Après avoir soufflé, en 2018, ses 10 bougies, Belambra continue de croître.
Pour atteindre ses ambitions, le spécialiste des villages vacances n'entend pas attendre l'adolescence et sa déferlante d'hormones, il agit maintenant.
Lors du discours d'ouverture du tout nouveau Belambra Club "Les Cimes du Soleil", dans la station d'Avoriaz, Frédéric Le Guen a réédité ses vœux : "nous allons ouvrir entre un et deux clubs tous les ans."
Après avoir repris l'ancien Club Med de la station, imaginé par le fondateur de Pierre&Vacances, Belambra va ensuite prendre la direction des Saisies. L'actuel club connaîtra une remise au goût du jour.
A lire : Ouvertures, digital, international : Belambra Clubs fait feu de tout bois
"Nous avons prévu une fin des travaux dans 18 ou 24 mois, et ce club passera par la même occasion en Sélection (classification maison, ndlr)" précise le PDG de Belambra.
Ce n'est pas tout, car un village vacances sortira de terre aux Deux Alpes en 2021. Et Frédéric Le Guen d'évaluer le montant de ces investissements : "en tout, cela atteindra 50 millions d'euros."
Pour atteindre ses ambitions, le spécialiste des villages vacances n'entend pas attendre l'adolescence et sa déferlante d'hormones, il agit maintenant.
Lors du discours d'ouverture du tout nouveau Belambra Club "Les Cimes du Soleil", dans la station d'Avoriaz, Frédéric Le Guen a réédité ses vœux : "nous allons ouvrir entre un et deux clubs tous les ans."
Après avoir repris l'ancien Club Med de la station, imaginé par le fondateur de Pierre&Vacances, Belambra va ensuite prendre la direction des Saisies. L'actuel club connaîtra une remise au goût du jour.
A lire : Ouvertures, digital, international : Belambra Clubs fait feu de tout bois
"Nous avons prévu une fin des travaux dans 18 ou 24 mois, et ce club passera par la même occasion en Sélection (classification maison, ndlr)" précise le PDG de Belambra.
Ce n'est pas tout, car un village vacances sortira de terre aux Deux Alpes en 2021. Et Frédéric Le Guen d'évaluer le montant de ces investissements : "en tout, cela atteindra 50 millions d'euros."
Belambra Avoriaz ne va pas en rester là...
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Montagne en été : un bilan contrasté
Pour poursuivre son ambition de devenir la marque de vacances préférée des Français, les équipes du clubiste s'affairent à tous les niveaux.
Et si les implantations répondent à des opportunités, l'occasion de reprendre l'ancien vaisseau amiral du Club Med à Avoriaz était trop belle.
D'après le propriétaire des murs, les négociations ont été âpres et longues, mais Belambra ne pouvait laisser passer la chance de pouvoir étoffer son image de marque.
D'ailleurs la qualité de service est telle que le village d'Avoriaz sera le must en montagne pour l'entreprise. Et déjà des anciens clients de la marque au trident réservent avec Belambra.
"Nous sommes sur un niveau équivalent à celui du Riviera Beach Club, une sorte de haut de gamme dans notre catégorie Sélection", confie Matthieu Pihery, le directeur commercial et marketing.
Pour offrir de telles prestations et pouvoir soutenir en quelque sorte le regard du grand frère inventeur des clubs, Belambra a investi 1 million d'euros.
Frédéric Le Guen de développer : "nous avons remis la décoration à notre image, mais ce n'était qu'une première phase."
Une fois la saison terminée, des travaux seront effectués pour agrandir la capacité du bâtiment, qui passera de 238 chambres à 272. "Ce n'est pas tout, nous allons aussi le doter d'un spa, avec hammam, sauna et de salles de massage", poursuit le PDG.
D'après le responsable de l'établissement, ce serait le premier hébergement à intégrer un centre bien-être et forme de la station. De quoi imprimer une nouvelle image de marque.
