvert qui permet l’échange d’informations riches, de type description du vol, cabine, repas, etc., et la vente de prestations complémentaires.
i-tourisme : De votre point de vue, quels sont les services concernés ?
Christian Sabbagh : On pense en premier aux bagages, au choix du siège, mais cela peut concerner l’accès aux salons et au-delà les transferts, les prestations additionnelles jusqu’à la réservation d’hôtels.
i-tourisme : A qui va profiter cette norme ? Aux ventes directes ou indirectes ?
Christian Sabbagh : Aux deux. Aux ventes directes pour les prestations liées au vol et à l’aérogare et pour la distribution indirecte à travers les agrégateurs que sont notamment les GDS.
Christian Sabbagh : Le NDC est un programme lancé au sein de IATA par les compagnies aériennes, dont l’objectif est d’augmenter les revenus issus de la vente de billets d’avion.
Il s’appuie sur une norme XML. C’est un langage très ouvert qui permet l’échange d’informations riches, de type description du vol, cabine, repas, etc., et la vente de prestations complémentaires.
i-tourisme : De votre point de vue, quels sont les services concernés ?
Christian Sabbagh : On pense en premier aux bagages, au choix du siège, mais cela peut concerner l’accès aux salons et au-delà les transferts, les prestations additionnelles jusqu’à la réservation d’hôtels.
i-tourisme : A qui va profiter cette norme ? Aux ventes directes ou indirectes ?
Christian Sabbagh : Aux deux. Aux ventes directes pour les prestations liées au vol et à l’aérogare et pour la distribution indirecte à travers les agrégateurs que sont notamment les GDS.
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i-tourisme : On comprend l’intérêt pour les compagnies aériennes de se différencier, de faire valoir les services qu’elles souhaitent pousser en avant et d'améliorer leurs revenus avec des ventes additionnelles ! Mais sont-elles prêtes pour cette nouvelle norme ?
Christian Sabbagh : Évidemment, il faudra du temps pour que tout ceci se mette en place au niveau de l’industrie.
i-tourisme : Quelle va être l’approche technologique ?
Christian Sabbagh : C’est une évolution significative des systèmes au sein des compagnies aériennes.
Elles doivent se doter de modules de gestion de contenus, de gestion des offres, de shopping ou de connectivité avec des prestataires externes pour n’en citer que quelques-uns.
i-tourisme : Pensez-vous que cette norme va se généraliser ?
Christian Sabbagh : C’est très probable, avec un avantage pour les compagnies qui seront rapidement capables de saisir cette opportunité.
Christian Sabbagh : Évidemment, il faudra du temps pour que tout ceci se mette en place au niveau de l’industrie.
i-tourisme : Quelle va être l’approche technologique ?
Christian Sabbagh : C’est une évolution significative des systèmes au sein des compagnies aériennes.
Elles doivent se doter de modules de gestion de contenus, de gestion des offres, de shopping ou de connectivité avec des prestataires externes pour n’en citer que quelques-uns.
i-tourisme : Pensez-vous que cette norme va se généraliser ?
Christian Sabbagh : C’est très probable, avec un avantage pour les compagnies qui seront rapidement capables de saisir cette opportunité.