Valérie Boned, secrétaire générale des Entreprises du Voyages a annoncé lors d'une visio-conférence que le chômage partiel sera pris en charge à 100% pour les mois de janvier et février.
Cette décision est actée a précisé le syndicat dans un communiqué de presse. En revanche, pour le mois de mars, le chômage partiel devrait être pris en charge à hauteur de 85%.
Autre mesure actée : le fonds de solidarité va également être reconduit pour le mois de janvier.
Pour décembre et janvier, il y aura également bien une reconduction des exonérations des charges sociales.
L’accessibilité à cette exonération est conditionnée aux nombres de salariés dans l’entreprise (- 250 salariés) et à une perte du CA d’au moins 50% ajoute les EDV.
Cette décision est actée a précisé le syndicat dans un communiqué de presse. En revanche, pour le mois de mars, le chômage partiel devrait être pris en charge à hauteur de 85%.
Autre mesure actée : le fonds de solidarité va également être reconduit pour le mois de janvier.
Pour décembre et janvier, il y aura également bien une reconduction des exonérations des charges sociales.
L’accessibilité à cette exonération est conditionnée aux nombres de salariés dans l’entreprise (- 250 salariés) et à une perte du CA d’au moins 50% ajoute les EDV.
Accord de branche : l'APLD soumis à signature
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Enfin le début du remboursement du PGE (Prêt garanti par l'Etat) est reporté d’un an, de mars 2021 à mars 2022.
Le syndicat a par ailleurs annoncé la finalisation de la mise en place de l’Activité partielle de longue durée (APLD). L’accord de branche est actuellement soumis à signature auprès des organisations syndicales. La CFTC a fait savoir qu'elle allait signer l'accord. Idem pour FO. En revanche la CFDT ne sera pas signataire dans la branche des agences de voyages précisant que l'accord "ne contient pas d’engagements en termes de maintien dans l’emploi et de formation".
"Pour la CFDT, cet accord est dangereux car il permet, par un document unilatéral de branche, une exemption du maintien dans l’emploi, ce qui démontre un manque d’éthique de la part des employeurs" explique un communiqué de presse.
L’APLD est mobilisable par toutes les entreprises - confrontées à une réduction d’activité durable - implantées sur le territoire national, sans critère de taille. Il peut être mis en place dans la limite de 24 mois, consécutifs ou non, sur une période de 36 mois consécutifs.
Le syndicat a par ailleurs annoncé la finalisation de la mise en place de l’Activité partielle de longue durée (APLD). L’accord de branche est actuellement soumis à signature auprès des organisations syndicales. La CFTC a fait savoir qu'elle allait signer l'accord. Idem pour FO. En revanche la CFDT ne sera pas signataire dans la branche des agences de voyages précisant que l'accord "ne contient pas d’engagements en termes de maintien dans l’emploi et de formation".
"Pour la CFDT, cet accord est dangereux car il permet, par un document unilatéral de branche, une exemption du maintien dans l’emploi, ce qui démontre un manque d’éthique de la part des employeurs" explique un communiqué de presse.
L’APLD est mobilisable par toutes les entreprises - confrontées à une réduction d’activité durable - implantées sur le territoire national, sans critère de taille. Il peut être mis en place dans la limite de 24 mois, consécutifs ou non, sur une période de 36 mois consécutifs.
Niveau de prise en charge prévu par l’accord de branche (sous conditions que cet accord soit signé)
Du côté de l’employeur
L’employeur devrait recevoir une allocation équivalente à 85% de la rémunération horaire brute.
Du côté du salarié
Le salarié placé en activité partielle spécifique devrait reçevoir une indemnité horaire, versée par son employeur, correspondant à 70% de son salaire brute.
L’employeur devrait recevoir une allocation équivalente à 85% de la rémunération horaire brute.
Du côté du salarié
Le salarié placé en activité partielle spécifique devrait reçevoir une indemnité horaire, versée par son employeur, correspondant à 70% de son salaire brute.