Air Partner a organisé le 21 octobre dernier un éductour à Perpignan. L'occasion pour les agences de découvrir les prestations offertes par le courtier. DR
Malgré la concurrence et la situation économique, Air Partner est en croissance sur le marché français.
Le courtier, présent depuis 20 ans à Paris, compte terminer l'année avec un chiffre d'affaires supérieur à 50 millions d'euros au 31 janvier 2015.
Sa branche aviation commerciale a engrangé, entre avril et octobre 2014, près de 1 500 vols, dont 1 300 uniquement en affrètement pour les TO. Soit un volume similaire au montant total de l'exercice précédent.
L'aviation commerciale pèse 66% de son chiffre d'affaires et se maintient malgré la concurrence toujours très féroce sur le secteur de l’événementiel des congrès ainsi que des vols sportifs.
"Les opérations sont moins nombreuses et se font moins loin. Les agences n'ont plus forcément les moyens d'affréter un avion entier et préfèrent voyager en vols réguliers", explique Jonathan Raimbault, directeur de l'aviation commerciale
Pourtant, face à la complexité du service groupes de certaines compagnies aériennes, les clients continuent de faire appel au courtier afin traiter au plus vite leur demande, de comparer les offres et les destinations.
Le courtier, présent depuis 20 ans à Paris, compte terminer l'année avec un chiffre d'affaires supérieur à 50 millions d'euros au 31 janvier 2015.
Sa branche aviation commerciale a engrangé, entre avril et octobre 2014, près de 1 500 vols, dont 1 300 uniquement en affrètement pour les TO. Soit un volume similaire au montant total de l'exercice précédent.
L'aviation commerciale pèse 66% de son chiffre d'affaires et se maintient malgré la concurrence toujours très féroce sur le secteur de l’événementiel des congrès ainsi que des vols sportifs.
"Les opérations sont moins nombreuses et se font moins loin. Les agences n'ont plus forcément les moyens d'affréter un avion entier et préfèrent voyager en vols réguliers", explique Jonathan Raimbault, directeur de l'aviation commerciale
Pourtant, face à la complexité du service groupes de certaines compagnies aériennes, les clients continuent de faire appel au courtier afin traiter au plus vite leur demande, de comparer les offres et les destinations.
L'activité tour-operating se maintient malgré des marges très faibles
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Autre secteur, celui du tour-operating, dont le nombre d'heures de vols pourrait d'ailleurs terminer en croissance, même si les marges sont proches de zéro. Air Partner se rattrape donc sur le volume.
Comme pour les agences événementielles, rares sont les TO qui peuvent aujourd'hui s'engager sur un avion entier.
"Nous les aidons à organiser des co-affrétements en trouvant des partenaires pour partager les sièges", poursuit Jonathan Raimbault.
Du coté de l'aviation privée, qui génère plus de marge, l'activité est en progression, car le marché est loin d'être mature en France. Ce secteur pèse aujourd'hui 25% du chiffre d'affaires contre 12 à 15% il y a trois ans.
Mais pour progresser, le courtier s'interdit aujourd'hui d'utiliser des avions mono-moteurs, alors que la législation l'autorise. "Nous n'avons pas assez de recul sur ces appareils et préférons ne pas prendre de risques".
Air Partner parie en revanche sur son système informatique, dans lequel le groupe investit plusieurs millions par an. Un CRM tout neuf permet de mieux piloter les ventes et sa base de données aériennes évalue en permanence la santé d'un fournisseur.
De quoi éviter les déconvenues et permettre au client d'être pleinement satisfait.
Comme pour les agences événementielles, rares sont les TO qui peuvent aujourd'hui s'engager sur un avion entier.
"Nous les aidons à organiser des co-affrétements en trouvant des partenaires pour partager les sièges", poursuit Jonathan Raimbault.
Du coté de l'aviation privée, qui génère plus de marge, l'activité est en progression, car le marché est loin d'être mature en France. Ce secteur pèse aujourd'hui 25% du chiffre d'affaires contre 12 à 15% il y a trois ans.
Mais pour progresser, le courtier s'interdit aujourd'hui d'utiliser des avions mono-moteurs, alors que la législation l'autorise. "Nous n'avons pas assez de recul sur ces appareils et préférons ne pas prendre de risques".
Air Partner parie en revanche sur son système informatique, dans lequel le groupe investit plusieurs millions par an. Un CRM tout neuf permet de mieux piloter les ventes et sa base de données aériennes évalue en permanence la santé d'un fournisseur.
De quoi éviter les déconvenues et permettre au client d'être pleinement satisfait.