L'île Maurice, destination phare pour Beachcomber tours
Beachcomber Tours clôt son année en septembre 2017 avec un chiffre d’affaire satisfaisant de 44 millions d’euros, soit une hausse de 1.5 millions d’euros.
« On atteint aussi un taux d’occupation record de 80 à 85% » se félicite Guy Zekri, président de Beachcomber. Une hausse d’autant plus satisfaisante pour le groupe que Le Canonnier, son hôtel phare sur l’île Maurice, avait fermé pour travaux de rénovation pendant près de 6 mois (encadré en fin d'article).
L’Océan Indien reste une « destination refuge » pour le tour opérateur (TO).
« Il y a un excellent rapport qualité / prix sur l’île Maurice, à tous les niveaux de prix commente Guy Zekri. C’est aussi un modèle d’intégration communautaire, une vraie mosaïque culturelle qui attire tous les segments : famille, voyage de noce, golfe, nature, seniors… »
Au-delà de Maurice, le TO a cette année beaucoup investi sur la Réunion. « On a tout revu, c’est presque une page blanche pour nous » explique Bruce McNamara, directeur de la production. Le TO passe de 7 à 20 hôtels, de 3 à 5 autotours et propose des packs sport / aventure avec chaque jour une excursion à choisir parmi 4 possibles.
« La plage de sable blanc et les palmiers, le côté "seuls au monde"... Ce sont des voyages carte postale, des voyages mythiques qui attirent beaucoup pour des voyages de noces » analyse Guy Zekri, indiquant au passage que 20 et 25% de sa clientèle annuelle est constituée de jeunes mariés. Un secteur non négligeable.
L’analyse est valable aussi pour la Polynésie, destination en hausse depuis deux ans malgré « un panier moyen de l’ordre de 7000€ par voyageurs estime Guy Zekri. Il y a une vague, pour tout le monde, pas que chez nous ».
« On atteint aussi un taux d’occupation record de 80 à 85% » se félicite Guy Zekri, président de Beachcomber. Une hausse d’autant plus satisfaisante pour le groupe que Le Canonnier, son hôtel phare sur l’île Maurice, avait fermé pour travaux de rénovation pendant près de 6 mois (encadré en fin d'article).
L’Océan Indien reste une « destination refuge » pour le tour opérateur (TO).
« Il y a un excellent rapport qualité / prix sur l’île Maurice, à tous les niveaux de prix commente Guy Zekri. C’est aussi un modèle d’intégration communautaire, une vraie mosaïque culturelle qui attire tous les segments : famille, voyage de noce, golfe, nature, seniors… »
Au-delà de Maurice, le TO a cette année beaucoup investi sur la Réunion. « On a tout revu, c’est presque une page blanche pour nous » explique Bruce McNamara, directeur de la production. Le TO passe de 7 à 20 hôtels, de 3 à 5 autotours et propose des packs sport / aventure avec chaque jour une excursion à choisir parmi 4 possibles.
« La plage de sable blanc et les palmiers, le côté "seuls au monde"... Ce sont des voyages carte postale, des voyages mythiques qui attirent beaucoup pour des voyages de noces » analyse Guy Zekri, indiquant au passage que 20 et 25% de sa clientèle annuelle est constituée de jeunes mariés. Un secteur non négligeable.
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Diversifier l’offre plutôt que les destinations
Autres articles
L’océan Indien, la Polynésie et les Seychelles où le groupe ajoute 3 croisières à son offre, destination favorite pour les jeunes mariés et les anniversaires de mariage.
C’est sans doute l’une des raisons pour lesquelles Beachcomber Tours a préféré y améliorer son offre plutôt qu’ouvrir de nouvelles destinations.
« On fait mieux ce qu’on faisait déjà ! » résume Bruce McNamara. Pour répondre aux demandes, le groupe a décidé d’ajouter plus de produits « charmes » comme les guest houses, les auberges ou les pensions.
Le groupe ajoute en outre un tour du monde de 16 jours. Il partira de Tokyo, Shangaï ou Hong-kong avant d’atteindre Auckland, Tahiti, Bora-bora puis Los Angeles.
Beachcomber Tours propose aussi un combiné Tanzanie – Zanzibar, avec une gamme de 7 safaris et met en avant une offre qui se veut originale, avec des excursions vers des zones peu exploitées par le tourisme, et en privilégiant l’expérience et l’exclusivité.
Même démarche à Oman, avec une déclinaison de son offre en autotour et des extensions possibles dans des sites préservés.
Enfin, Beachcomber Tours parie sur la Nouvelle-Zélande, une destination de plus en plus prisée. « C’est le tourisme cinématographique, les gens veulent voir les paysages du Seigneur des Anneaux ou de Game of Thrones » explique Guy Zekri.
Là encore, l’offre vient compléter l’existant : « beaucoup de polynésiens passent par la Nouvelle-Zélande pour venir en métropole explique Bruce McNamara, on a donc décidé de s’y positionner ».
Le groupe annonce un objectif de +8% pour 2017/2018, « un budget ambitieux mais raisonnable pour le marché actuel » ajoute Guy Zekri.
C’est sans doute l’une des raisons pour lesquelles Beachcomber Tours a préféré y améliorer son offre plutôt qu’ouvrir de nouvelles destinations.
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Le canonnier devient « Le canonnier Beachcomber Golf Resort & Spa »
Après un complet relooking, l’hôtel mauricien Le canonnier Beachcomber rouvre ses portes le 5 septembre 2017 et devient« Golf Resort & Spa ».
La nouvelle offre « the Art of Wellness » du groupe Beachcomber s’installe dans le resort. On y retrouve, en plus du spa rénovée une salle de fitness, un sauna et un hammam.
Un nouvel accord avec Mont Choisy Le Golf permet au Canonnier de profiter du green du seul golf au nord de l’île Maurice. Il complète un accès déjà facilité à 3 autres parcours de golf.
Les 7 hectares de jardins ont été repensés pour mettre en valeur ses dattiers et une végétation luxuriante.
Les 282 chambres, appartements et suites ont été redécorées et revisités.
Le Canonnier abrite toujours 3 restaurants avec une option « all inclusive » et une salle de conférence.
L’hôtel prévoit aussi une offre famille, avec des ateliers découverte, création et un « teens club ».
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![Futuroscopie - Crise de la presse, crise du réel, fatigue informationnelle [ABO]](https://www.tourmag.com/photo/art/large_16_9/85025254-60665965.jpg?v=1734537945 "Futuroscopie - Crise de la presse, crise du réel, fatigue informationnelle [ABO]")
