Nouveau design pour Flight Report.
Le site d’avis aériens, lancé il y a cinq ans, a totalement modifié son interface de présentation ainsi que son logo.
Désormais plus claire, elle présente de manière simple et cohérente les 12 392 avis postés par une communauté de 6 000 membres, pour environ 3 000 à 4 000 actifs francophones et anglophones.
La compagnie la plus commentée est sans surprise Air France.
Viennent ensuite Lufthansa, British Airways, Delta Airlines et Turkish Airways.
Un onglet verdict a été rajouté, comprenant une note sur la compagnie (cabine, équipage, divertissement restauration), le vol (fluidité, accès, services, propreté) et l’aéroport (fluidité, accès, services, propreté) ainsi qu’une conclusion générale.
Le site d’avis aériens, lancé il y a cinq ans, a totalement modifié son interface de présentation ainsi que son logo.
Désormais plus claire, elle présente de manière simple et cohérente les 12 392 avis postés par une communauté de 6 000 membres, pour environ 3 000 à 4 000 actifs francophones et anglophones.
La compagnie la plus commentée est sans surprise Air France.
Viennent ensuite Lufthansa, British Airways, Delta Airlines et Turkish Airways.
Un onglet verdict a été rajouté, comprenant une note sur la compagnie (cabine, équipage, divertissement restauration), le vol (fluidité, accès, services, propreté) et l’aéroport (fluidité, accès, services, propreté) ainsi qu’une conclusion générale.
Un schéma participatif peu rentable
Grâce à sa base de données, Flight Report publie régulièrement des classements sur certaines thématiques : la meilleure compagnie low cost en Europe, le meilleur salon First, la meilleure compagnie pour se rendre à New York, etc.
« Nous tentons de trouver des thématiques qui pourront intéresser les internautes », explique Flavien, l’un des co-fondateurs.
Toutefois, aucun des quatre membres de l’équipe n’arrive à vivre du site Internet.
« Il n’y a pas de business model, sauf quelques bannières de pub. Nous avons des projets pour tenter de le monétiser à plus long terme.
Mais cela doit avant tout apporter quelque chose à nos utilisateurs car nous sommes dans un schéma participatif », poursuit-il.
« Nous tentons de trouver des thématiques qui pourront intéresser les internautes », explique Flavien, l’un des co-fondateurs.
Toutefois, aucun des quatre membres de l’équipe n’arrive à vivre du site Internet.
« Il n’y a pas de business model, sauf quelques bannières de pub. Nous avons des projets pour tenter de le monétiser à plus long terme.
Mais cela doit avant tout apporter quelque chose à nos utilisateurs car nous sommes dans un schéma participatif », poursuit-il.
Des avis fiables grâce aux photos
La montée en puissance de Tripadvisor sur les avis de compagnies ne semble pas l’inquiéter beaucoup.
« Ils espèrent enrichir leur comparateur de vols en ajoutant un critère qualitatif lors d’une recherche de prix. Mais nous n’avons pas la même démarche ».
Il pointe notamment la question de la fiabilité des avis, montré du doigt depuis longtemps par les hôteliers, et qui pourrait poser problème pour les compagnies aériennes.
Flight Report n’est pas confronté à ce genre de problème. « Nos avis sont tous certifiés, car les photos sont obligatoires pour chaque compte-rendu. Nous avons eu quelques petits malins qui récupéraient des clichés sur Google images, mais ils ont vite été démasqués », sourit Flavien.
Reste à savoir s’il arrivera à maintenir sa notoriété face au mastodonte américain.
« Ils espèrent enrichir leur comparateur de vols en ajoutant un critère qualitatif lors d’une recherche de prix. Mais nous n’avons pas la même démarche ».
Il pointe notamment la question de la fiabilité des avis, montré du doigt depuis longtemps par les hôteliers, et qui pourrait poser problème pour les compagnies aériennes.
Flight Report n’est pas confronté à ce genre de problème. « Nos avis sont tous certifiés, car les photos sont obligatoires pour chaque compte-rendu. Nous avons eu quelques petits malins qui récupéraient des clichés sur Google images, mais ils ont vite été démasqués », sourit Flavien.
Reste à savoir s’il arrivera à maintenir sa notoriété face au mastodonte américain.