Les événements s’accélèrent chez Alitalia après la torpeur de l’été. Hier, à l’initiative de la banque conseil du gouvernement italien sur ce dossier, la banque Intesa Sanpaolo, un certain nombre d’hommes d’affaires italiens se sont réunis pour finaliser le plan de sauvetage de la compagnie.
D’après différents médias italiens, il consisterait à scinder le groupe en deux entités : les activités rentables d’un côté qui serait donc rachetées par les investisseurs privés et, de l’autre, les activités non rentables rassemblées sous une autre ombrelle et qui pourraient être liquidées les unes derrière les autres.
Pour réaliser ce partage des activités, le gouvernement italien se doit encore de modifier la loi sur les faillites. Ce qui devrait être fait ce jeudi.
D’après différents médias italiens, il consisterait à scinder le groupe en deux entités : les activités rentables d’un côté qui serait donc rachetées par les investisseurs privés et, de l’autre, les activités non rentables rassemblées sous une autre ombrelle et qui pourraient être liquidées les unes derrière les autres.
Pour réaliser ce partage des activités, le gouvernement italien se doit encore de modifier la loi sur les faillites. Ce qui devrait être fait ce jeudi.
Air One intégrée à la nouvelle Alitalia ?
Puis le lendemain, le conseil d’administration d’Alitalia se réunira pour accepter l‘offre de rachat de la nouvelle compagnie allégée.
Le nom de la « grande compagnie étrangère » avec laquelle la nouvelle Alitalia passerait un accord de partenariat comme l’a indiqué Silvio Berlusconi récemment, ne serait pas encore mentionné dans le plan de reprise.
Lufthansa, déjà partenaire de l’autre compagnie italienne, Air One, fait figure de favori dans la mesure où Carlo Toto, propriétaire d’Air One, est au nombre des investisseurs intéressés par le plan de sauvetage d’Alitalia.
Certains suggèrent même qu’Air One serait totalement intégrée à la nouvelle Alitalia dont Carlo Toto serait un des actionnaires principaux.
Le nom de la « grande compagnie étrangère » avec laquelle la nouvelle Alitalia passerait un accord de partenariat comme l’a indiqué Silvio Berlusconi récemment, ne serait pas encore mentionné dans le plan de reprise.
Lufthansa, déjà partenaire de l’autre compagnie italienne, Air One, fait figure de favori dans la mesure où Carlo Toto, propriétaire d’Air One, est au nombre des investisseurs intéressés par le plan de sauvetage d’Alitalia.
Certains suggèrent même qu’Air One serait totalement intégrée à la nouvelle Alitalia dont Carlo Toto serait un des actionnaires principaux.