Guillaume Pépy président du directoire SNCF et Patrick Jeantet avec l’ensemble des partenaires du futur train autonome. MS.
Créés en janvier dernier, les deux consortiums réunissent de grands industriels issus du ferroviaire, de l’automobile, de l’aérien, de l’intelligence système, des acteurs de l’ingénierie et de l’intelligence artificielle.
Ils sont pilotés par SNCF et l’IRT Railenium pour une durée de 5 ans.
Le premier consortium dédié à la réalisation d’un prototype de train de fret autonome réunit Alstom, Altran, Ansaldo et Apsys. Le second qui s’adresse aux voyageurs réalise un prototype de train TER autonome. Il se compose de Bombardier, Bosch, Spirops et Thales.
L’Etablissement public de sécurité ferroviaire (EPSF) et l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI) sont associés à chacun des consortiums afin d’intégrer les enjeux de sécurité ferroviaire et de cybersécurité.
L’objectif du projet Train Autonome est de mettre en circulation des trains fret semi-autonomes d’ici 2020 et des trains entièrement automatisés d’ici 2023.
Ils sont pilotés par SNCF et l’IRT Railenium pour une durée de 5 ans.
Le premier consortium dédié à la réalisation d’un prototype de train de fret autonome réunit Alstom, Altran, Ansaldo et Apsys. Le second qui s’adresse aux voyageurs réalise un prototype de train TER autonome. Il se compose de Bombardier, Bosch, Spirops et Thales.
L’Etablissement public de sécurité ferroviaire (EPSF) et l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI) sont associés à chacun des consortiums afin d’intégrer les enjeux de sécurité ferroviaire et de cybersécurité.
L’objectif du projet Train Autonome est de mettre en circulation des trains fret semi-autonomes d’ici 2020 et des trains entièrement automatisés d’ici 2023.
Un train qui s’approprie les technologies existantes, nouvelles et à imaginer
Systèmes satellitaires, capteurs, radars, géolocalisation, surveillance, reconnaissance de l’environnement du train, détecteurs d’éléments de signalisation et d’obstacles sur les voies, gestion des aléas... L’automatisation des trains va donc s’approprier les technologies existantes, nouvelles et à imaginer.
Elle se traduira par une plus grande capacité. La transformation digitale du réseau et de la signalisation permettra de faire circuler plus de trains donc plus de personnes et de marchandises. « 30 % de trains en plus » évalue Guillaume Pépy.
Elle apportera plus de fluidité et de régularité grâce à une circulation harmonisée et une vitesse optimisée permettant de mieux faire face aux imprévus.
Elle a une ambition écologique grâce à une diminution de 15 à 20 % de la consommation d’énergie.
«Le train autonome c’est une nouvelle révolution industrielle après la Grande Vitesse. C’est l’avenir du train, un train intelligent qui répond aux enjeux coût et qualité de service. Plus de fluidité c’est une meilleure régularité et une plus grande ponctualité des trains. Un enjeu majeur pour la SNCF qui fait circuler 17 000 trains et transporte 4 millions de voyageurs par jour. Nous sommes pleinement engagés avec nos partenaires à dessiner le train du futur... » a dit Guillaume Pepy Président du directoire SNCF.
Elle se traduira par une plus grande capacité. La transformation digitale du réseau et de la signalisation permettra de faire circuler plus de trains donc plus de personnes et de marchandises. « 30 % de trains en plus » évalue Guillaume Pépy.
Elle apportera plus de fluidité et de régularité grâce à une circulation harmonisée et une vitesse optimisée permettant de mieux faire face aux imprévus.
Elle a une ambition écologique grâce à une diminution de 15 à 20 % de la consommation d’énergie.
«Le train autonome c’est une nouvelle révolution industrielle après la Grande Vitesse. C’est l’avenir du train, un train intelligent qui répond aux enjeux coût et qualité de service. Plus de fluidité c’est une meilleure régularité et une plus grande ponctualité des trains. Un enjeu majeur pour la SNCF qui fait circuler 17 000 trains et transporte 4 millions de voyageurs par jour. Nous sommes pleinement engagés avec nos partenaires à dessiner le train du futur... » a dit Guillaume Pepy Président du directoire SNCF.
Le train autonome en 4 étapes.
L’automatisation se fera en 4 étapes. La SNCF et ses partenaires ont arrêté un calendrier sous l’appellation GOA (Grade Of Automation ou niveau d’automatisation).
GOA 1 : en vigueur aujourd’hui soit une conduite manuelle contrôlée.
GOA 2 : une conduite sans les mains. Le conducteur surveille et l’automatisme calcule la vitesse, l’accélération et le freinage.
GOA 3 : conduite automatisée avec un chef de bord en capacité de reprendre la conduite.
GOA 4 : mise en service d’un train totalement autonome avec un représentant de l’entreprise ferroviaire à bord.
SNCF le déclare : ces transformations ne se feront pas au détriment de l’emploi. Elles se feront avec la transformation des métiers (télé-conducteur, superviseur...) et de nouvelles compétences en matière de maintenance, de télédépannage etc. L’humain et l’automatisation feront-ils bon ménage ? La question reste posée.
GOA 1 : en vigueur aujourd’hui soit une conduite manuelle contrôlée.
GOA 2 : une conduite sans les mains. Le conducteur surveille et l’automatisme calcule la vitesse, l’accélération et le freinage.
GOA 3 : conduite automatisée avec un chef de bord en capacité de reprendre la conduite.
GOA 4 : mise en service d’un train totalement autonome avec un représentant de l’entreprise ferroviaire à bord.
SNCF le déclare : ces transformations ne se feront pas au détriment de l’emploi. Elles se feront avec la transformation des métiers (télé-conducteur, superviseur...) et de nouvelles compétences en matière de maintenance, de télédépannage etc. L’humain et l’automatisation feront-ils bon ménage ? La question reste posée.