Le métavers a percé l'écran et les réseaux sociaux en 2022.
Une fois la puissance du buzz passé, l'univers virtuel continue d'exister et maintenant d'attirer les marques.
"Il ne s'essouffle pas depuis le début de l'année, l'attention ne s'est pas relâchée. C'est un vrai sujet et il est bien parti pour être notre monde," nous expliquait Sophie Lacour, la DG d'Advanced Tourism.
Si le tourisme ne saisit pas toujours les enjeux de cette révolution, l'aérien semble s'emparer du sujet. Après Qatar Airways, c'est à Vueling de se plonger dans cet univers parallèle.
Associée à Next Earth, la troisième plateforme du métavers, et à Iomob, une startup de services de mobilité partagée, la compagnie espagnole proposera la vente de billets dans le métavers d'ici la fin de l'année 2022.
Une fois la puissance du buzz passé, l'univers virtuel continue d'exister et maintenant d'attirer les marques.
"Il ne s'essouffle pas depuis le début de l'année, l'attention ne s'est pas relâchée. C'est un vrai sujet et il est bien parti pour être notre monde," nous expliquait Sophie Lacour, la DG d'Advanced Tourism.
Si le tourisme ne saisit pas toujours les enjeux de cette révolution, l'aérien semble s'emparer du sujet. Après Qatar Airways, c'est à Vueling de se plonger dans cet univers parallèle.
Associée à Next Earth, la troisième plateforme du métavers, et à Iomob, une startup de services de mobilité partagée, la compagnie espagnole proposera la vente de billets dans le métavers d'ici la fin de l'année 2022.
Métavers : "visualiser les trajets dans le monde réel" selon Vueling
Iomob est chargée de créer une application propre à Vueling dans la métavers qui en complément des billets d’avion, proposera des services de mobilité du dernier kilomètre (e-scooters, scooters, Uber, transports publics, etc).
"L'utilisateur pourra visualiser les trajets dans le monde réel ainsi que l'empreinte carbone de chaque étape, aussi sélectionner et réserver le meilleur moyen de transport pour son trajet," précise le communiqué de presse.
L'application générée par Iomob sera à terme un outil afin de planifier un voyage. Le transporteur entend via ce virage pris d'enrichir l'expérience et aussi la rendre plus personnelle.
Proposé dans Next Earth, ce dernier est l'un des 3 métavers existants et comporte plus de 230 000 utilisateurs, pour 45 000 propriétaires virtuels. Pour ceux qui ont tenu jusqu'ici, sans rien comprendre, Sophie Lacour d'expliquer ce qu'est cette révolution digitale.
"C'est un environnement virtuel, persistant, décentralisé, collaboratif, interopérable et indexé au monde physique. Un peu comme l'intelligence artificielle, le métavers déchaine tous les fantasmes".
Une fois la définition donnée, allons plus loin.
Ce monde virtuel est tout simplement la suite logique de la digitalisation croissante de la société. Les internautes utilisent de plus en plus les avatars, ils sont une extension de soi.
Les nouvelles générations ne sont plus digital native, mais native. Elles naviguent entre le virtuel et le réel.
"Nous y avons des monnaies, des transactions, des mariages, des cimetières et des manifestations. Nous y trouvons aussi des villes, un point important pour le tourisme.
Séoul y sera présente et entend utiliser le métavers pour le tourisme, avec la reconstitution de lieux existants," conclut la chercheuse.
"L'utilisateur pourra visualiser les trajets dans le monde réel ainsi que l'empreinte carbone de chaque étape, aussi sélectionner et réserver le meilleur moyen de transport pour son trajet," précise le communiqué de presse.
L'application générée par Iomob sera à terme un outil afin de planifier un voyage. Le transporteur entend via ce virage pris d'enrichir l'expérience et aussi la rendre plus personnelle.
Proposé dans Next Earth, ce dernier est l'un des 3 métavers existants et comporte plus de 230 000 utilisateurs, pour 45 000 propriétaires virtuels. Pour ceux qui ont tenu jusqu'ici, sans rien comprendre, Sophie Lacour d'expliquer ce qu'est cette révolution digitale.
"C'est un environnement virtuel, persistant, décentralisé, collaboratif, interopérable et indexé au monde physique. Un peu comme l'intelligence artificielle, le métavers déchaine tous les fantasmes".
Une fois la définition donnée, allons plus loin.
Ce monde virtuel est tout simplement la suite logique de la digitalisation croissante de la société. Les internautes utilisent de plus en plus les avatars, ils sont une extension de soi.
Les nouvelles générations ne sont plus digital native, mais native. Elles naviguent entre le virtuel et le réel.
"Nous y avons des monnaies, des transactions, des mariages, des cimetières et des manifestations. Nous y trouvons aussi des villes, un point important pour le tourisme.
Séoul y sera présente et entend utiliser le métavers pour le tourisme, avec la reconstitution de lieux existants," conclut la chercheuse.