Grâce aux ailes d’Air Caraïbes, les quelque 160 Cédiviens participant à ce 13e congrès de leur réseau, accompagnés de gentils fournisseurs « partenaires » ont été reçus à Varadero, au Paradisius, un complexe tout neuf en bord de mer, nouvelle « résidence » de Fram pour ses clients.
Sous la chaleur quasi tropicale, malgré une mer d’un bleu qui ne demande qu’à être embrassé, les journées sont denses et studieuses.
Pierre Amalou, historique « architecte » de ces rencontres manquait à l’appel. Ce qui ne l’aura pas empêché de se tenir quasi « en direct » des travaux de la Convention.
C’est Laurent Maucort, éphémère directeur général de Selectour qui lui succède, car on ne remplace pas Amalou.
Que ce dernier se rassure, Laurent Maucort a été brillant… et drôle, ce qui ne gâche rien.
Sous la chaleur quasi tropicale, malgré une mer d’un bleu qui ne demande qu’à être embrassé, les journées sont denses et studieuses.
Pierre Amalou, historique « architecte » de ces rencontres manquait à l’appel. Ce qui ne l’aura pas empêché de se tenir quasi « en direct » des travaux de la Convention.
C’est Laurent Maucort, éphémère directeur général de Selectour qui lui succède, car on ne remplace pas Amalou.
Que ce dernier se rassure, Laurent Maucort a été brillant… et drôle, ce qui ne gâche rien.
Il faut arrêter de parler de changement. Il faut le faire !
Brillants également les intervenants qui ont tenté (avec succès, semble-t-il) d’éclairer et de guider les participants sur le thème "A la recherche du client perdu".
Un thème un peu récurrent diront certains, mais qui garde néanmoins toute son actualité, particulièrement en ces moments où le monde semble basculer vers un grand désordre.
Laurent Maucort, en ouverture de séance, aura cette phrase particulièrement importante en s’adressant à la salle : "Vous n’êtes pas les seuls : l’ensemble des métiers du commerce se posent la question de savoir où sont passés leurs clients.
Il faut arrêter de parler de changement. Il faut le faire !
Nous sommes dans un mouvement perpétuel, et il est toujours temps de prendre le train… en marche".
Guillaume Antonietti, grand marketeux s’il en est, bouscule d’entrée les vieilles habitudes et donne le ton des débats en présentant les nouvelles règles du « JE » à appliquer aux clients.
Ceci tout en essayant de sensibiliser la salle sur le basculement extraordinaire des comportements depuis 15 ans.
Le « gras » des débats aura lieu le lendemain, après une journée dans la verdure de l’île, la découverte de ces ingrédients qui font de Cuba une destination particulière : rhum, cigares, musique, sourire, gentillesse et café, histoire de prolonger fort tard des soirées animées.
Les intervenants du lendemain, à l’instar de Laurent Maucort (lequel les avait recrutés pour l’occasion), ont retenu l’attention et provoqué un silence étourdissant dans cette salle de Congrès du Paradisius.
Sébastien Vernet, jeune architecte créatif qui avoue n’être jamais rentré dans une agence de voyages, présente sa conception de "la nouvelle agence de voyage" qui doit être un lieu "multiple".
Un thème un peu récurrent diront certains, mais qui garde néanmoins toute son actualité, particulièrement en ces moments où le monde semble basculer vers un grand désordre.
Laurent Maucort, en ouverture de séance, aura cette phrase particulièrement importante en s’adressant à la salle : "Vous n’êtes pas les seuls : l’ensemble des métiers du commerce se posent la question de savoir où sont passés leurs clients.
Il faut arrêter de parler de changement. Il faut le faire !
Nous sommes dans un mouvement perpétuel, et il est toujours temps de prendre le train… en marche".
Guillaume Antonietti, grand marketeux s’il en est, bouscule d’entrée les vieilles habitudes et donne le ton des débats en présentant les nouvelles règles du « JE » à appliquer aux clients.
Ceci tout en essayant de sensibiliser la salle sur le basculement extraordinaire des comportements depuis 15 ans.
Le « gras » des débats aura lieu le lendemain, après une journée dans la verdure de l’île, la découverte de ces ingrédients qui font de Cuba une destination particulière : rhum, cigares, musique, sourire, gentillesse et café, histoire de prolonger fort tard des soirées animées.
