« Même si aujourd’hui, tout le monde fait le métier de tout le monde, je ne pense pas que les agences Internet soient prêtes à devenir TO. Les risques sont très élevés dans la production », analyse René Marc Chikli.
« Le positionnement pris par les tour opérateurs français ne s’apparente pas encore au modèle économique développé dans les autres pays européens mais on y arrive doucement », analyse René Marc Chikli, le président du Cercle d’Etudes des Tour Opérateurs.
Selon lui, le net représente désormais environ 50 % des ventes des TO alors que la configuration initiale était de 80/20 en faveur de la distribution classique il y a encore 1 an.
« L’apparition du haut débit a complètement bouleversé la donne. Aujourd’hui, le haut débit compte plus de connectés que le bas débit ce qui est une première en France », confirme Marc Ruff, le président d’expedia France.
Trop de risques pour les agences du Web
Pourtant, cette montée d’Internet dans les habitudes de consommation touristiques des français, continuera à s‘appuyer sur l’offre des tour opérateurs « classiques ».
« Même si aujourd’hui, tout le monde fait le métier de tout le monde, je ne pense pas que les agences Internet soient prêtes à devenir TO. Les risques sont très élevés dans la production », analyse René Marc Chikli.
Et le président du Ceto de souhaiter une présence accrue de la production classique sur le net. « Il nous faut pousser le marché par la communication. Nous ne faisons pas assez de publicité sur la toile. »
Sur le portail du Ceto, plus de 3 000 produits sont d’ores et déjà proposés mais pas encore accessibles en réservation on-line sur le site B to B de l’association.
« Cela devrait intervenir très vite », souligne René Marc Chikli mais sans pour autant avancer de date précise.
Incentive sur les départs hors saison
Sur l’état du marché, la demande actuelle semble bien orientée. « Les TO ont remis des stocks cet été car on s’attend à un accroissement des volumes. Actuellement, les ventes sont bien orientées et le portefeuille des réservations pour le mois d’août est bon. »
Mais de plus en plus, les TO devront savoir surtout vendre les saison intermédiaires hors vacances scolaires. « Le Yeld va s’inscrire encore d’avantage dans l’économie des producteurs.
Le tout, dans un marché dominé par deux options marketing différentes : l’entrée de gamme et le haut de gamme. »
Sur la question des commissions qui pourraient devenir variables suivant la saison, René Marc Chikli reconnaît d’ailleurs que des aides ou des incentives seraient certainement accrus pour les départs en basse saison."
Selon lui, le net représente désormais environ 50 % des ventes des TO alors que la configuration initiale était de 80/20 en faveur de la distribution classique il y a encore 1 an.
« L’apparition du haut débit a complètement bouleversé la donne. Aujourd’hui, le haut débit compte plus de connectés que le bas débit ce qui est une première en France », confirme Marc Ruff, le président d’expedia France.
Trop de risques pour les agences du Web
Pourtant, cette montée d’Internet dans les habitudes de consommation touristiques des français, continuera à s‘appuyer sur l’offre des tour opérateurs « classiques ».
« Même si aujourd’hui, tout le monde fait le métier de tout le monde, je ne pense pas que les agences Internet soient prêtes à devenir TO. Les risques sont très élevés dans la production », analyse René Marc Chikli.
Et le président du Ceto de souhaiter une présence accrue de la production classique sur le net. « Il nous faut pousser le marché par la communication. Nous ne faisons pas assez de publicité sur la toile. »
Sur le portail du Ceto, plus de 3 000 produits sont d’ores et déjà proposés mais pas encore accessibles en réservation on-line sur le site B to B de l’association.
« Cela devrait intervenir très vite », souligne René Marc Chikli mais sans pour autant avancer de date précise.
Incentive sur les départs hors saison
Sur l’état du marché, la demande actuelle semble bien orientée. « Les TO ont remis des stocks cet été car on s’attend à un accroissement des volumes. Actuellement, les ventes sont bien orientées et le portefeuille des réservations pour le mois d’août est bon. »
Mais de plus en plus, les TO devront savoir surtout vendre les saison intermédiaires hors vacances scolaires. « Le Yeld va s’inscrire encore d’avantage dans l’économie des producteurs.
Le tout, dans un marché dominé par deux options marketing différentes : l’entrée de gamme et le haut de gamme. »
Sur la question des commissions qui pourraient devenir variables suivant la saison, René Marc Chikli reconnaît d’ailleurs que des aides ou des incentives seraient certainement accrus pour les départs en basse saison."