Le courtier Avico a rassemblé tous ses partenaires pour sa grande soirée annuelle jeudi 3 décembre 2015 - DR : Avico © David Morganti
Avico, le premier courtier aérien français, poursuit sa croissance.
Le groupe va enregistrer un chiffre d’affaires consolidé de 154 M€ cette année, en hausse de 15%. La France n’est pas en reste, avec un chiffre d’affaires de 70M€, en augmentation annuelle de 5% sur les 3 dernières années.
Mais l’Hexagone est loin d’être un marché euphorique.
« La crise est bien installée, nous devons vivre avec. Nous cherchons à être sans cesse en mutation pour ne pas rester sur le bord de la route », explique Gilles Gompertz, son directeur général.
Il estime toutefois qu’il peut encore progresser et gagner des parts de marché en apportant un nouveau service, comme le pré et le post acheminement, ou encore une politique tarifaire pour les groupes.
Le groupe va enregistrer un chiffre d’affaires consolidé de 154 M€ cette année, en hausse de 15%. La France n’est pas en reste, avec un chiffre d’affaires de 70M€, en augmentation annuelle de 5% sur les 3 dernières années.
Mais l’Hexagone est loin d’être un marché euphorique.
« La crise est bien installée, nous devons vivre avec. Nous cherchons à être sans cesse en mutation pour ne pas rester sur le bord de la route », explique Gilles Gompertz, son directeur général.
Il estime toutefois qu’il peut encore progresser et gagner des parts de marché en apportant un nouveau service, comme le pré et le post acheminement, ou encore une politique tarifaire pour les groupes.
Développer un réseau d'agences de voyages au Sénégal
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Mais Avico voit aujourd’hui l’avenir au-delà de nos frontières. Il travaille beaucoup avec les trois compagnies nationales du Maghreb.
Il s’occupe également d’affrètements vers la Mecque pour l’Arabie Saoudite et l’Indonésie. Il vient de gagner un appel d’offres avec l’OTAN pour un contrat cadre d’affrètement aérien sur 3 ans.
Enfin, il devrait ouvrir l’année prochaine un dixième bureau de courtage dans l’est de l’Europe.
Le groupe aimerait en parallèle s’implanter en Chine, mais n’a pas encore trouvé le bon partenaire.
Il se dit aussi intéressé par le reste de l’Asie, l’Amérique du Sud, l’Afrique, le Moyen-Orient. Bref, une diversification géographique tous azimuts, à la recherche de nouvelles opportunités.
En plus de son activité de courtage, il s’est lancé dans le tourisme, avec l’ouverture d’une agence de voyages au Sénégal.
« Il y a un gros potentiel de développement sur ce marché. Nous aimerions développer un réseau là-bas, ainsi qu’en Côte d’Ivoire », poursuit Gilles Gompertz.
Une diversification plus que jamais nécessaire dans le contexte actuel. « Nous n’avons pas de contrats captifs et nous devons rester très humbles car rien n’est jamais acquis ».
Il s’occupe également d’affrètements vers la Mecque pour l’Arabie Saoudite et l’Indonésie. Il vient de gagner un appel d’offres avec l’OTAN pour un contrat cadre d’affrètement aérien sur 3 ans.
Enfin, il devrait ouvrir l’année prochaine un dixième bureau de courtage dans l’est de l’Europe.
Le groupe aimerait en parallèle s’implanter en Chine, mais n’a pas encore trouvé le bon partenaire.
Il se dit aussi intéressé par le reste de l’Asie, l’Amérique du Sud, l’Afrique, le Moyen-Orient. Bref, une diversification géographique tous azimuts, à la recherche de nouvelles opportunités.
En plus de son activité de courtage, il s’est lancé dans le tourisme, avec l’ouverture d’une agence de voyages au Sénégal.
« Il y a un gros potentiel de développement sur ce marché. Nous aimerions développer un réseau là-bas, ainsi qu’en Côte d’Ivoire », poursuit Gilles Gompertz.
Une diversification plus que jamais nécessaire dans le contexte actuel. « Nous n’avons pas de contrats captifs et nous devons rester très humbles car rien n’est jamais acquis ».