Recueillie au large des estuaires et des côtes, l'eau de mer est utilisée dans les 48 heures au grand maximum – de préférence 24 - qui suivent sa captation © CB94 - Fotolia.com
Lors d'une thalassothérapie, l’eau de mer utilisée dans les bassins de soins et les soins individuels est naturelle - équivalente à l’eau du large avec un écart maximum de salinité de 2% - fraîchement puisée et acheminée directement par canalisations à l’établissement.
Recueillie au large des estuaires et des côtes, elle est utilisée dans les 48 heures au grand maximum - de préférence 24 - qui suivent sa captation.
Cette eau doit être saine sur le plan bactériologique, épargnée de toute pollution et n’avoir subi aucun traitement susceptible de détériorer son état naturel.
Elle est donc mise à l’abri des altérations physiques, chimiques et microbiologiques au cours de son transport et de son utilisation.
La distance entre l’établissement et le point de pompage se situe à une distance maximum de 1 000 mètres par rapport au niveau des plus hautes eaux.
Recueillie au large des estuaires et des côtes, elle est utilisée dans les 48 heures au grand maximum - de préférence 24 - qui suivent sa captation.
Cette eau doit être saine sur le plan bactériologique, épargnée de toute pollution et n’avoir subi aucun traitement susceptible de détériorer son état naturel.
Elle est donc mise à l’abri des altérations physiques, chimiques et microbiologiques au cours de son transport et de son utilisation.
La distance entre l’établissement et le point de pompage se situe à une distance maximum de 1 000 mètres par rapport au niveau des plus hautes eaux.
Décantée, réchauffée, refroidie
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Afin d’éviter les déchets de surface et toutes autres pollutions, les stations de pompage sont établies à une profondeur d’environ 4 mètres.
Ce chiffre est une moyenne dans la mesure où il faut tenir compte de la nature des fonds qui peuvent être sablonneux ou rocheux.
Pour les côtes à faible marée, le point de captage doit toujours être situé à une distance minimale du fond afin de ne pas aspirer les particules et les matières flottantes.
Le système de pompage est constitué d’une tuyauterie souple et mobile afin de pouvoir déplacer la station en cas de pollution ponctuelle.
L’eau est ensuite conduite dans un puits de décantation pour éliminer le sable et les éléments impurs en suspension.
Elle est ensuite refoulée vers des cuves de stockage et réchauffée (une moyenne de 32°C) en fonction des besoins journaliers du centre.
Une fois utilisée cette eau est rejetée dans un circuit de refroidissement avant d’être déversée dans la mer.
Cette étape est écologiquement essentielle : le rejet d’une eau chaude perturberait l’équilibre biologique marin.
L’eau qui n’est pas utilisée pour les soins d’hydrothérapie individuelle mais pour les piscines et les bassins collectifs subit un traitement bactériologique.
Les centres reçoivent des contrôles permanents de salubrité. Ils doivent afficher de façon visible dans leurs locaux ou remettre à leurs curistes en mains un document décrivant les conditions de captage.
Ce chiffre est une moyenne dans la mesure où il faut tenir compte de la nature des fonds qui peuvent être sablonneux ou rocheux.
Pour les côtes à faible marée, le point de captage doit toujours être situé à une distance minimale du fond afin de ne pas aspirer les particules et les matières flottantes.
Le système de pompage est constitué d’une tuyauterie souple et mobile afin de pouvoir déplacer la station en cas de pollution ponctuelle.
L’eau est ensuite conduite dans un puits de décantation pour éliminer le sable et les éléments impurs en suspension.
Elle est ensuite refoulée vers des cuves de stockage et réchauffée (une moyenne de 32°C) en fonction des besoins journaliers du centre.
Une fois utilisée cette eau est rejetée dans un circuit de refroidissement avant d’être déversée dans la mer.
Cette étape est écologiquement essentielle : le rejet d’une eau chaude perturberait l’équilibre biologique marin.
L’eau qui n’est pas utilisée pour les soins d’hydrothérapie individuelle mais pour les piscines et les bassins collectifs subit un traitement bactériologique.
Les centres reçoivent des contrôles permanents de salubrité. Ils doivent afficher de façon visible dans leurs locaux ou remettre à leurs curistes en mains un document décrivant les conditions de captage.