« Ce que nous envisageons c’est de créer un GDS ou plutôt un système comme Esterel qui permettait d’avoir accès à l’ensemble de l’offre existante... »
Le moteur de recherche développé par Runaworld est utilisé par plus de 200 clients - agences de voyages, tour-opérateurs, groupistes…
Il permet d’avoir accès aux compagnies aériennes régulières et aux compagnies low cost ainsi qu’au ferroviaire.
Le calculateur du système est suffisamment puissant pour pouvoir combiner un trajet en low cost. Avec un trajet en compagnie classique, ou encore de réaliser des billets circulaires ou bien encore des open jaws
Mais Christian Coulaud, le président de Runaworld souhaite pousser le système plus loin. Intégrer les compagnies ferroviaires européennes, par exemple. Ainsi que les produits complémentaires aux trajets.
Il permet d’avoir accès aux compagnies aériennes régulières et aux compagnies low cost ainsi qu’au ferroviaire.
Le calculateur du système est suffisamment puissant pour pouvoir combiner un trajet en low cost. Avec un trajet en compagnie classique, ou encore de réaliser des billets circulaires ou bien encore des open jaws
Mais Christian Coulaud, le président de Runaworld souhaite pousser le système plus loin. Intégrer les compagnies ferroviaires européennes, par exemple. Ainsi que les produits complémentaires aux trajets.
Passer de 200 clients aujourd’hui à… 2 000 !
Pour cela, il faut du financement.
Le groupe a ainsi vendu son activité de voyages d’affaires en mai dernier pour réinvestir les fonds récupérés dans l’extension progressive du système.
Il est également en négociation avec des financiers pour augmenter encore la capacité de développement.
« Ce que nous envisageons c’est de créer un GDS ou plutôt un système comme Esterel qui permettait d’avoir accès à l’ensemble de l’offre existante. Bien sûr, nous continuerons à tirer des flux des GDS en place », explique Christian Coulaud.
L’objectif est de passe de 200 clients aujourd’hui à… 2 000 !
Parmi les entreprises qui ont adopté récemment le système, les agences d’événementiels qui n’avaient pas la licence d’agences de voyages mais qui ont profité de la nouvelle loi pour le devenir à part entière.
Le groupe a ainsi vendu son activité de voyages d’affaires en mai dernier pour réinvestir les fonds récupérés dans l’extension progressive du système.
Il est également en négociation avec des financiers pour augmenter encore la capacité de développement.
« Ce que nous envisageons c’est de créer un GDS ou plutôt un système comme Esterel qui permettait d’avoir accès à l’ensemble de l’offre existante. Bien sûr, nous continuerons à tirer des flux des GDS en place », explique Christian Coulaud.
L’objectif est de passe de 200 clients aujourd’hui à… 2 000 !
Parmi les entreprises qui ont adopté récemment le système, les agences d’événementiels qui n’avaient pas la licence d’agences de voyages mais qui ont profité de la nouvelle loi pour le devenir à part entière.