Sananas (à droite) est l’une des youtubeuse mode et beauté les plus influentes en France. Djulicious (à gauche) est focalisée sur la cosmétique. ©TUI France
Fondé en 1965, le voyagiste français ne compte pas se laisser dépasser.
Pour faire connaître sa marque auprès des jeunes générations, Marmara mise sur Youtube, site web d’hébergement de vidéos.
Dimanche 3 mai 2015, 300 personnes étaient réunies sur une péniche en face de la bibliothèque François Mitterrand à Paris.
Un contexte magnifique pour accueillir les fameuses youtubeuses, Sananas et Djulicious, ainsi que leur communauté de fans (voir l'album photos).
« Il y a un phénomène de starification. Quand elles sont arrivées, leurs fans hurlaient », raconte Olivier Roche, directeur e-commerce de TUI France, encore ébahi par la puissance de frappe de ces influenceuses du net.
Quand on mesure le poids de leur visibilité sur la toile, c’est impressionnant : la chaîne Youtube de Sananas compte 500 000 personnes et celle de Djulicious 60 000.
Pour faire connaître sa marque auprès des jeunes générations, Marmara mise sur Youtube, site web d’hébergement de vidéos.
Dimanche 3 mai 2015, 300 personnes étaient réunies sur une péniche en face de la bibliothèque François Mitterrand à Paris.
Un contexte magnifique pour accueillir les fameuses youtubeuses, Sananas et Djulicious, ainsi que leur communauté de fans (voir l'album photos).
« Il y a un phénomène de starification. Quand elles sont arrivées, leurs fans hurlaient », raconte Olivier Roche, directeur e-commerce de TUI France, encore ébahi par la puissance de frappe de ces influenceuses du net.
Quand on mesure le poids de leur visibilité sur la toile, c’est impressionnant : la chaîne Youtube de Sananas compte 500 000 personnes et celle de Djulicious 60 000.
« Le premier meet-up dans le secteur du tourisme »
Les fans présents au meet-up le dimanche 3 mai à Paris ©TUI France
Ces deux jeunes femmes, youtubeuses mode et beauté, avaient invité leur communauté à venir passer une après-midi sur la péniche avec elles.
Aux manettes de cette rencontre, Marmara.
Dans le jargon du web, on appelle ce type d’événement un meet-up, anglicisme venant de to meet up (faire connaissance).
C’est un moment de réseautage social, centré sur un ou plusieurs centres d'intérêt communs.
En l’occurrence, il s’agissait ici de rassembler de potentiels clients pour la marque de voyage et de leur donner un avant-goût de l’expérience Marmara.
Au programme de l’après-midi, session de questions/réponses avec les youtubueuses, animation photos, stand de tatouage et de maquillage.
Et aussi démonstration de la nouvelle danse du village par le Collectif Métissé.
Aux manettes de cette rencontre, Marmara.
Dans le jargon du web, on appelle ce type d’événement un meet-up, anglicisme venant de to meet up (faire connaissance).
C’est un moment de réseautage social, centré sur un ou plusieurs centres d'intérêt communs.
En l’occurrence, il s’agissait ici de rassembler de potentiels clients pour la marque de voyage et de leur donner un avant-goût de l’expérience Marmara.
Au programme de l’après-midi, session de questions/réponses avec les youtubueuses, animation photos, stand de tatouage et de maquillage.
Et aussi démonstration de la nouvelle danse du village par le Collectif Métissé.
Faire le buzz sur les réseaux sociaux
Cliquer pour agrandir - Bilan du meet-up sur les réseaux sociaux ©TUI France
Apres avoir fait découvrir le Marmara Madina à Marrakech à ces deux stars du net (voir leurs vidéos), le voyagiste a voulu aller plus loin. « Elles avaient fait 14 vidéos, qui ont cumulé 1 million de vues.
Ce genre de campagne contribue à la notoriété de la marque. Nous avons donc voulu monter une autre opération pour faire le buzz », explique Olivier Roche.
Une des photos postées pendant le meet-up (un selfie) a généré plus de 18 000 likes sur Instagram.
Et le bilan sur les réseaux sociaux (voir ci-contre) est positif, notamment grâce à la création d'un hashtag spécifique à la rencontre : #DJUNANAS.
Ce genre de campagne contribue à la notoriété de la marque. Nous avons donc voulu monter une autre opération pour faire le buzz », explique Olivier Roche.
Une des photos postées pendant le meet-up (un selfie) a généré plus de 18 000 likes sur Instagram.
Et le bilan sur les réseaux sociaux (voir ci-contre) est positif, notamment grâce à la création d'un hashtag spécifique à la rencontre : #DJUNANAS.
Identifier de nouveaux youtubeurs
L’équipe Marmara ©TUI France
« Nous voulons toucher les personnes qui utilisent les nouveaux médias », poursuit le directeur e-commerce.
Pourquoi avoir choisi des youtubeuses beauté et non pas voyage ? « Parce que ces communautés sont nos prochains clients », réplique naturellement Olivier Roche.
Les community managers, Matt et Lolita, continuent d'ailleurs d’identifier de nouvelles communautés sur Youtube.
« Nous nous rapprochons du groupe humoristique Woop par exemple.
On ne s'empêche rien tant que ça fonctionne », conclut le créatif directeur e-commerce.
Pourquoi avoir choisi des youtubeuses beauté et non pas voyage ? « Parce que ces communautés sont nos prochains clients », réplique naturellement Olivier Roche.
Les community managers, Matt et Lolita, continuent d'ailleurs d’identifier de nouvelles communautés sur Youtube.
« Nous nous rapprochons du groupe humoristique Woop par exemple.
On ne s'empêche rien tant que ça fonctionne », conclut le créatif directeur e-commerce.
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