La Bastille et les « bulles »
Cœur historique de la ville, la place Saint-André - dite aussi « place du Trib » - rassemble les symboles de pouvoir de l’ancienne province du Dauphiné - DR : J.-F.R.
Ce n’est pas un élément patrimonial comme on l’entend d’ordinaire, mais c’est le symbole de la ville.
Les « bulles » (télécabines) hissent le visiteur par-dessus les eaux grises de l’Isère, jusqu’au fort de la Bastille, et appartiennent au paysage grenoblois, comme Fourvière est attachée à Lyon.
Le vénérable « monte-charge » date de 1934. Construit à des fins touristiques, il est considéré comme l’un des premiers téléphériques urbains au monde, après ceux de Rio et de Cape Town.
Depuis, les cabines ont été changées, mais les parois vitrées offrent toujours un frisson aux plus émotifs.
Pendant le trajet, on survole les tuiles du quartier Saint-Laurent, le musée dauphinois et les vestiges ruinés de l’ancien Institut de Géographie Alpine - un désastre urbain. En haut, il fait toujours plus froid que sur les quais.
Édifié dès 1591 par le duc de Lesdiguières, le fort, renforcé dans la première moitié du 19e s., devait défendre la ville d’une attaque des Savoyards… qui ne viendra jamais.
Le bastion s’étage sur plusieurs niveaux, dans la végétation déjà montagnarde et offre ce que le touriste urbain aime généralement : des lieux de loisirs (musée des Troupes de montagne, Centre d’Art, restaurants et cafés…) ainsi qu’une vue inoubliable sur les avenues-diagonales de la ville et les massifs.
Par beau temps, même le Mont Blanc est parfois de la partie. Visite obligatoire !
Les « bulles » (télécabines) hissent le visiteur par-dessus les eaux grises de l’Isère, jusqu’au fort de la Bastille, et appartiennent au paysage grenoblois, comme Fourvière est attachée à Lyon.
Le vénérable « monte-charge » date de 1934. Construit à des fins touristiques, il est considéré comme l’un des premiers téléphériques urbains au monde, après ceux de Rio et de Cape Town.
Depuis, les cabines ont été changées, mais les parois vitrées offrent toujours un frisson aux plus émotifs.
Pendant le trajet, on survole les tuiles du quartier Saint-Laurent, le musée dauphinois et les vestiges ruinés de l’ancien Institut de Géographie Alpine - un désastre urbain. En haut, il fait toujours plus froid que sur les quais.
Édifié dès 1591 par le duc de Lesdiguières, le fort, renforcé dans la première moitié du 19e s., devait défendre la ville d’une attaque des Savoyards… qui ne viendra jamais.
Le bastion s’étage sur plusieurs niveaux, dans la végétation déjà montagnarde et offre ce que le touriste urbain aime généralement : des lieux de loisirs (musée des Troupes de montagne, Centre d’Art, restaurants et cafés…) ainsi qu’une vue inoubliable sur les avenues-diagonales de la ville et les massifs.
Par beau temps, même le Mont Blanc est parfois de la partie. Visite obligatoire !
Les Halles Sainte-Claire
Au cœur de la ville, elles ont soufflé leurs 140 bougies en 2014.
Sous le bâtiment, mélange de style Baltard et Eiffel construit à la place d’un couvent au 19e s., 26 étals s’activent du mardi au dimanche matin et les vendredis et samedis après-midi.
Lieu de convivialité, les halles captent les clients historiques qui ont grandi avec les commerçants et les jeunes urbains, conquis par la fraîcheur des produits - il n’y a pas de chambres froides assez grandes pour stocker longtemps.
Primeurs, bouchers, charcutiers, fromagers, épiciers… les halles sont un condensé de la gastronomie dauphinoise.
C’est ici que se trouve le seul tripier de l’agglomération, ici aussi que travaille le dernier boucher chevalin du centre-ville.
Entre Robert Ferri le doyen - 45 ans de boucherie - et Paul Mazeau le jeune - 26 ans, fromager aux halles depuis 2012 -, la jonction des générations semble faite.
Tout ce petit monde se retrouve le matin au comptoir du Bistroquet, plus petit bistrot de Grenoble mais grand par la fraternité qui y règne. Pour le café ou l’apéro, selon les goûts.
