Dans un premier temps, le Comité Technique a constaté que la filiale belge de la compagnie n’était plus assurée contre l’insolvabilité et qu’il avait été fait appel aux cautions par certains fournisseurs et AGV. De plus, aucune information concrète et fiable ne provenait de la maison mère quant à la reprise des activités du croisiériste.
Tout à fait logiquement le Comité Technique a décidé de recommander au ministre responsable, Didier Gosuin, de retirer la licence permettant à Festival Cruises Benelux de continuer à travailler le marché belge et, par voie de conséquence, les marchés luxembourgeois et hollandais.
D’après nos sources, il semble qu’en ce qui concerne les engagement vis à vis des professionnels belges, il n’y aurait pas péril en la demeure. La filiale belge ayant des réserves financières en suffisance pour couvrir ses échéances actuels.
A noter cependant que cette décision laisse une dernière chance au croisiériste, puisque elle ne prendra effet que si dans un délai de 14 jours, Festival Cruises Benelux ne rempli pas toutes les conditions légales pour opérer. C’est-à-dire être à nouveau assuré contre l’insolvabilité, avoir reconstitué ses cautions et garanties.
Tout à fait logiquement le Comité Technique a décidé de recommander au ministre responsable, Didier Gosuin, de retirer la licence permettant à Festival Cruises Benelux de continuer à travailler le marché belge et, par voie de conséquence, les marchés luxembourgeois et hollandais.
D’après nos sources, il semble qu’en ce qui concerne les engagement vis à vis des professionnels belges, il n’y aurait pas péril en la demeure. La filiale belge ayant des réserves financières en suffisance pour couvrir ses échéances actuels.
A noter cependant que cette décision laisse une dernière chance au croisiériste, puisque elle ne prendra effet que si dans un délai de 14 jours, Festival Cruises Benelux ne rempli pas toutes les conditions légales pour opérer. C’est-à-dire être à nouveau assuré contre l’insolvabilité, avoir reconstitué ses cautions et garanties.