La Cie à la Tiare recompensée d’un SkyTrax Award, dans la catégorie « petites compagnies », pour l’excellence de son service à bord
Air Tahiti Nui a connu une croissance rapide depuis sa création il y a sept ans. «Nous sommes passé de un à cinq appareils en quatre ans. Aujourd’hui, notre compagnie est entrée dans une phase de consolidation, et nous ne prévoyons pas d’accroître notre flotte dans les trois ans à venir», précise Jean Marc Hastings, son directeur France et Europe.
Le transporteur polynésien opère uniquement des A 340-300 de 294 passagers configurés en trois classes, six en première, 24 en business et 264 en éco.
C’est en 1998 qu’Air Tahiti Nui a pris son envol avec la desserte de Papeete depuis Tokyo (ligne qu’Air France cesse alors d’opérer) et Los Angeles, puis l’ouverture deux ans plus tard d’Osaka et Auckland qui s’étend à Sydney l’année suivante.
Bientôt trois vols directs Papeete-New York
En 2002, le retrait d’Air Liberté de la ligne Paris-Los Angeles-Tahiti conjugué à l’arrivée d’un nouvel appareil marque son implantation européenne. Une desserte renforcée après le retrait de Corsair en mars 2003. Aujourd’hui la compagnie est très présente sur la Côte Ouest états-unienne avec 11 à 14 vols par semaine entre Tahiti et Los Angeles.
L’arrivée de son cinquième A 340 en juillet dernier lui a permis d’ouvrir deux nouvelles lignes : Sydney-Papeete (2 vols par semaine, bientôt 3) et Papeete-New York (3 vols hebdomadaires. Les correspondances deviennent excellentes (deux heures maximum, dans les deux sens) entre l’Australie et la Nouvelle Zélande d’un côté, les Etats-Unis et l’Europe de l’autre.
Air Tahiti Nui est en outre la seule compagnie à relier directement le Pacifique Sud à la Côte Est des Etats-Unis. L’un de ses trois vols entre Tahiti et New York devrait être prochainement prolongé jusqu’à Paris, ceci sous couvert d’approbation gouvernementale.
Le transporteur polynésien opère uniquement des A 340-300 de 294 passagers configurés en trois classes, six en première, 24 en business et 264 en éco.
C’est en 1998 qu’Air Tahiti Nui a pris son envol avec la desserte de Papeete depuis Tokyo (ligne qu’Air France cesse alors d’opérer) et Los Angeles, puis l’ouverture deux ans plus tard d’Osaka et Auckland qui s’étend à Sydney l’année suivante.
Bientôt trois vols directs Papeete-New York
En 2002, le retrait d’Air Liberté de la ligne Paris-Los Angeles-Tahiti conjugué à l’arrivée d’un nouvel appareil marque son implantation européenne. Une desserte renforcée après le retrait de Corsair en mars 2003. Aujourd’hui la compagnie est très présente sur la Côte Ouest états-unienne avec 11 à 14 vols par semaine entre Tahiti et Los Angeles.
L’arrivée de son cinquième A 340 en juillet dernier lui a permis d’ouvrir deux nouvelles lignes : Sydney-Papeete (2 vols par semaine, bientôt 3) et Papeete-New York (3 vols hebdomadaires. Les correspondances deviennent excellentes (deux heures maximum, dans les deux sens) entre l’Australie et la Nouvelle Zélande d’un côté, les Etats-Unis et l’Europe de l’autre.
Air Tahiti Nui est en outre la seule compagnie à relier directement le Pacifique Sud à la Côte Est des Etats-Unis. L’un de ses trois vols entre Tahiti et New York devrait être prochainement prolongé jusqu’à Paris, ceci sous couvert d’approbation gouvernementale.
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La Cie à la Tiare peut se prévaloir aussi d’une excellente image dans les pays anglo-saxons. Le vote des internautes lui a récemment permis d’être récompensé d’un SkyTrax Award, dans la catégorie « petites compagnies », pour l’excellence de son service à bord.
Le passeport biométrique commence à affecter la compagnie
Le personnel est le premier concerné par ce prix, avant même la qualité de sa restauration et des animations. Air Tahiti Nui est une habituée des récompenses de Sky Trax, après celui de meilleure compagnie du Pacifique reçu en 2004, et sa présence dans le top 10 des meilleurs services à bord ces trois dernières années.
La ligne Paris-Papeete se porte bien : elle est assurée par 5 à 7 vols par semaine en fonction de la saison. Son prix, pour un billet aller-retour, s’échelonne entre 1.024 € (en basse saison, auquel il faut ajouter 170 € de taxes) en classe Moana (éco), et 9.399 € HT en Poerava First (sa première classe).
Les marchés métropolitain et polynésien en assurent chacun environ 40% du remplissage de l’appareil, le marché US comptant pour moins de 20% (les Américains se rendent aussi bien en France qu’en Polynésie).
Sur le Paris-Papeete, ATN a enregistré un taux d’occupation de 76% en 2005. Seul point noir pour la compagnie : la baisse actuelle de 15 points de son taux d’occupation sur cette desserte, par rapport à son prévisionnel, en raison du problème de passeport biométrique.
NB : Air Tahiti Nui passe à 0,5% de commission au 1er avril prochain.
Le passeport biométrique commence à affecter la compagnie
Le personnel est le premier concerné par ce prix, avant même la qualité de sa restauration et des animations. Air Tahiti Nui est une habituée des récompenses de Sky Trax, après celui de meilleure compagnie du Pacifique reçu en 2004, et sa présence dans le top 10 des meilleurs services à bord ces trois dernières années.
La ligne Paris-Papeete se porte bien : elle est assurée par 5 à 7 vols par semaine en fonction de la saison. Son prix, pour un billet aller-retour, s’échelonne entre 1.024 € (en basse saison, auquel il faut ajouter 170 € de taxes) en classe Moana (éco), et 9.399 € HT en Poerava First (sa première classe).
Les marchés métropolitain et polynésien en assurent chacun environ 40% du remplissage de l’appareil, le marché US comptant pour moins de 20% (les Américains se rendent aussi bien en France qu’en Polynésie).
Sur le Paris-Papeete, ATN a enregistré un taux d’occupation de 76% en 2005. Seul point noir pour la compagnie : la baisse actuelle de 15 points de son taux d’occupation sur cette desserte, par rapport à son prévisionnel, en raison du problème de passeport biométrique.
NB : Air Tahiti Nui passe à 0,5% de commission au 1er avril prochain.