"La Présidente duTribunal a annoncé des pertes abyssales à hauteur de 148 millions d'euros" selon la CFDT - Crédit photo : Aigle Azur
Raphaël Caccia, le secrétaire général de la division aérienne de la CFDT, confie ses impressions à la sortie du Tribunal de Commerce d'Evry : "Le Président du Tribunal a annoncé des pertes abyssales à hauteur de 148 millions d'euros.
Nous avons demandé (les syndicats, ndlr) la mise en place d'un plan de cession à travers la négociation d'un accord de performances collectives, avec Air France et le groupe Dubrueil. Demande qui a été faite par une lettre.
(Des applaudissements se font entendre, ndlr) Certains applaudissent le directeur général et ses pertes exceptionnelles (ironie ndlr). Nous souhaitons que l'offre émise par Air France soit celle choisie, mais nous ne parlons pas de reprise.
Avec 148 millions d'euros de perte, vous pensez bien, qu'il n'y aura jamais de reprise. Nous partons sur une négociation des conditions de reclassement du personnel.
Nous ne connaissons pas la position du Tribunal. Si notre demande n'est pas acceptée, nous nous dirigeons vers la liquidation, avec re-ventilation des flottes, etc.
L'offre d'Air France et du groupe Dubreuil concerne un reclassement de 80% des effectifs basés en France."
Nous avons demandé (les syndicats, ndlr) la mise en place d'un plan de cession à travers la négociation d'un accord de performances collectives, avec Air France et le groupe Dubrueil. Demande qui a été faite par une lettre.
(Des applaudissements se font entendre, ndlr) Certains applaudissent le directeur général et ses pertes exceptionnelles (ironie ndlr). Nous souhaitons que l'offre émise par Air France soit celle choisie, mais nous ne parlons pas de reprise.
Avec 148 millions d'euros de perte, vous pensez bien, qu'il n'y aura jamais de reprise. Nous partons sur une négociation des conditions de reclassement du personnel.
Nous ne connaissons pas la position du Tribunal. Si notre demande n'est pas acceptée, nous nous dirigeons vers la liquidation, avec re-ventilation des flottes, etc.
L'offre d'Air France et du groupe Dubreuil concerne un reclassement de 80% des effectifs basés en France."
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Alors que la compagnie se dirigeait tout droit vers une liquidation, option privilégiée par Air France, selon une source proche du dossier, la compagnie nationale française est revenue à la charge ces dernières heures.
L'offre émise conjointement avec Air Caraïbes a sensiblement évolué.
Les offres de Guérin et Houa n'étaient pas financées, elles n'avaient donc aucune chance d'être retenues, d'autant plus avec la dette astronomique.
Nous vous tiendrons informés dans cet article, des évolutions du dossier Aigle Azur.
L'offre émise conjointement avec Air Caraïbes a sensiblement évolué.
Les offres de Guérin et Houa n'étaient pas financées, elles n'avaient donc aucune chance d'être retenues, d'autant plus avec la dette astronomique.
Nous vous tiendrons informés dans cet article, des évolutions du dossier Aigle Azur.
Point à 14 heures :
"Il n'y a rien de nouveau, quant à une décision.
Ils ont autorisé LU Azur à faire sa proposition, sans doute pour éviter un vice de procédure. Après ce n'est pas une offre crédible, puis Houa ne pouvait pas dire qu'il ne savait pas pour la dette.
Actuellement, nous avons 4 offres, Dubreuil, Air France, LU Azur et éventuellement easyJet. Concernant la low cost, nous ne savons pas grand-chose, ils attendent surtout la liquidation."
Ils ont autorisé LU Azur à faire sa proposition, sans doute pour éviter un vice de procédure. Après ce n'est pas une offre crédible, puis Houa ne pouvait pas dire qu'il ne savait pas pour la dette.
Actuellement, nous avons 4 offres, Dubreuil, Air France, LU Azur et éventuellement easyJet. Concernant la low cost, nous ne savons pas grand-chose, ils attendent surtout la liquidation."