S’il est exact que la trésorerie du Groupe connaît actuellement une situation tendue, il est par contre inexact de dire que celui-ci serait en difficulté. Analyse point à point. Jusqu’il y a peu, le groupe CIT se composait d’une part d’un département hôtelier et d’autre part d’une branche production et distribution de voyages (AGV loisirs , business travel, TO, AGV réceptrices).
Un plan de restructuration qui a coûté près de 10 Mie
Il a été décidé de procéder à la scission de ces deux pôles. En ce qui concerne l’hôtellerie et les investissements immobiliers du groupe ont été repris, en partie, en main par Gianvittorio Gandolfi dans sa société Progetto Italiana, tandis que certains investissements hôteliers (dont l’hôtel de la lagune de Venise) ont été mis en vente.
Pour Alberto Gandino, porte-parole du groupe : « Cette nouvelle stratégie nous a permis à chacune des composantes du groupe de retrouver son core business.».
Comme il avait été également décidé d’introduire le titre CIT au premier marché de la bourse de Milan, il a également été obligatoire de procéder à différentes corrections financières et sociales.
C’est ainsi qu’en Europe et plus particulièrement en Italie, 160 employés de la CIT sur 1.200 ont du quitter l’entreprise.
Gino Pelizzari président de la branche française
Ce plan a coûté près de 10 millions euros. Montant qui a été largement financé par la revente des hôtels pour un montant de plus de 64 millions euros. Les problèmes de trésoreries provenant de la différence de temps entre le moment où les dépenses de restructuration ont été engagées et le moment où les acheteurs verseront les sommes dues.
Le solde de ces produits financiers servant notamment à diminuer l’endettement du groupe.
Pour Alberto Canino : « Lorsque l’ensemble des opérations sera terminé, le groupe présentera une situation financière nette vis à vis des banques ».
La France a été également touchée par les restructurations. Après le rachat et l’intégration d’Italiatour dans la CIT France, il a été décidé de nommer président de la branche française Gino Pelizzari et, comme directeur général adjoint, Giovanni Ragusa, l’ancien boss d’Italiatour.
Un plan de restructuration qui a coûté près de 10 Mie
Il a été décidé de procéder à la scission de ces deux pôles. En ce qui concerne l’hôtellerie et les investissements immobiliers du groupe ont été repris, en partie, en main par Gianvittorio Gandolfi dans sa société Progetto Italiana, tandis que certains investissements hôteliers (dont l’hôtel de la lagune de Venise) ont été mis en vente.
Pour Alberto Gandino, porte-parole du groupe : « Cette nouvelle stratégie nous a permis à chacune des composantes du groupe de retrouver son core business.».
Comme il avait été également décidé d’introduire le titre CIT au premier marché de la bourse de Milan, il a également été obligatoire de procéder à différentes corrections financières et sociales.
C’est ainsi qu’en Europe et plus particulièrement en Italie, 160 employés de la CIT sur 1.200 ont du quitter l’entreprise.
Gino Pelizzari président de la branche française
Ce plan a coûté près de 10 millions euros. Montant qui a été largement financé par la revente des hôtels pour un montant de plus de 64 millions euros. Les problèmes de trésoreries provenant de la différence de temps entre le moment où les dépenses de restructuration ont été engagées et le moment où les acheteurs verseront les sommes dues.
Le solde de ces produits financiers servant notamment à diminuer l’endettement du groupe.
Pour Alberto Canino : « Lorsque l’ensemble des opérations sera terminé, le groupe présentera une situation financière nette vis à vis des banques ».
La France a été également touchée par les restructurations. Après le rachat et l’intégration d’Italiatour dans la CIT France, il a été décidé de nommer président de la branche française Gino Pelizzari et, comme directeur général adjoint, Giovanni Ragusa, l’ancien boss d’Italiatour.