Smartbox a présenté ses modalités de partenariat à IFTM/Top Resa et fait valoir ses engagements et ses exigences en matière de qualité des produits « tourisme, voyages et bien-être » qu'elle commercialise.
L'entreprise qui représente 83 % du marché français des coffrets cadeaux se charge de la production, de la promotion et de la communication.
Au rang de ses exigences : la disponibilité du prestataire sollicité tous les jours de l'année durant ses périodes d'ouverture, des prix publics égaux ou supérieurs aux prix Smartbox, le respect d'une clause d''exclusivité etc.
Pour s'assurer du respect des engagements de ses partenaires l'entreprise a mis en place une véritable politique de surveillance avec des « blind tests », des enquêtes de satisfaction, des visites mystères.
L'entreprise qui représente 83 % du marché français des coffrets cadeaux se charge de la production, de la promotion et de la communication.
Au rang de ses exigences : la disponibilité du prestataire sollicité tous les jours de l'année durant ses périodes d'ouverture, des prix publics égaux ou supérieurs aux prix Smartbox, le respect d'une clause d''exclusivité etc.
Pour s'assurer du respect des engagements de ses partenaires l'entreprise a mis en place une véritable politique de surveillance avec des « blind tests », des enquêtes de satisfaction, des visites mystères.
Blind tests et visites mystères
La nouvelle loi obligera l'émetteur de coffrets cadeaux qu'est Smartbox aux mêmes droits et surtout aux mêmes devoirs que ceux auxquels sont soumis les agences de voyages : obligation d'immatriculation, garantie financière et assurance en responsabilité civile et professionnelle.
Axel Bernia, directeur général de Smartbox avait anticipé cette démarche. Alors que, au grand dam des agents de voyages, l'activité des coffrets cadeaux n'entrait dans aucun des cadres juridiques réglementant la profession, il avait engagé, depuis deux ans, une action auprès des pouvoirs publics.
Il oeuvrait pour mettre en place une procédure qui soit en phase avec la législation en garantissant le consommateur des défaillances des sociétés émettrices.(Cf Tourmag.com du 1er mars 2009). La récente mise en cessation de paiements de MagicDay a d'ailleurs démontré le danger de cette absence de cadre juridique.
Le SNAV ne se contente pas du texte actuel qui ne garantit que l'émetteur. Il demande au législateur que les obligations résultant de la loi soient étendue aux distributeurs afin de protéger pleinement le consommateur. La réponse est encore à Bercy.
Axel Bernia, directeur général de Smartbox avait anticipé cette démarche. Alors que, au grand dam des agents de voyages, l'activité des coffrets cadeaux n'entrait dans aucun des cadres juridiques réglementant la profession, il avait engagé, depuis deux ans, une action auprès des pouvoirs publics.
Il oeuvrait pour mettre en place une procédure qui soit en phase avec la législation en garantissant le consommateur des défaillances des sociétés émettrices.(Cf Tourmag.com du 1er mars 2009). La récente mise en cessation de paiements de MagicDay a d'ailleurs démontré le danger de cette absence de cadre juridique.
Le SNAV ne se contente pas du texte actuel qui ne garantit que l'émetteur. Il demande au législateur que les obligations résultant de la loi soient étendue aux distributeurs afin de protéger pleinement le consommateur. La réponse est encore à Bercy.
Une distribution pas toujours clairement identifiée
De son côté Smartbox a sa réponse. L'émetteur qu'il est met à disposition des clients bénéficiaires sa propre centrale d'informations et de réservations.
Avec son site d'achat en ligne (92 000 visites uniques par jour), l'entreprise dispose désormais de deux espaces internet.
Créé voici six ans avec une dizaine de collaborateurs Smartbox a connu une croissance exceptionnelle. L'entreprise emploie aujourd'hui 600 personnes. Elle a une couverture mondiale. En 2008 elle a réalisé un chiffre d'affaires de 270 M€.
Dans la seule Europe, elle a vendu 2,6 millions coffrets cadeaux. Sa part de marché France est de 83 %. Elle compte près de 10 000 partenaires.
Les sociétés émettrices de coffrets-cadeaux se développent de façon exponentielles et certains de leurs distributeurs, pas toujours clairement identifiés, n'apportent aucune garantie aux clients acheteurs en cas de défaillance. Pour le SNAV, c'est bien là que le bât blesse encore.
Avec son site d'achat en ligne (92 000 visites uniques par jour), l'entreprise dispose désormais de deux espaces internet.
Créé voici six ans avec une dizaine de collaborateurs Smartbox a connu une croissance exceptionnelle. L'entreprise emploie aujourd'hui 600 personnes. Elle a une couverture mondiale. En 2008 elle a réalisé un chiffre d'affaires de 270 M€.
Dans la seule Europe, elle a vendu 2,6 millions coffrets cadeaux. Sa part de marché France est de 83 %. Elle compte près de 10 000 partenaires.
Les sociétés émettrices de coffrets-cadeaux se développent de façon exponentielles et certains de leurs distributeurs, pas toujours clairement identifiés, n'apportent aucune garantie aux clients acheteurs en cas de défaillance. Pour le SNAV, c'est bien là que le bât blesse encore.
![Futuroscopie - Architecture contemporaine : des icônes et moteurs touristiques [ABO]](https://www.tourmag.com/photo/art/large_16_9/84367837-60259874.jpg?v=1732033411 "Futuroscopie - Architecture contemporaine : des icônes et moteurs touristiques [ABO]")
