Depuis quatre années, le Club Méditerranée de Moorea a fermé ses portes, faute d'accord avec les 26 ayants droit du terrain sur le montant des loyers. Selon les autorités, la disparition de cette activité, qui faisait "vivre plus de 600 personnes", a provoqué la suppression de "150 emplois directs".
Bien que le bail court jusqu'en 2011, le Club Med s'est dit prêt à céder celui-ci à un autre investisseur. "Cela fait quatre ans que les négociations n'aboutissent pas", a expliqué le ministre du Tourisme Teva Rohfritsch qui indique pourtant avoir "essayé de trouver des solutions qui contentent les propriétaires et le Club Med".
Le gouvernement souhaiterait y voir construit "au moins deux hôtels"
Le but de la mesure est de relancer l'activité touristique sur ce site que Gaston Flosse estime être "l'un des plus beaux de Moorea". Si le Club Med décide de renoncer à son bail, et dans l'attente d'une reprise par des investisseurs, "le territoire s'engage à louer ces terres à un prix raisonnable", a-t-il déclaré.
Le montant des loyers n'a toutefois pas été communiqué à la demande des familles propriétaires. "Lorsque l'affaire sera conclue, ce sera rendu public puisqu'il s'agit de fonds publics", a souligné Gaston Flosse.
Selon ce dernier, il y aurait "déjà des sociétés intéressées par le site" pour y réaliser divers projets. Le gouvernement souhaiterait y voir construit "au moins deux hôtels" où seront "embauchés en priorité les employés qui ont été privés de leur emploi".
JBC (Tahitipresse) - redaction@tourmag.com
Bien que le bail court jusqu'en 2011, le Club Med s'est dit prêt à céder celui-ci à un autre investisseur. "Cela fait quatre ans que les négociations n'aboutissent pas", a expliqué le ministre du Tourisme Teva Rohfritsch qui indique pourtant avoir "essayé de trouver des solutions qui contentent les propriétaires et le Club Med".
Le gouvernement souhaiterait y voir construit "au moins deux hôtels"
Le but de la mesure est de relancer l'activité touristique sur ce site que Gaston Flosse estime être "l'un des plus beaux de Moorea". Si le Club Med décide de renoncer à son bail, et dans l'attente d'une reprise par des investisseurs, "le territoire s'engage à louer ces terres à un prix raisonnable", a-t-il déclaré.
Le montant des loyers n'a toutefois pas été communiqué à la demande des familles propriétaires. "Lorsque l'affaire sera conclue, ce sera rendu public puisqu'il s'agit de fonds publics", a souligné Gaston Flosse.
Selon ce dernier, il y aurait "déjà des sociétés intéressées par le site" pour y réaliser divers projets. Le gouvernement souhaiterait y voir construit "au moins deux hôtels" où seront "embauchés en priorité les employés qui ont été privés de leur emploi".
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