I Have a dream… Accor Hotels qui caracole aujourd’hui en tête des premières chaînes mondiales d’hôtellerie se disait qu’il aurait pu faire d’une pierre deux coups : devenir le sauveur de la compagnie tricolore et intégrer un modèle vertical (LIRE) cher à nos industriels du tourisme d’Outre-Rhin.
Mais d’après vous pourquoi les teutons ont voulu à tout prix se débarrasser (certains ça leur colle encore aux basques, suivez mon regard ;O)) de leurs compagnies aériennes ? Poser la question c’est y répondre.
Le modèle du tour operating intégré est devenu totalement ringard, tellement le métier a évolué, bousculé par les nouvelles technologies et le self packaging.
Mais d’après vous pourquoi les teutons ont voulu à tout prix se débarrasser (certains ça leur colle encore aux basques, suivez mon regard ;O)) de leurs compagnies aériennes ? Poser la question c’est y répondre.
Le modèle du tour operating intégré est devenu totalement ringard, tellement le métier a évolué, bousculé par les nouvelles technologies et le self packaging.
Et l'avènement des low cost a sonné le glas de ce schéma obsolète : j’achète un billet, je réserve un hôtel et je me barre ! End of the story.
Cette décision est néanmoins lourde de conséquences pour le transporteur dont les gros bras viennent de couler leur dernière bouée.
De plus en plus “opéable”, de moins en moins française, l’appareil Air France perd de la hauteur jour après jour.
Les syndicats se fourrent le doigt dans l’oeil jusqu’au coude s’ils pensent que les 14% d’actions et des bricoles détenues par l’Etat sont un parachute qui les préservera du crash final.
On sait par expérience que les compagnies nationales (Sabena, Alitalia, Swiss, Olympic…) sont, comme les civilisations, mortelles.
Hélas, l’expérience est une lanterne qui n’éclaire que le chemin déjà parcouru...
Cette décision est néanmoins lourde de conséquences pour le transporteur dont les gros bras viennent de couler leur dernière bouée.
De plus en plus “opéable”, de moins en moins française, l’appareil Air France perd de la hauteur jour après jour.
Les syndicats se fourrent le doigt dans l’oeil jusqu’au coude s’ils pensent que les 14% d’actions et des bricoles détenues par l’Etat sont un parachute qui les préservera du crash final.
On sait par expérience que les compagnies nationales (Sabena, Alitalia, Swiss, Olympic…) sont, comme les civilisations, mortelles.
Hélas, l’expérience est une lanterne qui n’éclaire que le chemin déjà parcouru...
Publié par Jean Da Luz
Directeur de la Rédaction
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