Le trafic de l'aéroport de Bordeaux est en retrait de 4,6%, en février 2009. "Un recul largement imputable à la conjoncture économique avec, en corollaire, des réductions d’offres de sièges par les compagnies aériennes, aggravé par un écart calendaire peu favorable en 2009 (un jour de moins en février 2009 par rapport à février 2008)." explique la plate-forme dans un communiqué de presse.
Avec 1,7% de croissance, le trafic sur la France représente 164.800 passagers, essentiellement dopé par la dynamique de la desserte Bordeaux-Lyon qui, grâce à l’augmentation d’offre de sièges par Air France et easyJet de 30% par rapport à celle de février 2008, affiche 33.500 passagers dans le mois, soit une progression de +46,8%.
Marseille gagne +2% de trafic, avec 11.000 passagers et Paris Charles-de-Gaulle est stable avec 37.700 passagers (-0,1%). Nantes, Lille et Strasbourg sont en retrait, en corrélation avec les baisses des offres de sièges.
Avec 1,7% de croissance, le trafic sur la France représente 164.800 passagers, essentiellement dopé par la dynamique de la desserte Bordeaux-Lyon qui, grâce à l’augmentation d’offre de sièges par Air France et easyJet de 30% par rapport à celle de février 2008, affiche 33.500 passagers dans le mois, soit une progression de +46,8%.
Marseille gagne +2% de trafic, avec 11.000 passagers et Paris Charles-de-Gaulle est stable avec 37.700 passagers (-0,1%). Nantes, Lille et Strasbourg sont en retrait, en corrélation avec les baisses des offres de sièges.
Trafic international en baisse
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Quant au trafic de la Navette sur Orly, la baisse de 3,5% est probablement due à celle du trafic affaires sur cette destination.
L’impact de la crise économique signe, pour le sixième mois consécutif, la baisse du trafic international après plus de quatre ans de croissance.
Trafic très contrasté à l’échelle européenne où les destinations qui tirent leur épingle du jeu sont Amsterdam, second « hub » international de Air France/KLM, à +9,5% (6.300 passagers), Londres Gatwick desservie par British Airways à +19,4% (6.800 passagers), Genève à + 4,7% (5.300 passagers) avec la complémentarité de l’offre Baboo et easyJet, ou encore Madrid à +1,7% (5.300 passagers) et Rome : +90,3% (1.000 passagers), grâce aux augmentations très significatives de fréquences d’Air France passant de 2 à 4 vols par semaine depuis début février.
L’impact de la crise économique signe, pour le sixième mois consécutif, la baisse du trafic international après plus de quatre ans de croissance.
Trafic très contrasté à l’échelle européenne où les destinations qui tirent leur épingle du jeu sont Amsterdam, second « hub » international de Air France/KLM, à +9,5% (6.300 passagers), Londres Gatwick desservie par British Airways à +19,4% (6.800 passagers), Genève à + 4,7% (5.300 passagers) avec la complémentarité de l’offre Baboo et easyJet, ou encore Madrid à +1,7% (5.300 passagers) et Rome : +90,3% (1.000 passagers), grâce aux augmentations très significatives de fréquences d’Air France passant de 2 à 4 vols par semaine depuis début février.
Fortes baisses pour les vols charters
L’ensemble des autres grandes villes européennes donnent des résultats en retrait, en rapport avec les réductions d’offres de sièges des compagnies : Londres Luton -40% (3.500 passagers), Barcelone -10,9% (1.200 passagers), Lisbonne -37,9% (1.000 passagers) qui devient en revanche quotidien dès mars, et enfin Porto -66,8% (300 passagers).
Quant à l’Afrique du Nord, Alger augmente de 5% son trafic. La desserte régulière Bordeaux-Marrakech d’Atlas Blue est en croissance de +33% (3.100 passagers).
Le trafic global sur Maroc est pourtant en légère baisse de 6% ainsi que celui de Tunis (- 6%). Effet direct de la crise pour les vols charters dont les résultats sont en forte baisse avec -27% (notamment sur Djerba et Dakar).
Quant à l’Afrique du Nord, Alger augmente de 5% son trafic. La desserte régulière Bordeaux-Marrakech d’Atlas Blue est en croissance de +33% (3.100 passagers).
Le trafic global sur Maroc est pourtant en légère baisse de 6% ainsi que celui de Tunis (- 6%). Effet direct de la crise pour les vols charters dont les résultats sont en forte baisse avec -27% (notamment sur Djerba et Dakar).