« L’administration souffle le chaud et le froid sur les négociations » déclare Michael Breton, Secrétaire Général de l’UNSA-ICNA, syndicat des contrôleurs.
« Alors qu’après un début d’année houleux et plusieurs jours de grève, la plupart des syndicats avaient décidé de reprendre les discussions, la direction remet sur la table, encore et encore, l’objet de la discorde ».
Dans son communiqué, le syndicat rappelle que "la DGAC s’entête ainsi à vouloir inscrire dans le protocole l’objectif de fusion des prestataires de contrôle aérien des 7 pays de la zone FABEC (France, Allemagne, Suisse et Bénélux), synonyme de sortie de la Fonction Publique du contrôle aérien français.
« Ce projet n’est soutenu que par une minorité des personnels, qui y voient l’opportunité de revalorisations salariales, car nos voisins européens sont mieux payés, mais sans avoir conscience des risques sur les conditions de travail et le niveau d’expertise du système » constate amèrement M. Breton, « et comme le gouvernement cherche un prétexte pour se débarrasser des contrôleurs aériens, le voilà tout trouvé ! ».
« Nous nous revoyons le 9 juillet, mais si sous prétexte de dialogue social, il s’agit d’approuver des décisions déjà prises et qu’en fait, rien n’est discutable, quelles autres solutions nous restera-t-il ? » conclue le Secrétaire Général de l’UNSA-ICNA.
« Alors qu’après un début d’année houleux et plusieurs jours de grève, la plupart des syndicats avaient décidé de reprendre les discussions, la direction remet sur la table, encore et encore, l’objet de la discorde ».
Dans son communiqué, le syndicat rappelle que "la DGAC s’entête ainsi à vouloir inscrire dans le protocole l’objectif de fusion des prestataires de contrôle aérien des 7 pays de la zone FABEC (France, Allemagne, Suisse et Bénélux), synonyme de sortie de la Fonction Publique du contrôle aérien français.
« Ce projet n’est soutenu que par une minorité des personnels, qui y voient l’opportunité de revalorisations salariales, car nos voisins européens sont mieux payés, mais sans avoir conscience des risques sur les conditions de travail et le niveau d’expertise du système » constate amèrement M. Breton, « et comme le gouvernement cherche un prétexte pour se débarrasser des contrôleurs aériens, le voilà tout trouvé ! ».
« Nous nous revoyons le 9 juillet, mais si sous prétexte de dialogue social, il s’agit d’approuver des décisions déjà prises et qu’en fait, rien n’est discutable, quelles autres solutions nous restera-t-il ? » conclue le Secrétaire Général de l’UNSA-ICNA.