Le Maroc séduit toujours les touristes. © Wikipédia-Bachmont-Flickr-torraera.
Le Maroc continue de progresser sur le marché touristique.
En dépit d'un contexte géopolitique difficile, les arrivées globales sont en hausse de 9% à fin août 2014 et de 8% pour la France.
"L'image du Maroc reste très positive. Les voyageurs comprennent et savent que nous nous démarquons de nos voisins" assure Abderrafia Zouitene, le directeur général de l'office national du tourisme marocain.
Si l'ensemble du territoire a bénéficié de cette progression, certaines régions ont été particulièrement gâtées, comme Ouarzazate, Errachidia et Dakhlan, qui connaissent des croissances à deux chiffres.
De quoi diversifier l'éventail de produits disponibles et de séduire des clients fidèles qui connaissent déjà le pays.
Ces nouvelles régions sont également de bonnes opportunités de développement pour les agences de voyages.
Car aujourd'hui, le Maroc est devenu une destination particulièrement désintermédiée sur laquelle les TO doivent se différencier.
Seules 23% des ventes sont réalisées via les membres du SETO, suite notamment à la multiplication des lignes low-cost.
En dépit d'un contexte géopolitique difficile, les arrivées globales sont en hausse de 9% à fin août 2014 et de 8% pour la France.
"L'image du Maroc reste très positive. Les voyageurs comprennent et savent que nous nous démarquons de nos voisins" assure Abderrafia Zouitene, le directeur général de l'office national du tourisme marocain.
Si l'ensemble du territoire a bénéficié de cette progression, certaines régions ont été particulièrement gâtées, comme Ouarzazate, Errachidia et Dakhlan, qui connaissent des croissances à deux chiffres.
De quoi diversifier l'éventail de produits disponibles et de séduire des clients fidèles qui connaissent déjà le pays.
Ces nouvelles régions sont également de bonnes opportunités de développement pour les agences de voyages.
Car aujourd'hui, le Maroc est devenu une destination particulièrement désintermédiée sur laquelle les TO doivent se différencier.
Seules 23% des ventes sont réalisées via les membres du SETO, suite notamment à la multiplication des lignes low-cost.
Le plan Vision 2020 en retard
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Malgré tout, l'office du tourisme continue à investir auprès des professionnels, tout en soutenant le développement de la desserte aérienne.
"Nous avons besoin à la fois de compagnies régulières et du low-cost pour stimuler notre croissance" poursuit Abderrafia Zouitene.
Une stratégie déjà évoquée par le ministre des transports lors du dernier salon Connect à Marrakech.
Un développement aérien nécessaire pour transporter les 20 millions de visiteurs attendus d'ici six ans, comme le prévoit le plan Vision 2020.
Mais cet objectif devra semble-t-il être revu à la baisse.
"Nous serons peut-être en retard, car il a fallu s'adapter à la crise" concède Abderrafia Zouitene. "Mais nous poursuivons nos investissements à travers tout le pays".
La ville de Rabat va recevoir 1 milliard de dollars (787 millions d'euros) pour devenir une capitale culturelle.
L'hôtellerie poursuit également son développement, avec l'ouverture de nouvelles adresses et de nouvelles stations balnéaires pour d'atteindre prochainement le seuil des 380 000 lits.
"Nous avons besoin à la fois de compagnies régulières et du low-cost pour stimuler notre croissance" poursuit Abderrafia Zouitene.
Une stratégie déjà évoquée par le ministre des transports lors du dernier salon Connect à Marrakech.
Un développement aérien nécessaire pour transporter les 20 millions de visiteurs attendus d'ici six ans, comme le prévoit le plan Vision 2020.
Mais cet objectif devra semble-t-il être revu à la baisse.
"Nous serons peut-être en retard, car il a fallu s'adapter à la crise" concède Abderrafia Zouitene. "Mais nous poursuivons nos investissements à travers tout le pays".
La ville de Rabat va recevoir 1 milliard de dollars (787 millions d'euros) pour devenir une capitale culturelle.
L'hôtellerie poursuit également son développement, avec l'ouverture de nouvelles adresses et de nouvelles stations balnéaires pour d'atteindre prochainement le seuil des 380 000 lits.