Sous le bâtiment, mélange de style Baltard et Eiffel construit à la place d’un couvent au 19e s., 26 étals s’activent du mardi au dimanche matin et les vendredis et samedis après-midi.
Lieu de convivialité, les halles captent les clients historiques qui ont grandi avec les commerçants et les jeunes urbains, conquis par la fraîcheur des produits - il n’y a pas de chambres froides assez grandes pour stocker longtemps.
Primeurs, bouchers, charcutiers, fromagers, épiciers… les halles sont un condensé de la gastronomie dauphinoise.
C’est ici que se trouve le seul tripier de l’agglomération, ici aussi que travaille le dernier boucher chevalin du centre-ville.
Entre Robert Ferri le doyen - 45 ans de boucherie - et Paul Mazeau le jeune - 26 ans, fromager aux halles depuis 2012 -, la jonction des générations semble faite.
Tout ce petit monde se retrouve le matin au comptoir du Bistroquet, plus petit bistrot de Grenoble mais grand par la fraternité qui y règne. Pour le café ou l’apéro, selon les goûts.
Le Musée de Grenoble
Lui aussi a fêté son anniversaire en 2014 : 20 ans.
Enfin, 20 ans place Lavalette, parce que le Musée de Grenoble est né en réalité à une autre adresse, en 1798.
Il fallait bien ce nouvel écrin moderne (18 000 m² et un parc de sculptures) pour valoriser le fonds prestigieux du musée, l’un des mieux dotés de province.
Les collections anciennes de peinture s’étalent du 13e au 19e s. Tableaux de Rubens, Zurbaràn, Canaletto, Georges de la Tour, Ingres, Gauguin… les chefs-d’œuvre des écoles française et étrangère sont nombreux.
La seconde section, consacrée au 20e s., doit beaucoup à un ancien conservateur, Andy-Farcy.
Féru d’art moderne, il n’eut de cesse de défendre le musée. Il profita d’un legs en 1923, avec un lot exclusif d’œuvres néo-impressionnistes et fauvistes et de dons prestigieux, de Matisse et de Picasso.
Des acquisitions (Léger, Soutine, Bonnard) complètent une collection moderne qui affiche aussi des œuvres minimalistes, de pop-art, géométriques et de l’art contemporain. Une bonne idée de visite quand le temps tourne maussade à Grenoble.
Enfin, 20 ans place Lavalette, parce que le Musée de Grenoble est né en réalité à une autre adresse, en 1798.
Il fallait bien ce nouvel écrin moderne (18 000 m² et un parc de sculptures) pour valoriser le fonds prestigieux du musée, l’un des mieux dotés de province.
Les collections anciennes de peinture s’étalent du 13e au 19e s. Tableaux de Rubens, Zurbaràn, Canaletto, Georges de la Tour, Ingres, Gauguin… les chefs-d’œuvre des écoles française et étrangère sont nombreux.
La seconde section, consacrée au 20e s., doit beaucoup à un ancien conservateur, Andy-Farcy.
Féru d’art moderne, il n’eut de cesse de défendre le musée. Il profita d’un legs en 1923, avec un lot exclusif d’œuvres néo-impressionnistes et fauvistes et de dons prestigieux, de Matisse et de Picasso.
Des acquisitions (Léger, Soutine, Bonnard) complètent une collection moderne qui affiche aussi des œuvres minimalistes, de pop-art, géométriques et de l’art contemporain. Une bonne idée de visite quand le temps tourne maussade à Grenoble.
L’ancien Palais du Parlement et la place Saint-André
Il y a plus de 60 000 étudiants à Grenoble et nul doute que chacun est allé au moins une fois prendre un verre à la terrasse d’un café de la place Saint-André.
Cœur historique de la ville, cette place piétonne - dite aussi « place du Trib » - rassemble les symboles de pouvoir de l’ancienne province du Dauphiné.
S’y dresse, majestueux, la façade gothique et Renaissance de l’ancien tribunal et palais du Parlement, où siégeait jusqu’à la Révolution les édiles dauphinois. La justice fut rendue dans ce palais jusqu’en 2002, date de son transfert dans le quartier Europôle.
