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Pourquoi les cybercriminels se focalisent sur les centres de données ?
C’est tout simplement plus rentable. Une attaque sur un hébergeur de données permet de toucher une multitude d’entreprises donc plus d’informations, alors qu’une attaque ciblée sur une seule structure est plus visible par son caractère répétitif.
Troels Oerting, le chef du centre d’Europol sur la cybercriminalité a expliqué à la BBC qu’il y aurait seulement une centaine de cybercriminels sur l’ensemble de la planète.
Il ajoute que ces derniers, souvent Russes, développent et testent leurs programmes pour ensuite les vendre « à toute sorte de criminels en Europe de l’est, en Europe, en Afrique, en Amérique…
C’est tellement facile d’être un cybercriminel. Vous n’avez pas besoin d’être un expert, juste de télécharger les programmes que vous voulez utiliser».
Il existe donc un véritable marché souterrain qui rend accessible la cybercriminalité à tous. Avec les nouvelles technologies et la multiplicité des supports d’accès en ligne, l’exploitation des failles se sont aussi multipliées.
C’est tout simplement plus rentable. Une attaque sur un hébergeur de données permet de toucher une multitude d’entreprises donc plus d’informations, alors qu’une attaque ciblée sur une seule structure est plus visible par son caractère répétitif.
Troels Oerting, le chef du centre d’Europol sur la cybercriminalité a expliqué à la BBC qu’il y aurait seulement une centaine de cybercriminels sur l’ensemble de la planète.
Il ajoute que ces derniers, souvent Russes, développent et testent leurs programmes pour ensuite les vendre « à toute sorte de criminels en Europe de l’est, en Europe, en Afrique, en Amérique…
C’est tellement facile d’être un cybercriminel. Vous n’avez pas besoin d’être un expert, juste de télécharger les programmes que vous voulez utiliser».
Il existe donc un véritable marché souterrain qui rend accessible la cybercriminalité à tous. Avec les nouvelles technologies et la multiplicité des supports d’accès en ligne, l’exploitation des failles se sont aussi multipliées.
Etat des lieux
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Les entreprises françaises affichent un coût moyen lié au cybercrime de 4.8 millions d’euros en progression de 20.5% en un an.
Sur cette période, le temps nécessaire pour résoudre une cyberattaque a augmenté d’environ 33%, selon une enquête Hewlett Packard menée en partenariat avec le Ponemom Institute.
Cela signifie que la sécurité en interne n’est pas infaillible et qu’aucune structure n’est à l’abri.
Le cyber-crime est un phénomène courant et intrusif qui touche tous les secteurs d’activités.
Les données recherchées par les cybercriminels sont principalement les informations sur les cartes de paiement et les comptes bancaires en ligne, les mots de passe Internet et la propriété intellectuelle.
Sur cette période, le temps nécessaire pour résoudre une cyberattaque a augmenté d’environ 33%, selon une enquête Hewlett Packard menée en partenariat avec le Ponemom Institute.
Cela signifie que la sécurité en interne n’est pas infaillible et qu’aucune structure n’est à l’abri.
Le cyber-crime est un phénomène courant et intrusif qui touche tous les secteurs d’activités.
Les données recherchées par les cybercriminels sont principalement les informations sur les cartes de paiement et les comptes bancaires en ligne, les mots de passe Internet et la propriété intellectuelle.
Quelques chiffres sur la cybercriminalité du Cloud*
• Les e-commerçants ne sont que 43 % à utiliser ces méthodes de protection renforcés (par SMS ou par biométrie).
• 28% des entreprises touchées par un incident estiment que leurs entreprises ont été privées de fonctions clés de leurs Datacenters pendant des périodes pouvant aller jusqu’à plusieurs semaines.
• 73% des entreprises déclarent ne pas prêtes pour la restauration après sinistre.
• Les fraudes en ligne par carte bancaire ont représenté 64,6% du total des fraudes en 2013.
• 78% ont connu des coupures des applications critiques.
* http://www.lenetexpert.fr/
• 28% des entreprises touchées par un incident estiment que leurs entreprises ont été privées de fonctions clés de leurs Datacenters pendant des périodes pouvant aller jusqu’à plusieurs semaines.
• 73% des entreprises déclarent ne pas prêtes pour la restauration après sinistre.
• Les fraudes en ligne par carte bancaire ont représenté 64,6% du total des fraudes en 2013.
• 78% ont connu des coupures des applications critiques.
* http://www.lenetexpert.fr/