Les langues ont du mal à se délier…
Lorsqu’on aborde la question du bilan de la fusion d’Afat Voyages et Selectour, les interlocuteurs jouent la prudence. A la veille du Conseil d’administration et de l'Assemblée générale, les adhérents des 2 réseaux en perdent même leur latin.
Ne parlons pas de ce qui fâche ?
Alors, bien sûr, il y a les indisponibles, nombreux - sans doute un signe d’une reprise de l’activité en agences de voyages ? - il y a les volontaires, peu, mais globalement satisfaits de la fusion. Et puis, il y a ceux qui ne souhaitent pas s’exprimer…
Motus et bouche cousue, ils appliquent la règle à la lettre : pour vivre heureux (?) vivons cachés ! Faut-il comprendre qu’ils pourraient avoir quelques critiques à formuler ?
Allez, encore un effort... oui, oui ça vient. En tendant l’oreille, on parvient à distinguer quelques bruits discordants.
Que disent-ils déjà ? Ah oui, la lutte latente, rampante pour la prise du pouvoir, les émoluments du directeur, les stratégies (traduisez, trajectoires) personnelles, les tentatives d'union avortées, chacun pour soi et le client pour tous.
Mais le tableau n'est pas tout blanc ou tout noir. Certains voient de vraies avancées dans cette fusion. Les commissions à la hausse avec les négociations des fournisseurs du Top 14, une offre élargie et de nouveaux outils technologiques malgré quelques bugs par-ci par-là...
Restent en suspens de nombreuses interrogations dans la tête des adhérents : comment va-t-on à terme structurer le réseau, changera-t-il de nom et lequel prendra-t-il, y aura-t'il des enseignes haut de gamme et moyen de gamme, quid du devenir de Selectour Finances…
Bref, il reste encore du chemin à parcourir pour éviter que ces deux réseaux poursuivent ensemble leur route... séparément !
Lorsqu’on aborde la question du bilan de la fusion d’Afat Voyages et Selectour, les interlocuteurs jouent la prudence. A la veille du Conseil d’administration et de l'Assemblée générale, les adhérents des 2 réseaux en perdent même leur latin.
Ne parlons pas de ce qui fâche ?
Alors, bien sûr, il y a les indisponibles, nombreux - sans doute un signe d’une reprise de l’activité en agences de voyages ? - il y a les volontaires, peu, mais globalement satisfaits de la fusion. Et puis, il y a ceux qui ne souhaitent pas s’exprimer…
Motus et bouche cousue, ils appliquent la règle à la lettre : pour vivre heureux (?) vivons cachés ! Faut-il comprendre qu’ils pourraient avoir quelques critiques à formuler ?
Allez, encore un effort... oui, oui ça vient. En tendant l’oreille, on parvient à distinguer quelques bruits discordants.
Que disent-ils déjà ? Ah oui, la lutte latente, rampante pour la prise du pouvoir, les émoluments du directeur, les stratégies (traduisez, trajectoires) personnelles, les tentatives d'union avortées, chacun pour soi et le client pour tous.
Mais le tableau n'est pas tout blanc ou tout noir. Certains voient de vraies avancées dans cette fusion. Les commissions à la hausse avec les négociations des fournisseurs du Top 14, une offre élargie et de nouveaux outils technologiques malgré quelques bugs par-ci par-là...
Restent en suspens de nombreuses interrogations dans la tête des adhérents : comment va-t-on à terme structurer le réseau, changera-t-il de nom et lequel prendra-t-il, y aura-t'il des enseignes haut de gamme et moyen de gamme, quid du devenir de Selectour Finances…
Bref, il reste encore du chemin à parcourir pour éviter que ces deux réseaux poursuivent ensemble leur route... séparément !