Ce lundi 18 mars 2013, Les Echos publient une tribune de Sylvia Pinel, ministre française de l'Artisanat, du Commerce et du Tourisme.
Elle réagit au rapport du Forum économique mondial du 7 mars 2013 sur la compétitivité dans les secteurs du voyage et du tourisme, dans lequel la France recule de 4 places à l'échelle mondiale.
"A l'heure où notre industrie touristique bat des records, cette affirmation paraît à la fois hâtive et exagérément défaitiste", écrit-elle. Et pour appuyer ses propos, elle rappelle que le secteur a généré "au moins 77 milliards d'euros", en 2012.
Selon Mme Pinal, le tourisme n'est pas le seul secteur à souffrir de la faiblesse de la compétitivité-prix en France.
Elle explique, suivant la stratégie adoptée par le Gouvernement dans le cadre du Pacte national pour la croissance, le secteur va profiter d'un crédit d'impôt, de la généralisation des contrats de génération, de la mise en place d'une stratégie de marque rance et "plus généralement par le renforcement de notre attractivité."
Elle ajoute que l’État "consacre une effort financier massif d'environ 2 milliards d'euros par an" au redressement de l'industrie.
A la suite de quoi, elle fixe l'objectif de "consolider notre présence sur Internet et anticiper le développement du m-tourisme, coordonner l'action de la puissance publique, améliorer l'accès aux grands aéroports et à certaines métropoles, faciliter la délivrance de visas."
Selon la ministre, les premiers contrats de destinations seront signés avant l'été.
Elle réagit au rapport du Forum économique mondial du 7 mars 2013 sur la compétitivité dans les secteurs du voyage et du tourisme, dans lequel la France recule de 4 places à l'échelle mondiale.
"A l'heure où notre industrie touristique bat des records, cette affirmation paraît à la fois hâtive et exagérément défaitiste", écrit-elle. Et pour appuyer ses propos, elle rappelle que le secteur a généré "au moins 77 milliards d'euros", en 2012.
Selon Mme Pinal, le tourisme n'est pas le seul secteur à souffrir de la faiblesse de la compétitivité-prix en France.
Elle explique, suivant la stratégie adoptée par le Gouvernement dans le cadre du Pacte national pour la croissance, le secteur va profiter d'un crédit d'impôt, de la généralisation des contrats de génération, de la mise en place d'une stratégie de marque rance et "plus généralement par le renforcement de notre attractivité."
Elle ajoute que l’État "consacre une effort financier massif d'environ 2 milliards d'euros par an" au redressement de l'industrie.
A la suite de quoi, elle fixe l'objectif de "consolider notre présence sur Internet et anticiper le développement du m-tourisme, coordonner l'action de la puissance publique, améliorer l'accès aux grands aéroports et à certaines métropoles, faciliter la délivrance de visas."
Selon la ministre, les premiers contrats de destinations seront signés avant l'été.
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