La période estivale est toujours très chargée pour le pays le plus visité du monde, et le mois de juillet 2018 ne fait que confirmer cela, avec un nouveau record historique.
Ainsi, les juilletistes ont été 17,8 millions à fréquenter le ciel français, pour une augmentation de 3,9% par rapport à juillet 2017, lui-même détenteur du précédent record.
Ces bonnes performances sont boostées par les vols internationaux, avec notamment une importante croissance sur les destinations que sont le Canada (+16,0%), États-Unis (+11,1%), Brésil (+9,4%) et Tunisie (+9,0%). Dans le même temps, l'Algérie (-5,2%) et le Royaume-Uni (-2%) décroissent. Au niveau des continents, l'Amérique dans son ensemble tire le transport aérien vers le haut, alors que la croissance fléchit un peu ailleurs, notamment avec l'Afrique.
Autre signal positif, le marché intérieur est reparti à la hausse (+3,7%), après des mois compliqués qui furent marqués par les grèves des contrôleurs aériens et celles du personnel d'Air France.
A lire : "Le CDG Express... Est un gros enfumage !" selon Jean-Pierre Sauvage (BAR)
Ainsi, les juilletistes ont été 17,8 millions à fréquenter le ciel français, pour une augmentation de 3,9% par rapport à juillet 2017, lui-même détenteur du précédent record.
Ces bonnes performances sont boostées par les vols internationaux, avec notamment une importante croissance sur les destinations que sont le Canada (+16,0%), États-Unis (+11,1%), Brésil (+9,4%) et Tunisie (+9,0%). Dans le même temps, l'Algérie (-5,2%) et le Royaume-Uni (-2%) décroissent. Au niveau des continents, l'Amérique dans son ensemble tire le transport aérien vers le haut, alors que la croissance fléchit un peu ailleurs, notamment avec l'Afrique.
Autre signal positif, le marché intérieur est reparti à la hausse (+3,7%), après des mois compliqués qui furent marqués par les grèves des contrôleurs aériens et celles du personnel d'Air France.
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Le pavillon français et les aéroports font le plein
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Cette frénésie généralisée profite aussi aux transporteurs, qu'ils soient sous pavillon français ou non. Ce mois de juillet 2018 représente le plus petit différentiel (1,5 point) entre la croissance constatée par la flotte nationale et celle internationale.
Les avions volant pour le compte des compagnies françaises ont observé une augmentation de son trafic de 3%, alors que les compagnies internationales ont connu un accroissement de leur trafic de 4,5%.
Toutefois, il convient de noter que le pavillon français a vu ses parts de marché baisser, par rapport à 2017. Le trafic intérieur est desservi à 79,9% par les avions hexagonaux contre 81,2% en 2017, la régression se fait aussi ressentir au niveau international.
Si les passagers sont plus nombreux dans le ciel, cela profite aussi à nos aéroports, mais avec des formes plutôt disparates. A Paris, le cap des 60 millions de passagers vient d'être franchi, et pour la première fois aussi tôt dans l'année, cela est dû au dynamisme en juillet 2018 de Roissy (+4,1% contre 2,8% pour Orly).
Alors que le bassin parisien se porte comme un charme, l'arc méditerranéen porté par ses mastodontes que sont Marseille (1,8%) est Nice (+1,6) semble fléchir comparativement à l'Atlantique. Nantes (+11,8%) et Bordeaux (+10,6%) affichent des croissances indécentes.
Allons-nous vers un nouveau record en août 2018 ? Verdict dans quelques jours, mais vous pouvez nous livrer vos pronostics sur TourMaG.com.
Les avions volant pour le compte des compagnies françaises ont observé une augmentation de son trafic de 3%, alors que les compagnies internationales ont connu un accroissement de leur trafic de 4,5%.
Toutefois, il convient de noter que le pavillon français a vu ses parts de marché baisser, par rapport à 2017. Le trafic intérieur est desservi à 79,9% par les avions hexagonaux contre 81,2% en 2017, la régression se fait aussi ressentir au niveau international.
Si les passagers sont plus nombreux dans le ciel, cela profite aussi à nos aéroports, mais avec des formes plutôt disparates. A Paris, le cap des 60 millions de passagers vient d'être franchi, et pour la première fois aussi tôt dans l'année, cela est dû au dynamisme en juillet 2018 de Roissy (+4,1% contre 2,8% pour Orly).
Alors que le bassin parisien se porte comme un charme, l'arc méditerranéen porté par ses mastodontes que sont Marseille (1,8%) est Nice (+1,6) semble fléchir comparativement à l'Atlantique. Nantes (+11,8%) et Bordeaux (+10,6%) affichent des croissances indécentes.
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