Décidément, le monde est plein de surprises. Après toutes les catastrophes qui s’abattent sur le tourisme depuis quelques années, la France est frappée à son tour. Aux Sras, grippe aviaire, attentats, tremblement de terre, cyclones, tsunami, crash aériens vient s’ajouter la "fièvre" des banlieues.
Car, si voir brûler nos banlieues nous inquiète tous, cela inquiète encore davantage les touristes. L'un des quotidiens les plus populaires de Pékin, le Beijing News, se demandait en fin de semaine dernière s'il était raisonnable pour ses compatriotes de se rendre à Paris en raison des violences urbaines en banlieue.
Jeudi dernier, la diplomatie russe recommandait à ses ressortissants d'éviter les villes de la banlieue parisienne touchées par des émeutes, assurant qu'un autobus de touristes russes y avait été incendié. Cet événement et l'ensemble des émeutes de la région parisienne font l'ouverture des journaux télévisés en Russie.
Vendredi, le ministère finlandais des Affaires étrangères déconseillait les excursions nocturnes dans les banlieues parisiennes, « particulièrement pendant la nuit, les villes périphériques à forte population immigrée de Seine-Saint-Denis (sic), Clichy-sous-Bois et Aulnay-sous-Bois. »
Quel sera le résultat final de ces nuits d’émeutes sur le tourisme national ? Impossible de le dire maintenant, tant le phénomène prend de l’ampleur. Mais dans ces voitures qui brûlent, ce sont aussi des devises étrangères qui partent en fumée.
Alors que les Américains commençaient à revenir et que l’hôtellerie reprenait des couleurs, cette flambée de violence redonne un sale coup à l'image de la France et, partant, à l’industrie du tourisme toute entière.
Car, si voir brûler nos banlieues nous inquiète tous, cela inquiète encore davantage les touristes. L'un des quotidiens les plus populaires de Pékin, le Beijing News, se demandait en fin de semaine dernière s'il était raisonnable pour ses compatriotes de se rendre à Paris en raison des violences urbaines en banlieue.
Jeudi dernier, la diplomatie russe recommandait à ses ressortissants d'éviter les villes de la banlieue parisienne touchées par des émeutes, assurant qu'un autobus de touristes russes y avait été incendié. Cet événement et l'ensemble des émeutes de la région parisienne font l'ouverture des journaux télévisés en Russie.
Vendredi, le ministère finlandais des Affaires étrangères déconseillait les excursions nocturnes dans les banlieues parisiennes, « particulièrement pendant la nuit, les villes périphériques à forte population immigrée de Seine-Saint-Denis (sic), Clichy-sous-Bois et Aulnay-sous-Bois. »
Quel sera le résultat final de ces nuits d’émeutes sur le tourisme national ? Impossible de le dire maintenant, tant le phénomène prend de l’ampleur. Mais dans ces voitures qui brûlent, ce sont aussi des devises étrangères qui partent en fumée.
Alors que les Américains commençaient à revenir et que l’hôtellerie reprenait des couleurs, cette flambée de violence redonne un sale coup à l'image de la France et, partant, à l’industrie du tourisme toute entière.