Sur la place se trouve aussi la collégiale Saint-André, du 13e s., en briques et à flèche gothique. Elle fut édifiée sous le règne du dauphin Guigues VI.
L’agora, aux faux airs de Sud quand le soleil darde ses rayons, est un lieu de rencontres et de jeux. Autour de la statue de Pierre Terrail - le célèbre chevalier Bayard -, natif de Pontcharra et dont le socle porte ses faits d’armes (Marignan, 1515 !), les enfants s’entraînent parfois au hockey sur le mur de la collégiale, des jeunes rient bruyamment autour d’une bière à une terrasse, des couples entrent dîner dans le vénérable Café de la Table Ronde, l’un des plus vieux de France, ouvert en 1739.
La passerelle entre le passé dauphinois et l’actualité d’une ville scientifique à l’image innovante est ici établie.
Cœur historique de la ville, cette place piétonne - dite aussi « place du Trib » - rassemble les symboles de pouvoir de l’ancienne province du Dauphiné.
S’y dresse, majestueux, la façade gothique et Renaissance de l’ancien tribunal et palais du Parlement, où siégeait jusqu’à la Révolution les édiles dauphinois. La justice fut rendue dans ce palais jusqu’en 2002, date de son transfert dans le quartier Europôle.
Sur la place se trouve aussi la collégiale Saint-André, du 13e s., en briques et à flèche gothique. Elle fut édifiée sous le règne du dauphin Guigues VI.
L’agora, aux faux airs de Sud quand le soleil darde ses rayons, est un lieu de rencontres et de jeux. Autour de la statue de Pierre Terrail - le célèbre chevalier Bayard -, natif de Pontcharra et dont le socle porte ses faits d’armes (Marignan, 1515 !), les enfants s’entraînent parfois au hockey sur le mur de la collégiale, des jeunes rient bruyamment autour d’une bière à une terrasse, des couples entrent dîner dans le vénérable Café de la Table Ronde, l’un des plus vieux de France, ouvert en 1739.
La passerelle entre le passé dauphinois et l’actualité d’une ville scientifique à l’image innovante est ici établie.
Place Grenette
En y revenant après 10 ans d’absence, on a eu la surprise de retrouver le vénérable magasin de chaussures Raymond Christian, au fond la place, preuve d’une certaine intemporalité de l’endroit.
La place Grenette, c’est le passage obligé pour tout Grenoblois se rendant à pied dans le centre piétonnier.
Un lieu d’interconnexion, d’achat (la FNAC et les Galeries Lafayette s’y trouvent), de restauration et de « coups à boire » entre amis sur les terrasses ensoleillées des brasseries, l’été.
Cette longue esplanade, ancienne place aux grains du Moyen Age, lieu d’installation de la guillotine révolutionnaire - qui servira deux fois - et campement pour les 150 soldats de Napoléon lors de sa remontée de l’île d’Elbe (il s’arrêta à Grenoble du 7 au 9 mars 1815), semble ne pas vouloir changer.
Devant le magasin Raymond Christian trône, indéboulonnable, la fontaine des Dauphins, édifiée en 1826.
Un autre symbole intemporel de cette ville où l’eau du robinet est l’une des plus pures de France.
La place Grenette, c’est le passage obligé pour tout Grenoblois se rendant à pied dans le centre piétonnier.
Un lieu d’interconnexion, d’achat (la FNAC et les Galeries Lafayette s’y trouvent), de restauration et de « coups à boire » entre amis sur les terrasses ensoleillées des brasseries, l’été.
Cette longue esplanade, ancienne place aux grains du Moyen Age, lieu d’installation de la guillotine révolutionnaire - qui servira deux fois - et campement pour les 150 soldats de Napoléon lors de sa remontée de l’île d’Elbe (il s’arrêta à Grenoble du 7 au 9 mars 1815), semble ne pas vouloir changer.
Devant le magasin Raymond Christian trône, indéboulonnable, la fontaine des Dauphins, édifiée en 1826.
Un autre symbole intemporel de cette ville où l’eau du robinet est l’une des plus pures de France.
Places de Verdun et Victor Hugo
Elles sont l’incarnation du Grenoble haussmannien et solennel.
La première, très animée, est entourée d’immeubles bourgeois. Au centre du carré parfait, une fontaine et un square arboré créent une ambiance fraîche et ombragée, attirant les jeunes, les mamans à landaus et les seniors.
