Évoquer Sainte-Lucie sans parler de ses paysages est impossible. Entre mer et montagne, sa végétation et sa faune sont très variées - DR : OT Sainte Lucie
Mardi 6 septembre 2016, Christelle Boutec, responsable des ventes Condor en France, était l’hôtesse des agences de voyages.
Elle les a accueillis dans les locaux d’Aviareps France, qui représente Condor sur le marché français pour les ventes et le marketing.
L’objectif de cette matinée était de leur offrir un point (in)formation sur Sainte-Lucie.
La compagnie Condor (100% groupe Thomas Cook), qui fête ses 60 ans de vol cette année, a pour principal axe de développement la Caraïbe.
Et parmi ses nouvelles destinations, l’île de Sainte-Lucie, pour laquelle elle ouvre en novembre 2016, un long-courrier.
Une suite logique au lancement, à la même période, de vols vers Fort-de-France (Martinique), à 10 minutes en avion au nord de Sainte-Lucie.
Elle les a accueillis dans les locaux d’Aviareps France, qui représente Condor sur le marché français pour les ventes et le marketing.
L’objectif de cette matinée était de leur offrir un point (in)formation sur Sainte-Lucie.
La compagnie Condor (100% groupe Thomas Cook), qui fête ses 60 ans de vol cette année, a pour principal axe de développement la Caraïbe.
Et parmi ses nouvelles destinations, l’île de Sainte-Lucie, pour laquelle elle ouvre en novembre 2016, un long-courrier.
Une suite logique au lancement, à la même période, de vols vers Fort-de-France (Martinique), à 10 minutes en avion au nord de Sainte-Lucie.
Une rotation hebdomadaire Francfort - Sainte Lucie
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La rotation pour Sainte-Lucie s’effectuera tous les mardis, de novembre à avril, au départ de l’aéroport de Francfort, à bord d’un Boeing 767.
« Condor dispose d'accords de pré/post acheminements avec Lufthansa qui permet aux agences de voyage de proposer ses vols au départ de Paris CDG, Strasbourg, Lyon, Nice, Marseille et Toulouse », a rappelé Christelle Boutec.
« Il faut compter une heure seulement pour le transfert aller à Francfort, à peine plus au retour pour anticiper le passage douanier d’entrée dans la zone Euro ».
Les prix d'appels Paris-UVF* débuteront à partir de 691 euros en classe économie (promotion à 632 euros jusqu’au 30/09/16), 1 279 euros en premium (1 162 euros jusqu’au 30/09) et 2 620 euros en classe affaires (2 383 euros jusqu’au 30/09).
« Tous nos 767 ont été rénovés et accueillent sur les 245 ou 259 sièges, 18 ou 30 sièges affaires, franchise de sport incluse, ce qui est un plus pour les amateurs de voile et de glisse par exemple, et 35 sièges en économie premium incluant 25 kg de bagages », a énoncé, entre autres détails, Christelle Boutec.
Quant aux réservations, les agences sont invitées à contacter le service par téléphone + 33 (0)1 53 43 53 92 ou par mail via l’adresse : GroupsDE.France@aviareps.com.
*UVF =Vieux-Fort, l’aéroport international d’Hewanorra, au Sud de l’île Sainte-Lucie.
« Condor dispose d'accords de pré/post acheminements avec Lufthansa qui permet aux agences de voyage de proposer ses vols au départ de Paris CDG, Strasbourg, Lyon, Nice, Marseille et Toulouse », a rappelé Christelle Boutec.
« Il faut compter une heure seulement pour le transfert aller à Francfort, à peine plus au retour pour anticiper le passage douanier d’entrée dans la zone Euro ».
Les prix d'appels Paris-UVF* débuteront à partir de 691 euros en classe économie (promotion à 632 euros jusqu’au 30/09/16), 1 279 euros en premium (1 162 euros jusqu’au 30/09) et 2 620 euros en classe affaires (2 383 euros jusqu’au 30/09).
« Tous nos 767 ont été rénovés et accueillent sur les 245 ou 259 sièges, 18 ou 30 sièges affaires, franchise de sport incluse, ce qui est un plus pour les amateurs de voile et de glisse par exemple, et 35 sièges en économie premium incluant 25 kg de bagages », a énoncé, entre autres détails, Christelle Boutec.
Quant aux réservations, les agences sont invitées à contacter le service par téléphone + 33 (0)1 53 43 53 92 ou par mail via l’adresse : GroupsDE.France@aviareps.com.
