Qui a intérêt à ''torpiller'' la fusion d'Afat Selectour ?
TourMaG.com - L’interprétation du bilan d’Afat Voyages telle qu’elle a été présentée par notre confrère Tour Hebdo vous fait bondir. Pourquoi ?
Jean-Pierre Mas : "Parce que notre bilan est audité par KPMG et que les informations financières que nous avons transmises à propos de l’exercice dernier sont les bonnes.
Affirmer, par exemple, que nous avons 12 millions de dettes, est une aberration.
Oui, il y a une somme de 12 millions d’euros, mais il s’agit de la dette aux fournisseurs dans le cours normal de l’activité du réseau.
Et c'est logique que cette somme augmente puisque notre volume d’affaires augmente d’année en année.
Sa progression s’est située à +5% l’année dernière. C’est même un signe extrêmement positif de la vitalité du réseau."
TM.com - Réfutez-vous aussi une rémunération moindre des fournisseurs ?
J.-P. Mas : "C’est stupide. Notre volume d’affaires est en augmentation, la rémunération des fournisseurs l’est donc aussi.
D’ailleurs le dernier exercice a été fortement bénéficiaire et les adhérents ont reçu des dividendes.
En fait, nous avons redistribué 1/3 des bénéfices aux adhérents et nous gardons les deux autres tiers en réserve.
Quant à notre chiffre d’affaires, il n’apparaît pas dans le bilan de la Cofat mais dans celui d’Afat Entreprises. C’est peut-être compliqué à saisir mais cette structure nous convient."
TM.com - Pensez-vous que l’interprétation différentes des chiffres peut jouer en votre défaveur dans le projet de fusion avec le réseau Selectour et où en êtes-vous dans la préparation de l‘événement ?
J.-P. Mas : "Même si des gens mal intentionnés, que l’on dérange peut-être et qui cherchent à nous nuire font courir des rumeurs alarmantes, cela n’aura aucune incidence sur la concrétisation de la fusion.
Nos comptes sont connus de notre futur partenaire Selectour comme nous connaissons les leurs. Sur le projet même, nous nous organisons de façon à faciliter sa mise en place et en tirer le maximum de profit."
VOIR LE DERNIER BILAN COFAT VOYAGES en PJ bas d'article, bilan dispo sur Verif.com et publié à l'initiative de la Rédaction.
Jean-Pierre Mas : "Parce que notre bilan est audité par KPMG et que les informations financières que nous avons transmises à propos de l’exercice dernier sont les bonnes.
Affirmer, par exemple, que nous avons 12 millions de dettes, est une aberration.
Oui, il y a une somme de 12 millions d’euros, mais il s’agit de la dette aux fournisseurs dans le cours normal de l’activité du réseau.
Et c'est logique que cette somme augmente puisque notre volume d’affaires augmente d’année en année.
Sa progression s’est située à +5% l’année dernière. C’est même un signe extrêmement positif de la vitalité du réseau."
TM.com - Réfutez-vous aussi une rémunération moindre des fournisseurs ?
J.-P. Mas : "C’est stupide. Notre volume d’affaires est en augmentation, la rémunération des fournisseurs l’est donc aussi.
D’ailleurs le dernier exercice a été fortement bénéficiaire et les adhérents ont reçu des dividendes.
En fait, nous avons redistribué 1/3 des bénéfices aux adhérents et nous gardons les deux autres tiers en réserve.
Quant à notre chiffre d’affaires, il n’apparaît pas dans le bilan de la Cofat mais dans celui d’Afat Entreprises. C’est peut-être compliqué à saisir mais cette structure nous convient."
TM.com - Pensez-vous que l’interprétation différentes des chiffres peut jouer en votre défaveur dans le projet de fusion avec le réseau Selectour et où en êtes-vous dans la préparation de l‘événement ?
J.-P. Mas : "Même si des gens mal intentionnés, que l’on dérange peut-être et qui cherchent à nous nuire font courir des rumeurs alarmantes, cela n’aura aucune incidence sur la concrétisation de la fusion.
Nos comptes sont connus de notre futur partenaire Selectour comme nous connaissons les leurs. Sur le projet même, nous nous organisons de façon à faciliter sa mise en place et en tirer le maximum de profit."
VOIR LE DERNIER BILAN COFAT VOYAGES en PJ bas d'article, bilan dispo sur Verif.com et publié à l'initiative de la Rédaction.
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Si les présidents des deux réseaux avancent à pas feutrés dans leur communication sur le projet de fusion, Jean-Luc Dufrenne, membre du comité de pilotage chargé de préparer le rapprochement est plus disert.
Dans un article de la Voix du Nord paru samedi 23 mai, il explique : "On va changer de nom, même si rien n'est encore tranché pour l'instant.
On va peut-être aussi s'associer avec un producteur de voyages en France comme Kuoni, Fran (sic !) ou Donatello dont nous sommes déjà distributeurs. Dans ce cas-là, on pourrait prendre la marque du producteur".
Dans un article de la Voix du Nord paru samedi 23 mai, il explique : "On va changer de nom, même si rien n'est encore tranché pour l'instant.
On va peut-être aussi s'associer avec un producteur de voyages en France comme Kuoni, Fran (sic !) ou Donatello dont nous sommes déjà distributeurs. Dans ce cas-là, on pourrait prendre la marque du producteur".
