French Bee publie un droit de réponse suite à l'article de Polynésie Première - DR
Il y a tout juste une semaine nous vous relations la condamnation de French Bee, par le Tribunal de Papeete pour non-remboursement d'un billet d'avion.
Comme le révélait nos confrères de Polynésie Première la compagnie "qui avait refusé de rembourser le billet d'avion d'un résident de Moorea après l'annulation de son vol l'an dernier, en raison de la crise sanitaire."
La low cost a été condamnée en référé le 3 mai 2021, alors que la compagnie avait dans un 1er temps maintenu ce refus de remboursement après une mise en demeure avant de finalement rembourser son client, 1 mois après son assignation en référé.
Frenche Bee dément ces affirmations, dans un droit de réponse.
Comme le révélait nos confrères de Polynésie Première la compagnie "qui avait refusé de rembourser le billet d'avion d'un résident de Moorea après l'annulation de son vol l'an dernier, en raison de la crise sanitaire."
La low cost a été condamnée en référé le 3 mai 2021, alors que la compagnie avait dans un 1er temps maintenu ce refus de remboursement après une mise en demeure avant de finalement rembourser son client, 1 mois après son assignation en référé.
Frenche Bee dément ces affirmations, dans un droit de réponse.
Le droit de réponse de French Bee :
Autres articles
-
Air Caraïbes réceptionne son A350 densifié pour les Antilles et... la Réunion !
-
Corsair abandonne sa ligne vers Montréal ! [ABO]
-
Taxe solidarité : Air Caraïbes et French bee suspendent le prélèvement et remboursent !
-
Taxe Chirac : prix des billets d'avion en hausse pour les Outre-mer ! 🔑
-
Les recettes d’Air Caraïbes et de French Bee pour rester compétitives 🔑
"French bee n’a jamais refusé de rembourser le client objet de l’ordonnance de référé 20/00332.
Nous avons, dans un premier temps et comme l’ensemble de compagnies aériennes, proposé des reports ou des avoirs à nos clients. Puis, dès le 2 juin 2020, nous avons commencé à procéder aux remboursements.
Cela étant, compte-tenu du volume important de transactions, certains dossiers ont pris du temps à être régularisés et nous nous en excusons auprès de nos clients. A titre informatif, dès début juillet 2020, toutes les demandes de remboursement ont été traitées dans un délai d’environ 4 semaines."
Concernant la condamnation, French Bee Frencha remboursé ce client avant l’ordonnance de référé 20/00332, "raison pour laquelle le client s’est d’ailleurs désisté de sa demande de remboursement.
La condamnation dont il est fait état dans l’article de Polynésie 1ère ressort uniquement de l’article 407 du code de procédure civile de la Polynésie Française qui précise : en toute matière, civile, commerciale ou sociale lorsqu’il paraît inéquitable de laisser à la charge d’une partie les sommes exposées par elle et non comprises dans les dépenses, le juge peut condamner l’autre partie à lui payer le montant qu’il détermine.
Loin d’avoir été condamnée à indemniser ce client à hauteur du double du prix du billet d’avion, la compagnie a uniquement été condamnée à rembourser l’exact montant des frais déboursés par le client pour l’intervention de son avocat. "
Nous avons, dans un premier temps et comme l’ensemble de compagnies aériennes, proposé des reports ou des avoirs à nos clients. Puis, dès le 2 juin 2020, nous avons commencé à procéder aux remboursements.
Cela étant, compte-tenu du volume important de transactions, certains dossiers ont pris du temps à être régularisés et nous nous en excusons auprès de nos clients. A titre informatif, dès début juillet 2020, toutes les demandes de remboursement ont été traitées dans un délai d’environ 4 semaines."
Concernant la condamnation, French Bee Frencha remboursé ce client avant l’ordonnance de référé 20/00332, "raison pour laquelle le client s’est d’ailleurs désisté de sa demande de remboursement.
La condamnation dont il est fait état dans l’article de Polynésie 1ère ressort uniquement de l’article 407 du code de procédure civile de la Polynésie Française qui précise : en toute matière, civile, commerciale ou sociale lorsqu’il paraît inéquitable de laisser à la charge d’une partie les sommes exposées par elle et non comprises dans les dépenses, le juge peut condamner l’autre partie à lui payer le montant qu’il détermine.
Loin d’avoir été condamnée à indemniser ce client à hauteur du double du prix du billet d’avion, la compagnie a uniquement été condamnée à rembourser l’exact montant des frais déboursés par le client pour l’intervention de son avocat. "