
Pour 2003, Air Transat affiche une progression de 12 % par rapport à 2002 avec un volume d’affaires de 300 millions de dollars (cad), dont 60 % effectués via les TO et agences du groupe (VAT, Look, Club Voyages).
Avec l’arrivée de l’été, le trafic de la compagnie devient de fait, un trafic régulier puisqu’elle assure 22 fréquences hebdomadaires entre la France et le Canada avec une capacité totale de 136 400 sièges, la plus importante capacité de sièges dédiée entre les deux pays.
À Paris, Air Transat est toujours basée au T3 de CDG où, comme le souligne son directeur commercial, Philippe Buisson, “des améliorations vont être apportées, notamment avec une meilleure desserte par les navettes ADP et l’ouverture d’un restaurant digne de ce nom dans l’aérogare.“
Mais la force d’Air Transat est ailleurs. Tout d’abord de bons rapports qualité-prix ( 426 euros ttc A/R, prix d’appel entre Montréal et Paris en haute saison) mais aussi et surtout, un large éventail vols directs au départ de province.
En été, la compagnie relie Montréal à Lyon, Nice, Nantes et Marseille. Et durant la très haute saison 2004 (de juin à Octobre), une seconde fréquence sera ouverte entre Montréal et Toulouse, atteignant ainsi des rotations équivalentes à celle de Lyon et Nice.
Départs de province : 30 % du trafic de la compagnie
Les départs de province représentant ainsi 30 % du trafic de la compagnie et dans leur grande majorité, ces rotations représentent les seuls vols directs vers l’Amérique du Nord au départ ces aéroports. Pas de grands changements au sein de la flotte si ce n’est l ‘équipement de tous les appareils en bi-classe.
La compagnie compte optimiser ses neuf A310-300 et quatre A330 en mettant l’accent sur la classe Club Transat. À partir de 810 euros ttc, les passagers pourront bénéficier d’un service et d’un confort améliorés : sièges en cuir à l’avant de la cabine, choix de repas et de collation, service de bar, pré-sélection de siège, comptoir d’enregistrement privatif et priorité à la livraison des bagages.
Côté distribution, à l’image de son vice-président Long-courriers, Gilles Lamontagne, la compagnie compte sur le réseau de distribution classique, “ Nous avons besoin des agences et il est important de reconnaître leur importance et leur rôle“.
En effet, à l’heure de la suppression des commissions, Air Transat affiche une commission agences à 8 % et fête sa première année de présence au sein des Gds. À ce jour, les ventes via Gds représentent 10 % des ventes totales en France, mais la compagnie compte atteindre les 20 % en 2004.
Bon démarrage de la saison été
Pour cette année, elle adopte une stratégie résolument tournée vers la consolidation du marché. Le succès des réservations été, ne fait que conforter cet optimisme, puisque à ce jour les réservations pour le mois de juin représentent 32 % de ses capacités. Sans se risquer à un pronostic en termes de volume d’affaire, Gilles Lamontagne avoue tout de même espérer une progression de 12 % pour 2004.
Air Transat n'est pas inquiéte de l’ouverture de Montréal à des compagnies comme Corsair. S’appuyant sur la position du Groupe Transat en France et sur sa connaissance du marché français, il se veut rassurant “Nous comptons sur notre potentiel d’innovation.“
D’ailleurs, à partir de novembre 2004, la compagnie quittera l’aéroport de Mirabel pour celui de Dorval, l’occasion peut-être de la mise en place de formules innovantes comme des combinés entre le Canada et les Caraïbes…Idée à suivre.
Petit tuyau à destination des agences : depuis mars 2003, Air Transat est présent sur les quatre principaux Gds. Les vols Montréal sont accessibles sous le code YMQ et non plus YUL.
Plus d’infos sur le www.airtransat.com ou au 0820 000 649 helpdesk agence.
Avec l’arrivée de l’été, le trafic de la compagnie devient de fait, un trafic régulier puisqu’elle assure 22 fréquences hebdomadaires entre la France et le Canada avec une capacité totale de 136 400 sièges, la plus importante capacité de sièges dédiée entre les deux pays.
À Paris, Air Transat est toujours basée au T3 de CDG où, comme le souligne son directeur commercial, Philippe Buisson, “des améliorations vont être apportées, notamment avec une meilleure desserte par les navettes ADP et l’ouverture d’un restaurant digne de ce nom dans l’aérogare.“
Mais la force d’Air Transat est ailleurs. Tout d’abord de bons rapports qualité-prix ( 426 euros ttc A/R, prix d’appel entre Montréal et Paris en haute saison) mais aussi et surtout, un large éventail vols directs au départ de province.
En été, la compagnie relie Montréal à Lyon, Nice, Nantes et Marseille. Et durant la très haute saison 2004 (de juin à Octobre), une seconde fréquence sera ouverte entre Montréal et Toulouse, atteignant ainsi des rotations équivalentes à celle de Lyon et Nice.
Départs de province : 30 % du trafic de la compagnie
Les départs de province représentant ainsi 30 % du trafic de la compagnie et dans leur grande majorité, ces rotations représentent les seuls vols directs vers l’Amérique du Nord au départ ces aéroports. Pas de grands changements au sein de la flotte si ce n’est l ‘équipement de tous les appareils en bi-classe.
La compagnie compte optimiser ses neuf A310-300 et quatre A330 en mettant l’accent sur la classe Club Transat. À partir de 810 euros ttc, les passagers pourront bénéficier d’un service et d’un confort améliorés : sièges en cuir à l’avant de la cabine, choix de repas et de collation, service de bar, pré-sélection de siège, comptoir d’enregistrement privatif et priorité à la livraison des bagages.
Côté distribution, à l’image de son vice-président Long-courriers, Gilles Lamontagne, la compagnie compte sur le réseau de distribution classique, “ Nous avons besoin des agences et il est important de reconnaître leur importance et leur rôle“.
En effet, à l’heure de la suppression des commissions, Air Transat affiche une commission agences à 8 % et fête sa première année de présence au sein des Gds. À ce jour, les ventes via Gds représentent 10 % des ventes totales en France, mais la compagnie compte atteindre les 20 % en 2004.
Bon démarrage de la saison été
Pour cette année, elle adopte une stratégie résolument tournée vers la consolidation du marché. Le succès des réservations été, ne fait que conforter cet optimisme, puisque à ce jour les réservations pour le mois de juin représentent 32 % de ses capacités. Sans se risquer à un pronostic en termes de volume d’affaire, Gilles Lamontagne avoue tout de même espérer une progression de 12 % pour 2004.
Air Transat n'est pas inquiéte de l’ouverture de Montréal à des compagnies comme Corsair. S’appuyant sur la position du Groupe Transat en France et sur sa connaissance du marché français, il se veut rassurant “Nous comptons sur notre potentiel d’innovation.“
D’ailleurs, à partir de novembre 2004, la compagnie quittera l’aéroport de Mirabel pour celui de Dorval, l’occasion peut-être de la mise en place de formules innovantes comme des combinés entre le Canada et les Caraïbes…Idée à suivre.
Petit tuyau à destination des agences : depuis mars 2003, Air Transat est présent sur les quatre principaux Gds. Les vols Montréal sont accessibles sous le code YMQ et non plus YUL.
Plus d’infos sur le www.airtransat.com ou au 0820 000 649 helpdesk agence.