Plus grande et ouvrant la vue sur le massif de la Chartreuse, la place de Verdun affiche une rigueur toute militaire, illustrée par les façades classiques de la Préfecture, de l’hôtel des Troupes de montagne, du tribunal administratif et de l’ancien musée-bibliothèque.
Ce dernier bâtiment abrite aujourd’hui la Plateforme, un espace d’information sur l’urbanisme.
Venir lorsque des expositions s’y tiennent permet de découvrir la belle bibliothèque de la fin du 19e s.
La première, très animée, est entourée d’immeubles bourgeois. Au centre du carré parfait, une fontaine et un square arboré créent une ambiance fraîche et ombragée, attirant les jeunes, les mamans à landaus et les seniors.
Plus grande et ouvrant la vue sur le massif de la Chartreuse, la place de Verdun affiche une rigueur toute militaire, illustrée par les façades classiques de la Préfecture, de l’hôtel des Troupes de montagne, du tribunal administratif et de l’ancien musée-bibliothèque.
Ce dernier bâtiment abrite aujourd’hui la Plateforme, un espace d’information sur l’urbanisme.
Venir lorsque des expositions s’y tiennent permet de découvrir la belle bibliothèque de la fin du 19e s.
Cathédrale Notre-Dame et musée de l’Ancien Evêché
Nous voilà au cœur historique et religieux de Grenoble.
Sous l’ancien palais des évêques (13e s.) transformé en musée, se trouvent les vestiges d’un baptistère du 4e s. mis à jour lors des travaux du tramway, en 1989.
Un témoignage remarquable sur la ville, qui s’appelait alors Gratianopolis (après avoir été la Cularo des Romains).
La visite découvre les restes de l’enceinte gallo-romaine tandis qu’à l’étage l’histoire de l’Isère est retracée, de la Préhistoire à nos jours.
L’aspect actuel de la cathédrale Notre-Dame, au clocher carré en briques « à la toulousaine », date du 13e s.
Elle était siège du pouvoir de l’évêque, qui se partageait la ville avec le dauphin. Elle est contigüe de l’église Saint-Hugues, à l’ornementation plus riche, construite contre l’ancien rempart romain, formant ainsi avec le baptistère et le palais de l’Ancien Evêché un « groupe cathédrale » inédit.
Sous l’ancien palais des évêques (13e s.) transformé en musée, se trouvent les vestiges d’un baptistère du 4e s. mis à jour lors des travaux du tramway, en 1989.
Un témoignage remarquable sur la ville, qui s’appelait alors Gratianopolis (après avoir été la Cularo des Romains).
La visite découvre les restes de l’enceinte gallo-romaine tandis qu’à l’étage l’histoire de l’Isère est retracée, de la Préhistoire à nos jours.
L’aspect actuel de la cathédrale Notre-Dame, au clocher carré en briques « à la toulousaine », date du 13e s.
Elle était siège du pouvoir de l’évêque, qui se partageait la ville avec le dauphin. Elle est contigüe de l’église Saint-Hugues, à l’ornementation plus riche, construite contre l’ancien rempart romain, formant ainsi avec le baptistère et le palais de l’Ancien Evêché un « groupe cathédrale » inédit.
Le cours Jean-Jaurès
Avec ses 7,8 km de long, il est considéré comme la plus grande avenue rectiligne d’Europe (mais la Diagonal à Barcelone lui dispute ce titre).
A titre de comparaison, il n’y a que 5,8 km entre la place de la Concorde et La Défense, à Paris. A l’origine (fin 17e s.), c’était une digue construite pour protéger des débordements du Drac.
Le cours Jean Jaurès (il porte d’autres noms au fil de son parcours) court du pied de la Bastille jusqu’à la commune voisine d’Echirolles.
Bordé d’immeubles haussmanniens et modernes, à mesure que l’on s’éloigne du centre grenoblois, il est en partie planté d’arbres.
Cet axe majeur de circulation routière était jusqu’à une date récente peu adapté à la déambulation piétonne.
Depuis la construction de la dernière ligne de tramway, il vit une mutation : trafic routier canalisé, piétonisation et élargissement des trottoirs… le cours Jean Jaurès redevient humain !
