"Compte tenu du contexte, nous sommes très heureux de nos résultats", estime Pascal Werner, directeur général de VVF Villages, le pionnier du tourisme social basé à Clermont-Ferrand.
Lancé en 1959 et premier acteur associatif de villages vacances en France, VVF Villages clôture l'année 2016 avec une amélioration du chiffre d'affaires de 3,80% par rapport à 2015.
Cela permet à l'association de dégager un léger résultat net de 250 000 euros, dont une partie est directement reversée à ses quelque 900 salariés à temps plein.
En ajoutant les saisonniers, le groupe compte environ 2 500 employés à l'année.
Lancé en 1959 et premier acteur associatif de villages vacances en France, VVF Villages clôture l'année 2016 avec une amélioration du chiffre d'affaires de 3,80% par rapport à 2015.
Cela permet à l'association de dégager un léger résultat net de 250 000 euros, dont une partie est directement reversée à ses quelque 900 salariés à temps plein.
En ajoutant les saisonniers, le groupe compte environ 2 500 employés à l'année.
De nouveaux partenariats
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Pour 2017, Pascal Werner fixe un objectif ambitieux et veut atteindre les 10% de croissance.
Pour cela, VVF Villages ouvre trois nouveaux sites cette année : la Garde-Freinet près de Saint-Tropez, ainsi que deux villages en montagne à Valmorel-Doucy ainsi qu'à Valmenier 1800.
Dans le même temps, 12 millions d'euros sont engagés dans des programmes de rénovation.
"Nous avons la même ADN, celle de la formation des jeunes par l'expérience". C'est ainsi que Pascal Werner justifie le nouveau partenariat signé entre son association et le groupe UCPA.
Le but : proposer sur certains de ses villages un package sportif aux vacanciers, dont le prix est inclus dans leur séjour.
Pour des suppléments d'une centaine d'euros, les adolescents pourront avoir accès à des stages de surf ou de sports en eaux vives, mais aussi de ski, de randonnée pour les sites d'hiver.
Pour répondre à la tendance des activités sportives et de nature en famille, un autre partenariat a été annoncé avec la Fédération française de gymnastique volontaire sur une trentaine de sites VVF Villages.
Pour cela, VVF Villages ouvre trois nouveaux sites cette année : la Garde-Freinet près de Saint-Tropez, ainsi que deux villages en montagne à Valmorel-Doucy ainsi qu'à Valmenier 1800.
Dans le même temps, 12 millions d'euros sont engagés dans des programmes de rénovation.
"Nous avons la même ADN, celle de la formation des jeunes par l'expérience". C'est ainsi que Pascal Werner justifie le nouveau partenariat signé entre son association et le groupe UCPA.
Le but : proposer sur certains de ses villages un package sportif aux vacanciers, dont le prix est inclus dans leur séjour.
Pour des suppléments d'une centaine d'euros, les adolescents pourront avoir accès à des stages de surf ou de sports en eaux vives, mais aussi de ski, de randonnée pour les sites d'hiver.
Pour répondre à la tendance des activités sportives et de nature en famille, un autre partenariat a été annoncé avec la Fédération française de gymnastique volontaire sur une trentaine de sites VVF Villages.
VVF Villages s'ouvre au business
Autre nouvel axe de développement, VVF Villages veut atteindre le marché du corporate et lance pour 2017 un produit séminaire.
"Nous espérons autant toucher les CE des entreprises que les services achats, et donner envie aux salariés de revenir en vacances", confie Bruno Mounier, directeur commercial.
L'offre, qui concerne 10 villages dont Amboise ou La Plagne, va de la simple journée de travail à la convention.
"Nous avons une vraie place à trouver sur ce secteur, c'est un vrai challenge que nous nous lançons, sans pression ni objectif particulier", ajoute Pascal Werner.
En attendant, la marque pionnière des vacances "sociales" pourra continuer de s'appuyer sur ses 83 sites, totalisant environ 30 000 lits en France métropolitaine uniquement, et aux localisations "exceptionnelles".
"Notre implantation historique est une vraie force. Nous sommes là où les autres ne sont pas", s'enthousiasme Pascal Werner.
"Nous espérons autant toucher les CE des entreprises que les services achats, et donner envie aux salariés de revenir en vacances", confie Bruno Mounier, directeur commercial.
L'offre, qui concerne 10 villages dont Amboise ou La Plagne, va de la simple journée de travail à la convention.
"Nous avons une vraie place à trouver sur ce secteur, c'est un vrai challenge que nous nous lançons, sans pression ni objectif particulier", ajoute Pascal Werner.
En attendant, la marque pionnière des vacances "sociales" pourra continuer de s'appuyer sur ses 83 sites, totalisant environ 30 000 lits en France métropolitaine uniquement, et aux localisations "exceptionnelles".
"Notre implantation historique est une vraie force. Nous sommes là où les autres ne sont pas", s'enthousiasme Pascal Werner.
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