Voyage : la Norvège a supprimé les dernières restrictions pour lutter contre le covid - Depositphotos @hlor171717.gmail.com
Le retour à la vie normale pourrait bien intervenir plus vite que prévu, du moins en Norvège, il est immédiat.
Après presque deux ans de crise, e gouvernement norvégien a décidé de supprimer les dernières contraintes pour les voyageurs. Cela s'inscrit dans un contexte global de reprise du voyage sans aucun frein, comme en Mongolie ou ailleurs dans le monde.
"Le 12 février 2022, les dernières restrictions sanitaires encadrant les déplacements vers la Norvège ont été levées.
Seules les personnes se rendant au Svalbard devront présenter un test négatif (PCR ou antigénique) réalisé avant le voyage et se faire tester à leur arrivée sur place," rappelle France Diplomatie.
Ce n'est pas tout, si le voyageur est libre de se rendre à destination, la vie quotidienne n'est plus contrainte. Les consignes de distanciation sociale ont aussi été supprimées, tout comme la quarantaine en cas de test positif.
Après presque deux ans de crise, e gouvernement norvégien a décidé de supprimer les dernières contraintes pour les voyageurs. Cela s'inscrit dans un contexte global de reprise du voyage sans aucun frein, comme en Mongolie ou ailleurs dans le monde.
"Le 12 février 2022, les dernières restrictions sanitaires encadrant les déplacements vers la Norvège ont été levées.
Seules les personnes se rendant au Svalbard devront présenter un test négatif (PCR ou antigénique) réalisé avant le voyage et se faire tester à leur arrivée sur place," rappelle France Diplomatie.
Ce n'est pas tout, si le voyageur est libre de se rendre à destination, la vie quotidienne n'est plus contrainte. Les consignes de distanciation sociale ont aussi été supprimées, tout comme la quarantaine en cas de test positif.
Voyage Norvège : retour à la vie normale, malgré une flambée des cas
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Dorénavant, et malgré la plus importante vague de contamination depuis le début de la crise sanitaire, "le port du masque même dans les espaces bondés n'est plus obligatoire," explique nos confrères de BFM TV.
La Norvège a pris le partir de vivre avec l'épidémie, mais surtout un variant moins dangereux.
Ainsi, une personne infectée par le covid n'a plus à s'isoler 4 jours, mais recevra une simple recommandation d'isolement. Pour les plus jeunes, même ceux présentant des symptômes respiratoires, ils ne sont plus dans l'obligation de se faire dépister.
"Nous pouvons maintenant avoir des interactions sociales comme auparavant, en participant à des sorties nocturnes, des événements culturels et autres. Et également en allant au travail dans les bus, trains et ferries," a déclaré le Premier ministre Jonas Gahr Store.
Une stratégie en totale contradiction avec la situation sanitaire, car en plus d'une flambée des cas, la Norvège connait une hausse des hospitalisations, avec des niveaux se rapprochant des pires moments de la crise.
Depuis le 22 janvier 2022, la courbe des hospitalisations a repris progression, avec 277 personnes dans les services de réanimation. Lors de la première vague, au printemps 2020, le pic avait atteint 317 personnes hospitalisées.
La Norvège a pris le partir de vivre avec l'épidémie, mais surtout un variant moins dangereux.
Ainsi, une personne infectée par le covid n'a plus à s'isoler 4 jours, mais recevra une simple recommandation d'isolement. Pour les plus jeunes, même ceux présentant des symptômes respiratoires, ils ne sont plus dans l'obligation de se faire dépister.
"Nous pouvons maintenant avoir des interactions sociales comme auparavant, en participant à des sorties nocturnes, des événements culturels et autres. Et également en allant au travail dans les bus, trains et ferries," a déclaré le Premier ministre Jonas Gahr Store.
Une stratégie en totale contradiction avec la situation sanitaire, car en plus d'une flambée des cas, la Norvège connait une hausse des hospitalisations, avec des niveaux se rapprochant des pires moments de la crise.
Depuis le 22 janvier 2022, la courbe des hospitalisations a repris progression, avec 277 personnes dans les services de réanimation. Lors de la première vague, au printemps 2020, le pic avait atteint 317 personnes hospitalisées.