Les partis de deux des anciens ministres en charge du tourisme à Bruxelles (Didier Gosuin) et en Wallonie (Serge Kubla) ayant été écartés, la partie francophone du royaume va donc hériter de nouvelles excellences.
Aux responsables politiques qui sont en train actuellement de négocier les formations des différents gouvernements et surtout de se pencher sur le très délicat travail de partage des portefeuilles, il est bon de rappeler que le tourisme est en soi un secteur économique qui fait vivre des milliers de personnes.
C’est également, ce que les Marocains ont très bien compris, l’une des seules branche économique qui soit véritablement transversale et donc qui touche à quasiment à toutes les branches de l’économie d’un pays.
Pour que le tourisme marche bien, il faut des hôtels, des activités, des sites, des aéroports, des voies de chemin de fer, des routes, des restaurants, des centres de congrès, … Un exemple pratique : l’aéroport régional de Charleroi procure du travail directement ou indirectement à plus de 3.400 personnes.
Faut-il également rappeler à nos très chers hommes politiques, que le tourisme permet à nombre de leurs électeurs de s’évader pendant quelques jours. De ne plus penser aux difficultés de la vie quotidienne… de rêver un monde meilleur que les politiques, malgré leurs promesses, sont incapables de réaliser.
Charleroi procure du travail à plus de 3.400 personnes
Serait-il vraiment indélicat de demander aux négociateurs politiques de comprendre qu’il est aberrant de scinder les responsabilités comme cela s’est fait à Bruxelles sous l’ancienne législature (un ministre ayant le portefeuille du tourisme leisure tandis qu’un autre avait celui du MICE et de l’hôtellerie).
Serait-il poujadiste de souhaiter que les nouveaux responsables aient un minimum de connaissance au sujet de notre secteur avant d’entrer en fonction ? Que ce ne soit pas non plus l’un de ces portefeuilles que l’on donne à l’un ou l’autre pour le remercier d’avoir bien travailler pour le parti ?
Que l’on n’oublie pas de pourvoir au poste. (ndlr : à la formation de l’ancien gouvernement de la Région Wallonne, on avait en effet complètement oublié d’attribuer le tourisme lors de la répartition des compétences. Ce n’est que quelques jours après l’entrée en fonction que celui-ci a été attribué à Serge Kubla).
Il faut également espérer que les nouveaux ministres comprennent que le tourisme se divise en deux branches bien distinctes : l’incoming et l’accueil et l’outgoing. Que ces deux branches ont des structures de pensée à la fois similaires, complémentaires et différentes.
Que pour un événement majeur comme une grande exposition (action intérieur), il faut au moins prévenir de manière réellement complète et motiver les professionnels au minimum un an et demie à l’avance pour que ceux-ci puissent commercialiser valablement la manifestation à l’étranger (action extérieure)
Enfin, on peut toujours rêver…
Aux responsables politiques qui sont en train actuellement de négocier les formations des différents gouvernements et surtout de se pencher sur le très délicat travail de partage des portefeuilles, il est bon de rappeler que le tourisme est en soi un secteur économique qui fait vivre des milliers de personnes.
C’est également, ce que les Marocains ont très bien compris, l’une des seules branche économique qui soit véritablement transversale et donc qui touche à quasiment à toutes les branches de l’économie d’un pays.
Pour que le tourisme marche bien, il faut des hôtels, des activités, des sites, des aéroports, des voies de chemin de fer, des routes, des restaurants, des centres de congrès, … Un exemple pratique : l’aéroport régional de Charleroi procure du travail directement ou indirectement à plus de 3.400 personnes.
Faut-il également rappeler à nos très chers hommes politiques, que le tourisme permet à nombre de leurs électeurs de s’évader pendant quelques jours. De ne plus penser aux difficultés de la vie quotidienne… de rêver un monde meilleur que les politiques, malgré leurs promesses, sont incapables de réaliser.
Charleroi procure du travail à plus de 3.400 personnes
Serait-il vraiment indélicat de demander aux négociateurs politiques de comprendre qu’il est aberrant de scinder les responsabilités comme cela s’est fait à Bruxelles sous l’ancienne législature (un ministre ayant le portefeuille du tourisme leisure tandis qu’un autre avait celui du MICE et de l’hôtellerie).
Serait-il poujadiste de souhaiter que les nouveaux responsables aient un minimum de connaissance au sujet de notre secteur avant d’entrer en fonction ? Que ce ne soit pas non plus l’un de ces portefeuilles que l’on donne à l’un ou l’autre pour le remercier d’avoir bien travailler pour le parti ?
Que l’on n’oublie pas de pourvoir au poste. (ndlr : à la formation de l’ancien gouvernement de la Région Wallonne, on avait en effet complètement oublié d’attribuer le tourisme lors de la répartition des compétences. Ce n’est que quelques jours après l’entrée en fonction que celui-ci a été attribué à Serge Kubla).
Il faut également espérer que les nouveaux ministres comprennent que le tourisme se divise en deux branches bien distinctes : l’incoming et l’accueil et l’outgoing. Que ces deux branches ont des structures de pensée à la fois similaires, complémentaires et différentes.
Que pour un événement majeur comme une grande exposition (action intérieur), il faut au moins prévenir de manière réellement complète et motiver les professionnels au minimum un an et demie à l’avance pour que ceux-ci puissent commercialiser valablement la manifestation à l’étranger (action extérieure)
Enfin, on peut toujours rêver…