Le 29 mai 2013, l'Association Française des Travel Managers (AFTM) a été reçue par les bureaux de trois parlementaires de la Commission transports et tourisme du Parlement européen afin de défendre les spécificités des voyageurs d'affaires.
L'AFTM en a profité pour formuler 4 propositions pour intégrer les passagers Business et les entreprises dans les nouvelles normes prévues dans le cadre de la révision du règlement CE n° 261/2004.
L'association a ainsi demandé des indemnisations mieux calibrées. Elle souhaite un plancher plus équitable et qui aille au-delà des 20 % du prix effectivement payé pour un vol annulé ou enregistrant un important retard.
Elle réclame également que les indemnisations soient versées directement à la personne physique ou morale qui a réglé le prix du billet.
L'organisation souhaite aussi qu'en cas d'impossibilité d'effectuer un vol de pré-acheminement réservé dans le cadre d'un package, le voyageurs d'affaires puisse bénéficier d'un droit d'embarquement étendu aux vols en correspondance.
Par ailleurs, en cas de retard important ou d'annulation d'une liaison, l'AFTM veut que le plafond de 100 € par nuitée soit supprimé. Elle estime qu'il n'est "absolument plus conforme la réalité du marché hôtelier dans les grandes métropoles européennes."
Dans l'optique de renforcer sa démarche, l'association s'est rapprochée de ses homologues belges, allemandes, espagnoles et néerlandaise. Elle souhaite ainsi "établir un front européen en faveur du voyageur d'affaires".
Elle proposera, dans un futur proche, aux associations contactées, de co-signer un manifeste de proposition qui sera, par la suite, adressé à l'ensemble des parlementaires européens membres de la commission Transports et Tourisme.
L'AFTM en a profité pour formuler 4 propositions pour intégrer les passagers Business et les entreprises dans les nouvelles normes prévues dans le cadre de la révision du règlement CE n° 261/2004.
L'association a ainsi demandé des indemnisations mieux calibrées. Elle souhaite un plancher plus équitable et qui aille au-delà des 20 % du prix effectivement payé pour un vol annulé ou enregistrant un important retard.
Elle réclame également que les indemnisations soient versées directement à la personne physique ou morale qui a réglé le prix du billet.
L'organisation souhaite aussi qu'en cas d'impossibilité d'effectuer un vol de pré-acheminement réservé dans le cadre d'un package, le voyageurs d'affaires puisse bénéficier d'un droit d'embarquement étendu aux vols en correspondance.
Par ailleurs, en cas de retard important ou d'annulation d'une liaison, l'AFTM veut que le plafond de 100 € par nuitée soit supprimé. Elle estime qu'il n'est "absolument plus conforme la réalité du marché hôtelier dans les grandes métropoles européennes."
Dans l'optique de renforcer sa démarche, l'association s'est rapprochée de ses homologues belges, allemandes, espagnoles et néerlandaise. Elle souhaite ainsi "établir un front européen en faveur du voyageur d'affaires".
Elle proposera, dans un futur proche, aux associations contactées, de co-signer un manifeste de proposition qui sera, par la suite, adressé à l'ensemble des parlementaires européens membres de la commission Transports et Tourisme.