
L'Autorité de contrôle des nuisances aéroportuaires est favorable à une régulation des programmes de vols avant et après les couvre-feux pour éviter des programmes trop chargés qui conduisent à des annulations et des retards - Depositphotos.com Auteur potowizard
L'Autorité de contrôle des nuisances aéroportuaires (ACNUSA) considère que la régulation du nombre de départs dans la première heure qui suit la levée d’un couvre-feu ainsi que du nombre d’arrivées dans l’heure qui précède le début d’un couvre-feu est nécessaire.
A noter que seuls quelques aéroports sont concernés par le couvre-feu : Paris – Orly, Bâle – Mulhouse ; Beauvais-Tillé ; Paris – Le Bourget et Nantes-Atlantique.
Selon l'ACNUSA, cette régulation permettrait d’éviter que "les compagnies basées chargent de manière excessive leurs programmes de rotations journalières durant la saison estivale (5, 6, 7, voir 8 vols par jour) en prenant le risque de reproduire la situation de l’été 2022 qui s’était traduite par : 7 % d’annulation des vols programmés ;
une forte dégradation de la ponctualité (augmentation des retards) et une augmentation sensible des manquements aux règles environnementales."
A noter que seuls quelques aéroports sont concernés par le couvre-feu : Paris – Orly, Bâle – Mulhouse ; Beauvais-Tillé ; Paris – Le Bourget et Nantes-Atlantique.
Selon l'ACNUSA, cette régulation permettrait d’éviter que "les compagnies basées chargent de manière excessive leurs programmes de rotations journalières durant la saison estivale (5, 6, 7, voir 8 vols par jour) en prenant le risque de reproduire la situation de l’été 2022 qui s’était traduite par : 7 % d’annulation des vols programmés ;
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Dans un communiqué de presse l'ACNUSA invite " les opérateurs (compagnies aériennes, assistants d’escale, sociétés aéroportuaires, services locaux de la navigation aérienne) à prendre en considération l’acceptabilité de la programmation des vols sur les territoires impactés" et ajoute que : "Les territoires aéroportuaires ne peuvent pas être les victimes de la concurrence entre les compagnies."
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