Hier soir, nous avons pu visiter la mise en place des emplacements au BTEXpo de Bruxelles. Ce salon étant le successeur de l’ancien BTF qui a disparu au début de ce siècle. Parmi les stands, celui de Bosphorus, la filiale belge de First Choice.
Comme Jan Peeters nous l’avait expliqué, il y a quelques semaines, il avait été décidé que Bosphorus allait, tout en gardant une certaine indépendance, s’appuyer de plus en plus sur Marmara. En voyant le stand, on peut se poser des questions sur cette indépendance...
Échantillonnage d’une collection de bourdes
En effet, si nous connaissons en Belgique le groupe First Choice, par contre le « groupe Marmara » y est totalement inconnu. Pourtant sur les panneaux du stand, Marmara se présente comme étant un groupe composé de Marmara et d’Étapes Nouvelles mais… pas une mention au groupe First Choice !
Pour des personnes non informées, cela pourrait faire croire que la société française n’est pas la filiale du groupe britannique. Deuxième bourde qui, celle-là, risque de coûter cher : pas une des affiches figurant sur le stand n’est en néerlandais.
Connaissant la susceptibilité du marché néerlandophone et des représentants de celui-ci, (les AGV flamandes), cela risque d’être compris comme « Bosphorus, étant intégré à la filiale française de First Choice, va se désintéresser du marché belge néerlandophone. »
La Flandre est le premier marché belge
A ceux qui dirons qu’il y a les brochures flamandes et qu’il ne faut pas se limiter aux seules affiches, il sera facilement répondu : « La Flandre est le premier marché belge aussi bien financièrement que quantitativement. Pour la nouvelle direction, influencée par Paris, ce marché ne vaut même pas une affichette ! »
Ce qu’il y a de plus étonnant dans cette affaire, c’est que les responsables de Marmara se sont déjà frottés au marché belge. Logiquement, ils devraient connaître les particularités et surtout les susceptibilités de celui-ci.
Ils devraient également savoir que sur ce marché belge très concurrentiels beaucoup de réussites ou d’échecs se jouent sur de simples nuances...
Michel GHESQUIERE au BTEXpo de Bruxelles - michel.ghesquiere@skynet.be
Comme Jan Peeters nous l’avait expliqué, il y a quelques semaines, il avait été décidé que Bosphorus allait, tout en gardant une certaine indépendance, s’appuyer de plus en plus sur Marmara. En voyant le stand, on peut se poser des questions sur cette indépendance...
Échantillonnage d’une collection de bourdes
En effet, si nous connaissons en Belgique le groupe First Choice, par contre le « groupe Marmara » y est totalement inconnu. Pourtant sur les panneaux du stand, Marmara se présente comme étant un groupe composé de Marmara et d’Étapes Nouvelles mais… pas une mention au groupe First Choice !
Pour des personnes non informées, cela pourrait faire croire que la société française n’est pas la filiale du groupe britannique. Deuxième bourde qui, celle-là, risque de coûter cher : pas une des affiches figurant sur le stand n’est en néerlandais.
Connaissant la susceptibilité du marché néerlandophone et des représentants de celui-ci, (les AGV flamandes), cela risque d’être compris comme « Bosphorus, étant intégré à la filiale française de First Choice, va se désintéresser du marché belge néerlandophone. »
La Flandre est le premier marché belge
A ceux qui dirons qu’il y a les brochures flamandes et qu’il ne faut pas se limiter aux seules affiches, il sera facilement répondu : « La Flandre est le premier marché belge aussi bien financièrement que quantitativement. Pour la nouvelle direction, influencée par Paris, ce marché ne vaut même pas une affichette ! »
Ce qu’il y a de plus étonnant dans cette affaire, c’est que les responsables de Marmara se sont déjà frottés au marché belge. Logiquement, ils devraient connaître les particularités et surtout les susceptibilités de celui-ci.
Ils devraient également savoir que sur ce marché belge très concurrentiels beaucoup de réussites ou d’échecs se jouent sur de simples nuances...
Michel GHESQUIERE au BTEXpo de Bruxelles - michel.ghesquiere@skynet.be