2 700 passagers du Norwegian Epic débarquent à Canne le 28 septembre 2012 - Photo DR
Le 28 septembre 2012, 2.700 passagers du "Norwegian Epic" débarquent à cannes pour une journée d'animation qui célèbre une saison croisière « historique ».
L'opération est montée dans le cadre d'un programme "Tourisme et Shopping" lancé par la CCI Nice Côte d’Azur, gestionnaire des ports de Cannes et Nice-Villefranche pour renforcer la destination des ports azuréens auprès des grandes compagnies.
Avec 234 000 passagers attendus cette année (+ 54 %), l'activité croisière devient un élément porteur pour l’économie de la cité des festivals.
On enrgistre 25 escales supplémentaires et deux records en nombre de passagers accueillis sur un mois sont tombés (61 000 en mai 2012 et 62 000 en août 2012)
L'opération est montée dans le cadre d'un programme "Tourisme et Shopping" lancé par la CCI Nice Côte d’Azur, gestionnaire des ports de Cannes et Nice-Villefranche pour renforcer la destination des ports azuréens auprès des grandes compagnies.
Avec 234 000 passagers attendus cette année (+ 54 %), l'activité croisière devient un élément porteur pour l’économie de la cité des festivals.
On enrgistre 25 escales supplémentaires et deux records en nombre de passagers accueillis sur un mois sont tombés (61 000 en mai 2012 et 62 000 en août 2012)
Compétition avec le trafic corse
En revanche, la décroissance est au rendez vous pour l’ensemble portuaire Nice-Villefranche-sur-Mer handicapé par des installations insuffisantes.
Le port de Nice ne peut accueillir à quai que des unités de 180 m en compétition avec le trafic corse alors que la rade de Vilelfranche pose des problèmes d’accueil à terre avec un réseau routier collinaire handicapant l’accueil d’un grand nombre de car.
A fin août 2012 et en données cumulées, Nice-Villefranche table sur 262 600 passagers, en forte baisse (-18,6%). C’est notamment une chute d’escales (-49) et de passagers au port de Nice (-28,6%).
La rade de Villefranche affiche également un recul de 17,6 % de passagers.
Se pose toujours la problématique des installations pour le développement de l’accueil croisière. L’unique possibilité serait la création d’un port pour l’accueil de deux à trois unités géantes ( 300 m) au large de Saint Laurent du Var dans le cadre de l’extension du port de la commune.
C’est le seul site de 12 ha (8 m de profondeur assurant l’aménagement d’une infrastructure d’accueil. Mais pour l’instant, c’est l’option grande plaisance qui est choisi.
Pourtant toutes les grandes compagnies de croisière le confirment. Si une infrastructure d’accueil de ce type existait, la Côte d’Azur grâce à son attractivité touristique et la présence d’un aéroport international pour le transfert des passagers en tête de ligne, serait actuellement l’un des plus importants "spot" pour le trafic croisière en méditerranée occidentale.
La preuve sans installation, à l’exception de Monaco qui avec sa digue flottante peut accueillir des unités de plus de 300 m, la Côte d’Azur accueille près de 800.000 passagers en escales par an.
Le port de Nice ne peut accueillir à quai que des unités de 180 m en compétition avec le trafic corse alors que la rade de Vilelfranche pose des problèmes d’accueil à terre avec un réseau routier collinaire handicapant l’accueil d’un grand nombre de car.
A fin août 2012 et en données cumulées, Nice-Villefranche table sur 262 600 passagers, en forte baisse (-18,6%). C’est notamment une chute d’escales (-49) et de passagers au port de Nice (-28,6%).
La rade de Villefranche affiche également un recul de 17,6 % de passagers.
Se pose toujours la problématique des installations pour le développement de l’accueil croisière. L’unique possibilité serait la création d’un port pour l’accueil de deux à trois unités géantes ( 300 m) au large de Saint Laurent du Var dans le cadre de l’extension du port de la commune.
C’est le seul site de 12 ha (8 m de profondeur assurant l’aménagement d’une infrastructure d’accueil. Mais pour l’instant, c’est l’option grande plaisance qui est choisi.
Pourtant toutes les grandes compagnies de croisière le confirment. Si une infrastructure d’accueil de ce type existait, la Côte d’Azur grâce à son attractivité touristique et la présence d’un aéroport international pour le transfert des passagers en tête de ligne, serait actuellement l’un des plus importants "spot" pour le trafic croisière en méditerranée occidentale.
La preuve sans installation, à l’exception de Monaco qui avec sa digue flottante peut accueillir des unités de plus de 300 m, la Côte d’Azur accueille près de 800.000 passagers en escales par an.