L’anticonformiste devient enfin acceptable en entreprise et montrer votre exubérance pourrait vous faire décrocher un super job ! - DR
Après les « hard skills » ou compétences techniques et les « soft skills » liées à la personnalité, voici les « mad skills » !
On savait déjà que les « soft skills » avaient pris le dessus sur les « hard skills », désormais le curseur est encore monté d’un cran.
Mais de quoi s’agit-il ? Les « mad skills » ou « compétences folles » en français, désignent des aptitudes non conformistes ou tout simplement les loisirs.
N’hésitez donc plus à parler de votre passion pour la natation ou le twirling, de votre talent d’écriture de poème en alexandrins, de votre pratique d’un loisir original, une reconversion professionnelle ou encore à affirmer votre personnalité.
Plus c’est insolite, mieux c’est !
On savait déjà que les « soft skills » avaient pris le dessus sur les « hard skills », désormais le curseur est encore monté d’un cran.
Mais de quoi s’agit-il ? Les « mad skills » ou « compétences folles » en français, désignent des aptitudes non conformistes ou tout simplement les loisirs.
N’hésitez donc plus à parler de votre passion pour la natation ou le twirling, de votre talent d’écriture de poème en alexandrins, de votre pratique d’un loisir original, une reconversion professionnelle ou encore à affirmer votre personnalité.
Plus c’est insolite, mieux c’est !
Atypique rime avec positif
Ainsi, montrer son exubérance pourrait vous faire décrocher un super job !
C’est ce que révèle le résultat d’une étude menée par Indeed : 54% des recruteurs déclarent même qu'une expérience professionnelle atypique a déjà eu un impact positif sur leur décision d'embauche.
Alors que les candidats ont souvent peur de se voir reprocher ce qu'ils ont de plus singulier ou d'effrayer les recruteurs par un hobby peu conventionnel, l'étude montre que ces derniers en sont au contraire friands.
D’ailleurs, 50% d'entre eux se sont déjà laissés convaincre par des profils dédiant énormément de temps à des projets personnels.
L’anticonformiste devient enfin acceptable.
C’est ce que révèle le résultat d’une étude menée par Indeed : 54% des recruteurs déclarent même qu'une expérience professionnelle atypique a déjà eu un impact positif sur leur décision d'embauche.
Alors que les candidats ont souvent peur de se voir reprocher ce qu'ils ont de plus singulier ou d'effrayer les recruteurs par un hobby peu conventionnel, l'étude montre que ces derniers en sont au contraire friands.
D’ailleurs, 50% d'entre eux se sont déjà laissés convaincre par des profils dédiant énormément de temps à des projets personnels.
L’anticonformiste devient enfin acceptable.
Comment séduire ces profils singuliers ?
L’univers start-up serait bien évidemment avant-gardiste sur la question. En effet, la digitalisation, les nouvelles technologies, les nouvelles méthodes de travail ont obligé les recruteurs à remettre à plat leurs techniques de recrutement.
Exit donc le triptyque : annonce, candidature, entretien pour dénicher ces profils créatifs.
La cooptation, la recherche sur les réseaux sociaux et professionnels ou encore les job datings se substituent à la méthode classique de recrutement, avec comme objectif de s’attarder davantage sur les compétences que sur le CV. On n’oublie la notion de diplôme et le parcours professionnel.
Pour détecter ces « mad skills », il faudra faire preuve d’intuition face à un candidat qui ne possède pas forcément les bons diplômes, qui ne rentre pas dans les cases mais dont la personnalité et le parcours singulier peuvent apporter beaucoup à l’entreprise.
Pour séduire ces profils qui raisonnent et travaillent différemment, les entreprises doivent proposer un environnement de travail qui leur correspond et qui soit favorable à leur épanouissement : de l’espace pour exprimer leur créativité, des méthodes de travail innovantes, du travail collaboratif, des missions qui ont du sens, etc.
A l’heure où les entreprises cherchent sans cesse à se renouveler, les profils non conformistes permettent d’apporter des idées innovantes et de booster la compétitivité.
Sur le papier, le parcours atypique serait donc un atout, dans les faits, pas sûr, que ce soit d’actualité.
Exit donc le triptyque : annonce, candidature, entretien pour dénicher ces profils créatifs.
La cooptation, la recherche sur les réseaux sociaux et professionnels ou encore les job datings se substituent à la méthode classique de recrutement, avec comme objectif de s’attarder davantage sur les compétences que sur le CV. On n’oublie la notion de diplôme et le parcours professionnel.
Pour détecter ces « mad skills », il faudra faire preuve d’intuition face à un candidat qui ne possède pas forcément les bons diplômes, qui ne rentre pas dans les cases mais dont la personnalité et le parcours singulier peuvent apporter beaucoup à l’entreprise.
Pour séduire ces profils qui raisonnent et travaillent différemment, les entreprises doivent proposer un environnement de travail qui leur correspond et qui soit favorable à leur épanouissement : de l’espace pour exprimer leur créativité, des méthodes de travail innovantes, du travail collaboratif, des missions qui ont du sens, etc.
A l’heure où les entreprises cherchent sans cesse à se renouveler, les profils non conformistes permettent d’apporter des idées innovantes et de booster la compétitivité.
Sur le papier, le parcours atypique serait donc un atout, dans les faits, pas sûr, que ce soit d’actualité.