TourMaG.com - Quel bilan tirez-vous de vos bases Amsterdam et Toulouse, ouvertes cette année ?
Alex Cruz : Ce sont nos deux premières bases hors d’Espagne et le réseau que nous y avait établi portait principalement sur des lignes vers le sud, répondant à la demande de la clientèle de vacanciers. Et les clients ont été au rendez-vous.
Maintenant, il faut réévaluer le potentiel de ces lignes sur la saison hiver. C’est pourquoi nous lançons parallèlement des destinations à potentiel Business comme le Toulouse-Lille.
Et d’autres suivront. Ce qui nous amène à réévaluer notre service à bord pour répondre à la demande de cette clientèle d’hommes d’affaires.
TourMaG.com - Prévoyez-vous de maintenir un avion basé à Toulouse cet hiver ?
Alex Cruz : Bien évidemment. La seule base saisonnière que nous avons, c’est Ibiza. Pour les autres bases, le partenariat que nous établissons avec les aéroports reposent sur une exploitation à l’année.
En ce qui concerne Toulouse, nous sommes en train d’examiner la possibilité d’installer un deuxième appareil pour l’été 2012 comme nous l’avions prévu dans le business plan initial.
TourMaG.com - Vous envisagiez également d’ouvrir une base à Paris et de préférence à Orly. Où en êtes-vous de ce projet ?
Alex Cruz : Nous n’avons pas encore une base en tant que telle à Orly mais l’avion qui assurera la ligne Orly-Zurich à partir du 30 octobre fera un night stop à Paris.
Il est vrai que nous ne détenons pas suffisamment de slots à Orly pour y installer une base mais j’ai bon espoir qu’après les élections de 2012 les autorités françaises réexaminent le blocage à 250 000 slots annuels.
Nos avions sont beaucoup plus silencieux qu’ils ne l’étaient lorsque la décision de limiter le trafic a été prise.
La position de Vueling n’est pas de passer en force comme certains Irlandais ou Britanniques. Nous préférons la concertation avec les autorités locales et nous nous conformons à la législation sociale du pays…
Alex Cruz : Ce sont nos deux premières bases hors d’Espagne et le réseau que nous y avait établi portait principalement sur des lignes vers le sud, répondant à la demande de la clientèle de vacanciers. Et les clients ont été au rendez-vous.
Maintenant, il faut réévaluer le potentiel de ces lignes sur la saison hiver. C’est pourquoi nous lançons parallèlement des destinations à potentiel Business comme le Toulouse-Lille.
Et d’autres suivront. Ce qui nous amène à réévaluer notre service à bord pour répondre à la demande de cette clientèle d’hommes d’affaires.
TourMaG.com - Prévoyez-vous de maintenir un avion basé à Toulouse cet hiver ?
Alex Cruz : Bien évidemment. La seule base saisonnière que nous avons, c’est Ibiza. Pour les autres bases, le partenariat que nous établissons avec les aéroports reposent sur une exploitation à l’année.
En ce qui concerne Toulouse, nous sommes en train d’examiner la possibilité d’installer un deuxième appareil pour l’été 2012 comme nous l’avions prévu dans le business plan initial.
TourMaG.com - Vous envisagiez également d’ouvrir une base à Paris et de préférence à Orly. Où en êtes-vous de ce projet ?
Alex Cruz : Nous n’avons pas encore une base en tant que telle à Orly mais l’avion qui assurera la ligne Orly-Zurich à partir du 30 octobre fera un night stop à Paris.
Il est vrai que nous ne détenons pas suffisamment de slots à Orly pour y installer une base mais j’ai bon espoir qu’après les élections de 2012 les autorités françaises réexaminent le blocage à 250 000 slots annuels.
Nos avions sont beaucoup plus silencieux qu’ils ne l’étaient lorsque la décision de limiter le trafic a été prise.
La position de Vueling n’est pas de passer en force comme certains Irlandais ou Britanniques. Nous préférons la concertation avec les autorités locales et nous nous conformons à la législation sociale du pays…
Vueling regarde maintenant les lignes à potentiel Affaires
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TourMaG.com - Atteindrez-vous votre objectif de deux millions de passagers au départ de France cette année ?
Alex Cruz : Deux millions de passagers au départ de France c’est toujours notre objectif et nous sommes dans les clous. Si le trafic se dynamise un peu autour de la période de Noël, ce sera parfait !
TourMaG.com - Et pour l’ensemble du réseau ?
Alex Cruz : Nous atteindrons les 12 millions de passagers mais l’année est difficile. Les compagnies souffrent toutes de la cherté du pétrole.
Les économies des pays européens sont dans une mauvaise passe. Par exemple, la France tablait sur une croissance de 2 à 3 % mais ce ne sera pas le cas.
Les mois d’avril et mai ont été plus compliqués en terme de trafic mais l’été a rattrapé le retard. Ce qui est important dans une conjoncture plus tendue, c’est de garder des coûts opérationnels sous contrôle. Nos coûts par exemple, sont moins élevés que ceux d’Easyjet.
Ceci permet d’envisager l’avenir avec un certain optimisme. Nous prévoyons toujours de passer une commande importante d’appareils en 2012. Et de continuer à nous développer.
Alex Cruz : Deux millions de passagers au départ de France c’est toujours notre objectif et nous sommes dans les clous. Si le trafic se dynamise un peu autour de la période de Noël, ce sera parfait !
TourMaG.com - Et pour l’ensemble du réseau ?
Alex Cruz : Nous atteindrons les 12 millions de passagers mais l’année est difficile. Les compagnies souffrent toutes de la cherté du pétrole.
Les économies des pays européens sont dans une mauvaise passe. Par exemple, la France tablait sur une croissance de 2 à 3 % mais ce ne sera pas le cas.
Les mois d’avril et mai ont été plus compliqués en terme de trafic mais l’été a rattrapé le retard. Ce qui est important dans une conjoncture plus tendue, c’est de garder des coûts opérationnels sous contrôle. Nos coûts par exemple, sont moins élevés que ceux d’Easyjet.
Ceci permet d’envisager l’avenir avec un certain optimisme. Nous prévoyons toujours de passer une commande importante d’appareils en 2012. Et de continuer à nous développer.
![Futuroscopie - Architecture contemporaine : des icônes et moteurs touristiques [ABO]](https://www.tourmag.com/photo/art/large_16_9/84367837-60259874.jpg?v=1732033411 "Futuroscopie - Architecture contemporaine : des icônes et moteurs touristiques [ABO]")