*UVF =Vieux-Fort, l’aéroport international d’Hewanorra, au Sud de l’île Sainte-Lucie.
Sainte-Lucie, une île méconnue qui a de quoi accueillir
Sur la destination elle-même, c’est Isabelle Coornaert, représentante de l’office de tourisme de Sainte-Lucie à Paris, qui a mené la présentation, tambour battant, illustrant ses arguments par des anecdotes tirées de ses propres séjours depuis 20 ans sur l’île.
Une expérience qui lui a permis de faire éditer très récemment une brochure touristique aux allures de guide de voyage sur Sainte-Lucie.
« Cela manquait cruellement pour les clients, comme pour les agences, depuis que Lonely Planet ne réédite plus sur Sainte-Lucie », explique-t-elle. A noter que Gallimard devrait en sortir un bientôt.
Et c’est tant mieux, car dotée de nombreux atouts pour y passer un séjour de vacances, Sainte-Lucie souffre d’être moins connue que ses voisines, Martinique et Guadeloupe.
De nombreux hôtels jalonnent l’île. La capacité d’accueil est importante et très diverse. Et ce n’est pas fini : 700 nouvelles chambres sont attendues en 2017.
Au Nord, on trouve davantage de grands ensembles, jusqu’à plusieurs centaines de chambres, tels The Body Holiday, Bay Gardens Beach Resort& Spa, Saint James Club ou encore les hôtels de la chaîne Sandals. Ces hôtels satisfont aussi bien les vacanciers festifs que les familles avec enfants, proposant boutiques, nombreux restaurants, centres de fitness, kids clubs et activités diverses et variées.
« Pour le charme de Sainte-Lucie au naturel, c’est plus au Sud que cela se passe », confie Isabelle Coornaert. Architecture bois, établissements à ciel ouvert pour certains, emplacement au cœur des pitons du volcan, chambres en bungalows ou villas…
La partie Sud de l’île est un écrin de nature qui accueille, par exemple, Le Ladera, boutique-hôtel de charme avec piscine dans chaque chambre, Le Sugar Beach et son Spa dans les arbres, Le Fond Doux avec ses bungalows cottages dans une plantation de cacao, ou encore le Ti KayeResort& Spa et ses varangues couvertes (terrasses) avec hamac.
Une expérience qui lui a permis de faire éditer très récemment une brochure touristique aux allures de guide de voyage sur Sainte-Lucie.
« Cela manquait cruellement pour les clients, comme pour les agences, depuis que Lonely Planet ne réédite plus sur Sainte-Lucie », explique-t-elle. A noter que Gallimard devrait en sortir un bientôt.
Et c’est tant mieux, car dotée de nombreux atouts pour y passer un séjour de vacances, Sainte-Lucie souffre d’être moins connue que ses voisines, Martinique et Guadeloupe.
De nombreux hôtels jalonnent l’île. La capacité d’accueil est importante et très diverse. Et ce n’est pas fini : 700 nouvelles chambres sont attendues en 2017.
Au Nord, on trouve davantage de grands ensembles, jusqu’à plusieurs centaines de chambres, tels The Body Holiday, Bay Gardens Beach Resort& Spa, Saint James Club ou encore les hôtels de la chaîne Sandals. Ces hôtels satisfont aussi bien les vacanciers festifs que les familles avec enfants, proposant boutiques, nombreux restaurants, centres de fitness, kids clubs et activités diverses et variées.
« Pour le charme de Sainte-Lucie au naturel, c’est plus au Sud que cela se passe », confie Isabelle Coornaert. Architecture bois, établissements à ciel ouvert pour certains, emplacement au cœur des pitons du volcan, chambres en bungalows ou villas…
La partie Sud de l’île est un écrin de nature qui accueille, par exemple, Le Ladera, boutique-hôtel de charme avec piscine dans chaque chambre, Le Sugar Beach et son Spa dans les arbres, Le Fond Doux avec ses bungalows cottages dans une plantation de cacao, ou encore le Ti KayeResort& Spa et ses varangues couvertes (terrasses) avec hamac.
Un patrimoine géographique et culturel exceptionnel
Dans les locaux d’Aviareps France sur les Champs-Élysées à Paris, les agences de voyages étaient conviées, mardi 6 septembre, à une matinée de formation sur la destination Sainte-Lucie. Étaient représentées : Succès Voyage, The Place to Trip, Mariner et Suntrade - DR : H.L.
