Contrairement à ce que l’on pourrait penser le produit autocar n’est pas tout à fait mort aujourd’hui. En effet, s’il apparaît que les navettes connaissent un recul de plus en plus marqué (- 11,47 % pour l’hiver 2003-2004 et – 14,68 % pour les réservations été 2004), ce serait l’inverse en ce qui concerne les circuits.
L’étude montre en effet que les circuits en autocar enregistrent une croissance aussi bien pour l’hiver 2003-2004 (+4,28 %) et de 3,42 % pour les réservations pour l’été 2004. Selon la FBAA, la régression en ce qui concerne les navettes proviendraient essentiellement dans la discrimination fiscale dont souffre l’autocar.
En effet, par rapport à l’aérien et au fer, en plus d’une durée nettement plus longue d’un trajet, les autocaristes doivent également tenir compte d’une TVA de 6 % en Belgique ou de 16 % en Allemagne ainsi que des accises de 30 cts au litre de diesel. Taxations spécifiques que connaissent pas les compagnies aériennes …
L’étude montre en effet que les circuits en autocar enregistrent une croissance aussi bien pour l’hiver 2003-2004 (+4,28 %) et de 3,42 % pour les réservations pour l’été 2004. Selon la FBAA, la régression en ce qui concerne les navettes proviendraient essentiellement dans la discrimination fiscale dont souffre l’autocar.
En effet, par rapport à l’aérien et au fer, en plus d’une durée nettement plus longue d’un trajet, les autocaristes doivent également tenir compte d’une TVA de 6 % en Belgique ou de 16 % en Allemagne ainsi que des accises de 30 cts au litre de diesel. Taxations spécifiques que connaissent pas les compagnies aériennes …