Et si les implantations répondent à des opportunités, l'occasion de reprendre l'ancien vaisseau amiral du Club Med à Avoriaz était trop belle.
D'après le propriétaire des murs, les négociations ont été âpres et longues, mais Belambra ne pouvait laisser passer la chance de pouvoir étoffer son image de marque.
D'ailleurs la qualité de service est telle que le village d'Avoriaz sera le must en montagne pour l'entreprise. Et déjà des anciens clients de la marque au trident réservent avec Belambra.
"Nous sommes sur un niveau équivalent à celui du Riviera Beach Club, une sorte de haut de gamme dans notre catégorie Sélection", confie Matthieu Pihery, le directeur commercial et marketing.
Pour offrir de telles prestations et pouvoir soutenir en quelque sorte le regard du grand frère inventeur des clubs, Belambra a investi 1 million d'euros.
Frédéric Le Guen de développer : "nous avons remis la décoration à notre image, mais ce n'était qu'une première phase."
Une fois la saison terminée, des travaux seront effectués pour agrandir la capacité du bâtiment, qui passera de 238 chambres à 272. "Ce n'est pas tout, nous allons aussi le doter d'un spa, avec hammam, sauna et de salles de massage", poursuit le PDG.
D'après le responsable de l'établissement, ce serait le premier hébergement à intégrer un centre bien-être et forme de la station. De quoi imprimer une nouvelle image de marque.
Une montée en gamme qui ne dit pas son nom ?
Car les efforts consentis par le spécialiste des villages vacances en France depuis quelques années ont bien un but : récupérer une clientèle abandonnée par l'inventeur des villages vacances tout compris.
"Le Club Med ferme ses 3 tridents pour se positionner uniquement sur le haut de gamme. Cette tranche intermédiaire est vacante. Elle représente une ouverture dans laquelle nous devons nous engouffrer", révèle une personne de la direction de Belambra.
En effet, les derniers clubs ouverts par Club Med sont des 5 tridents destinés à une clientèle haut de gamme, ils permettent à Belambra de profiter d'un vide.
Pour poursuivre l'amélioration de ses services, la Belambra Académie est chargée de créer les spectacles qui seront interprétés dans l'ensemble des clubs.
Ce n'est pas tout, dans un pays où la gastronomie est reine, tout en sachant que 75% de la clientèle est française, les repas seront améliorés.
Frédéric Le Guen précise : "notre partenariat avec le traiteur Lenôtre sera intensifié. Il ne sera plus seulement question de revoir les recettes des desserts, mais de l'ensemble de notre carte."
Si pour le moment la classification est à deux niveaux entre les clubs Sélection et les basiques, les équipes planchent sur une catégorisation plus développée et précise.
La montée en gamme reste un tabou, par peur d'effrayer une clientèle fidèle : "70% de nos clients reviennent dans les 3 ans", selon le PDG, mais elle est bien réelle.
"Le Club Med ferme ses 3 tridents pour se positionner uniquement sur le haut de gamme. Cette tranche intermédiaire est vacante. Elle représente une ouverture dans laquelle nous devons nous engouffrer", révèle une personne de la direction de Belambra.
En effet, les derniers clubs ouverts par Club Med sont des 5 tridents destinés à une clientèle haut de gamme, ils permettent à Belambra de profiter d'un vide.
Pour poursuivre l'amélioration de ses services, la Belambra Académie est chargée de créer les spectacles qui seront interprétés dans l'ensemble des clubs.
Ce n'est pas tout, dans un pays où la gastronomie est reine, tout en sachant que 75% de la clientèle est française, les repas seront améliorés.
Frédéric Le Guen précise : "notre partenariat avec le traiteur Lenôtre sera intensifié. Il ne sera plus seulement question de revoir les recettes des desserts, mais de l'ensemble de notre carte."
Si pour le moment la classification est à deux niveaux entre les clubs Sélection et les basiques, les équipes planchent sur une catégorisation plus développée et précise.
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