Cette île volcanique regorge d’atouts, d’ordre « pratique » d’abord.
A 1 h de bateau et 10 minutes en avion de la Martinique, elle se situe au Nord des Grenadines et compte deux aéroports. Pas besoin de passeport pour se rendre à Sainte-Lucie, la carte d’identité suffit pour les ressortissants français.
Lesquels sont très bien accueillis sur l’île, qui bien qu’anglophone est très francophile. Les euros y sont d’ailleurs acceptés sans problème, et les déplacements sont facilités par les noms des rues, toutes en français.
Évoquer Sainte-Lucie sans parler de ses paysages est impossible. Entre mer et montagne, sa végétation et sa faune sont très variées, avec des espèces endémiques vues nulle part ailleurs. Les pitons du volcan font partie du patrimoine mondial de l’Unesco.
Randonnées, trekking, accrobranches, bains de boue soufrée,etc., les vacanciers ont de quoi satisfaire leurs envies d’aventure comme de repos le plus complet. Et leurs papilles !
La gastronomie y est très saine, bio, entre cuisine française et créole. Sans oublier les plantations de cacao qui appellent à la dégustation.
L’île dispose de grandes plages de sable blanc au Nord, de criques plus vertes, sauvages et escarpées propices à plus de solitude au Sud, tandis qu’à l’Est la côte balayée par les vents de l’Atlantique ravira les amateurs de sports de voiles.
Les passionnés de plongée y trouvent aussi leur compte avec la proximité immédiate d’un fond-marin exceptionnel avec la faille volcanique.
A noter que Sainte-Lucie accueille un festival de jazz (mondialement connu) et le salon international du mariage qui s’y tient en tant que destination phare des lunes de miel.
Cependant, s’il est une festivité spécifique à Sainte-Lucie, à faire au moins une fois lors d’un séjour sur place, c’est la « fête du vendredi soir », dans les rues, avec la population locale.
Et pour en découvrir encore plus, tout ce qu’il y a à savoir sur Sainte-Lucie, et que les agences présentes le 6 septembre ont pu découvrir, se retrouve ici.
A 1 h de bateau et 10 minutes en avion de la Martinique, elle se situe au Nord des Grenadines et compte deux aéroports. Pas besoin de passeport pour se rendre à Sainte-Lucie, la carte d’identité suffit pour les ressortissants français.
Lesquels sont très bien accueillis sur l’île, qui bien qu’anglophone est très francophile. Les euros y sont d’ailleurs acceptés sans problème, et les déplacements sont facilités par les noms des rues, toutes en français.
Évoquer Sainte-Lucie sans parler de ses paysages est impossible. Entre mer et montagne, sa végétation et sa faune sont très variées, avec des espèces endémiques vues nulle part ailleurs. Les pitons du volcan font partie du patrimoine mondial de l’Unesco.
Randonnées, trekking, accrobranches, bains de boue soufrée,etc., les vacanciers ont de quoi satisfaire leurs envies d’aventure comme de repos le plus complet. Et leurs papilles !
La gastronomie y est très saine, bio, entre cuisine française et créole. Sans oublier les plantations de cacao qui appellent à la dégustation.
L’île dispose de grandes plages de sable blanc au Nord, de criques plus vertes, sauvages et escarpées propices à plus de solitude au Sud, tandis qu’à l’Est la côte balayée par les vents de l’Atlantique ravira les amateurs de sports de voiles.
Les passionnés de plongée y trouvent aussi leur compte avec la proximité immédiate d’un fond-marin exceptionnel avec la faille volcanique.
A noter que Sainte-Lucie accueille un festival de jazz (mondialement connu) et le salon international du mariage qui s’y tient en tant que destination phare des lunes de miel.
Cependant, s’il est une festivité spécifique à Sainte-Lucie, à faire au moins une fois lors d’un séjour sur place, c’est la « fête du vendredi soir », dans les rues, avec la population locale.
Et pour en découvrir encore plus, tout ce qu’il y a à savoir sur Sainte-Lucie, et que les agences présentes le 6 septembre ont pu découvrir, se retrouve ici.
Contact office de tourisme de Sainte-Lucie à Paris
Isabelle Coornaert
76, rue d’Alleray 75015 Paris
Tél. : 01 45 32 02 54
Email : info@stluciafr.org
Isabelle Coornaert
76, rue d’Alleray 75015 Paris
Tél. : 01 45 32 02 54
Email : info@stluciafr.org