A titre de comparaison, il n’y a que 5,8 km entre la place de la Concorde et La Défense, à Paris. A l’origine (fin 17e s.), c’était une digue construite pour protéger des débordements du Drac.
Le cours Jean Jaurès (il porte d’autres noms au fil de son parcours) court du pied de la Bastille jusqu’à la commune voisine d’Echirolles.
Bordé d’immeubles haussmanniens et modernes, à mesure que l’on s’éloigne du centre grenoblois, il est en partie planté d’arbres.
Cet axe majeur de circulation routière était jusqu’à une date récente peu adapté à la déambulation piétonne.
Depuis la construction de la dernière ligne de tramway, il vit une mutation : trafic routier canalisé, piétonisation et élargissement des trottoirs… le cours Jean Jaurès redevient humain !
Le siège des Editions Glénat
Avec Glénat et la longue histoire de la maison Arthaud, Grenoble peut se revendiquer ville d’édition.
Fondé en 1969, Glénat, premier éditeur indépendant français de bandes dessinées, a installé en 2008 ses bureaux rue Sevran, dans l’ancien couvent des Bernardines Sainte-Cécile (construit en 1624).
Ce lieu, qui fut tour à tour dancing, cinéma et théâtre, a été remarquablement réaménagé et la chapelle, le cloître et l’escalier d’honneur, rhabillés au style de l’édition, exhalent un charme recueilli. Seule la chapelle, hall d’accueil de l’éditeur, est accessible au public.
Des éclairages néons circulaires mettent en lumière l’immense rayonnage mural qui abrite un exemplaire de chaque ouvrage publié par l’éditeur.
Il valorise aussi les vitraux, représentant des scènes de BD. Le site abrite un restaurant, Les Jardins de Sainte-Cécile.
Fondé en 1969, Glénat, premier éditeur indépendant français de bandes dessinées, a installé en 2008 ses bureaux rue Sevran, dans l’ancien couvent des Bernardines Sainte-Cécile (construit en 1624).
Ce lieu, qui fut tour à tour dancing, cinéma et théâtre, a été remarquablement réaménagé et la chapelle, le cloître et l’escalier d’honneur, rhabillés au style de l’édition, exhalent un charme recueilli. Seule la chapelle, hall d’accueil de l’éditeur, est accessible au public.
Des éclairages néons circulaires mettent en lumière l’immense rayonnage mural qui abrite un exemplaire de chaque ouvrage publié par l’éditeur.
Il valorise aussi les vitraux, représentant des scènes de BD. Le site abrite un restaurant, Les Jardins de Sainte-Cécile.
Les lieux stendhaliens
Stendhal (Henri Beyle) est LE personnage célèbre de Grenoble.
Né en 1783, le romancier sera marqué par son enfance dauphinoise, un cadre de vie relaté dans de nombreux écrits, comme « La Vie de Henri Brulard ».
Dans le centre ancien, un itinéraire conduit les touristes sur ses traces, notamment jusqu’à son appartement natal (14, rue Jean-Jacques Rousseau) et à celui de son grand-père maternel, admiré, le docteur Henri Gagnon (Grande Rue, face à la librairie Arthaud).
Le premier est un lieu vivant attaché à la lecture et à l’écriture.
Le second, sa vraie maison de famille (il détestait son père tyrannique et sa famille paternelle) accueille des expositions permanentes et temporaires et restitue, par son mobilier et son atmosphère, le décor qui vit naître la vocation littéraire d’Henri Beyle.
Né en 1783, le romancier sera marqué par son enfance dauphinoise, un cadre de vie relaté dans de nombreux écrits, comme « La Vie de Henri Brulard ».
Dans le centre ancien, un itinéraire conduit les touristes sur ses traces, notamment jusqu’à son appartement natal (14, rue Jean-Jacques Rousseau) et à celui de son grand-père maternel, admiré, le docteur Henri Gagnon (Grande Rue, face à la librairie Arthaud).
Le premier est un lieu vivant attaché à la lecture et à l’écriture.
Le second, sa vraie maison de famille (il détestait son père tyrannique et sa famille paternelle) accueille des expositions permanentes et temporaires et restitue, par son mobilier et son atmosphère, le décor qui vit naître la vocation littéraire d’Henri Beyle.