La nomination très récente de Karim Wade, fils du président sénégalais au poste de ministre des Transports a eu l’effet escompté.
Alors que le conflit entre les deux actionnaires d’ASI, Royal Air Maroc (51% des parts) et l’Etat sénégalais (49%) traînait en longueur depuis plusieurs mois, les deux partis ont trouvé une porte de sortie honorable.
Le volet financier de la négociation reste secret. Mais il a été décidé qu'Air Sénégal International serait purement et simplement liquidée.
Pour autant, les actionnaires se sont engagés à ce que cela se fasse sans coût social.
Alors que le conflit entre les deux actionnaires d’ASI, Royal Air Maroc (51% des parts) et l’Etat sénégalais (49%) traînait en longueur depuis plusieurs mois, les deux partis ont trouvé une porte de sortie honorable.
Le volet financier de la négociation reste secret. Mais il a été décidé qu'Air Sénégal International serait purement et simplement liquidée.
Pour autant, les actionnaires se sont engagés à ce que cela se fasse sans coût social.
Les employés vont toucher l’intégralité de leurs salaires et ils seront recasés dans les différents services liés à l’aéroport, à l‘administration de l’aviation civile ou encore dans les compagnies aériennes.
A sa place devrait apparaître, selon des sources sénégalaises, Air Teranga International, une entreprise de transport aérien 100% sénégalaise, financée par des capitaux privés sénégalais.
C’est en tous cas, le souhait du ministre des Transports, inspiré sans doute par la renaissance d‘Alitalia.
Royal Air Maroc qui ne sera pas partie prenante de la nouvelle aventure s’est néanmoins engagée à apporter son assistance en matière technique, opérationnelle et commerciale.
A quelle échéance et avec quels avions cette nouvelle compagnie pourra-t-elle voler ?
Les réponses à ces questions ne sont pas encore très claires. Il faudra d’abord réunir le tour de table adéquat.
A sa place devrait apparaître, selon des sources sénégalaises, Air Teranga International, une entreprise de transport aérien 100% sénégalaise, financée par des capitaux privés sénégalais.
C’est en tous cas, le souhait du ministre des Transports, inspiré sans doute par la renaissance d‘Alitalia.
Royal Air Maroc qui ne sera pas partie prenante de la nouvelle aventure s’est néanmoins engagée à apporter son assistance en matière technique, opérationnelle et commerciale.
A quelle échéance et avec quels avions cette nouvelle compagnie pourra-t-elle voler ?
Les réponses à ces questions ne sont pas encore très claires. Il faudra d’abord réunir le tour de table adéquat.