Les intervenants du lendemain, à l’instar de Laurent Maucort (lequel les avait recrutés pour l’occasion), ont retenu l’attention et provoqué un silence étourdissant dans cette salle de Congrès du Paradisius.
Sébastien Vernet, jeune architecte créatif qui avoue n’être jamais rentré dans une agence de voyages, présente sa conception de "la nouvelle agence de voyage" qui doit être un lieu "multiple".
Tourisme durable : le Cediv, 1er réseau labellisé ATR
Pour lui "l’agence de demain, c’est aujourd’hui". Et un client "surpris", c’est un client qui "aura des souvenirs" et reviendra dans ce lieu.
Les professionnels du tourisme débattront longuement autour d’une table ronde plutôt longitudinale sur le sujet du "bon produit pour le bon client au bon moment".
Vaste sujet qui permettra cependant de dégager quelques pistes sur la personnalisation, le prix, la promo et bien d’autres choses encore… et notamment, grâce à la participation de Jérôme Beilin, l’importance de participer à l’élaboration d’un "tourisme responsable", particulièrement en cette année 2017, année du Tourisme Responsable.
A cette occasion, Adriana Minchella annoncera que le Cediv devient le premier réseau de distribution à être labellisé ATR.
Remarquable intervention de Caroline Guillotin, spécialiste des Ressources Humaines : "Préoccupez-vous de vos salariés, le reste suivra", annonce-t-elle en souriant à tous les participants, dirigeants de leurs entreprises.
Un grand moment d’intense qualité durant lequel ces patrons prendront conscience (ou pas) de l’intérêt de connaitre leurs salariés collaborateurs, comprendre les changements sociaux et surtout les motiver, les aimer, et les faire participer activement au bien-être de leur entreprise.
Véronique Georget aura, enfin, la lourde tâche de démystifier la relation client à travers les réseaux sociaux, incroyable vecteur de communication et de fidélisation.
Comme d’habitude, les participants auront à cœur de "régurgiter" toutes ces informations et d’en dégager certaines idées à mettre en pratique dès demain…
Encore une fois, et c’est assez fabuleux, chaque atelier brillera par sa participation et sa réflexion.
Avec un regret cependant, fort bien traduit par mon camarade un peu secoué, que "les habitudes vieilles de décennies sont parfois difficiles à perdre".
Mais comme le dit fort justement Adriana Minchella, "puisque nous sommes à Cuba, faisons la « Revolucion » et mettons à bas la pensée unique qui veut que, pour apprendre il soit nécessaire de s’ennuyer !"
Les professionnels du tourisme débattront longuement autour d’une table ronde plutôt longitudinale sur le sujet du "bon produit pour le bon client au bon moment".
Vaste sujet qui permettra cependant de dégager quelques pistes sur la personnalisation, le prix, la promo et bien d’autres choses encore… et notamment, grâce à la participation de Jérôme Beilin, l’importance de participer à l’élaboration d’un "tourisme responsable", particulièrement en cette année 2017, année du Tourisme Responsable.
A cette occasion, Adriana Minchella annoncera que le Cediv devient le premier réseau de distribution à être labellisé ATR.
Remarquable intervention de Caroline Guillotin, spécialiste des Ressources Humaines : "Préoccupez-vous de vos salariés, le reste suivra", annonce-t-elle en souriant à tous les participants, dirigeants de leurs entreprises.
Un grand moment d’intense qualité durant lequel ces patrons prendront conscience (ou pas) de l’intérêt de connaitre leurs salariés collaborateurs, comprendre les changements sociaux et surtout les motiver, les aimer, et les faire participer activement au bien-être de leur entreprise.
Véronique Georget aura, enfin, la lourde tâche de démystifier la relation client à travers les réseaux sociaux, incroyable vecteur de communication et de fidélisation.
Comme d’habitude, les participants auront à cœur de "régurgiter" toutes ces informations et d’en dégager certaines idées à mettre en pratique dès demain…
Encore une fois, et c’est assez fabuleux, chaque atelier brillera par sa participation et sa réflexion.
Avec un regret cependant, fort bien traduit par mon camarade un peu secoué, que "les habitudes vieilles de décennies sont parfois difficiles à perdre".
Mais comme le dit fort justement Adriana Minchella, "puisque nous sommes à Cuba, faisons la « Revolucion » et mettons à bas la pensée unique qui veut que, pour apprendre il soit nécessaire de s’ennuyer !"