Si la fréquentation estivale a été satisfaisante en 2013 sur la Côte d'Azur, notamment de la part de la clientèle étrangère (surtout scandinave grâce à la multiplication des compagnies low cost), la tendance marque toutefois un fort repli des dépenses, notamment dans le secteur de la restauration.
La tendance est confirmée par le trafic aérien qui marque une progression de 3 à 4% (3,44% en juillet et un taux équivalent est attendu pour août).
Selon l’office de tourisme de Nice, la hausse de la clientèle scandinave serait de 15% en mai et juin, grâce à une offre aérienne renforcée par les compagnies aériennes low cost scandinaves.
La présence des Russes est également positive, toujours grâce à la multiplication des liaisons aériennes entre Nice et les villes de l’Est.
Le seul point négatif (mais ce n’est pas une surprise) concerne la clientèle italienne, très présente jusqu’ici sur la Côte d’Azur, mais aujourd’hui fortement pénalisée par la crise.
Selon les hôteliers, le taux d’occupation en août reste toutefois honorable (85% en moyenne).
La tendance est confirmée par le trafic aérien qui marque une progression de 3 à 4% (3,44% en juillet et un taux équivalent est attendu pour août).
Selon l’office de tourisme de Nice, la hausse de la clientèle scandinave serait de 15% en mai et juin, grâce à une offre aérienne renforcée par les compagnies aériennes low cost scandinaves.
La présence des Russes est également positive, toujours grâce à la multiplication des liaisons aériennes entre Nice et les villes de l’Est.
Le seul point négatif (mais ce n’est pas une surprise) concerne la clientèle italienne, très présente jusqu’ici sur la Côte d’Azur, mais aujourd’hui fortement pénalisée par la crise.
Selon les hôteliers, le taux d’occupation en août reste toutefois honorable (85% en moyenne).
L'événementiel reste à développer
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Reste un élément sur lequel les collectivités devront se pencher à l’avenir : l’événementiel. Si juillet concentre un maximum de festivals, août est pauvre en la matière.
Selon Michel Tschann, président du syndicat des hôteliers de Nice, la Côte en dehors du festival de Menton, propose peu d'événements attractifs, alors qu’en juillet la multiplication des manifestations et festivals aurait plutôt tendance à devenir contre-productive en termes d’attractivité.
La montagne pose également problème. Les Alpes Maritimes ont pourtant cette chance d’offrir un littoral à quelques encablures d’un massif alpin et de sommets culminant à plus de 3 000 mètres à seulement une heure tout au plus par la route de la Promenade des Anglais. C’est un peu la Suisse à portée de plages.
Toutefois cette montagne conserve un accès difficile pour l’accueil en raison d’un manque d'hébergements et aussi une promotion défaillante.
Selon Michel Tschann, président du syndicat des hôteliers de Nice, la Côte en dehors du festival de Menton, propose peu d'événements attractifs, alors qu’en juillet la multiplication des manifestations et festivals aurait plutôt tendance à devenir contre-productive en termes d’attractivité.
La montagne pose également problème. Les Alpes Maritimes ont pourtant cette chance d’offrir un littoral à quelques encablures d’un massif alpin et de sommets culminant à plus de 3 000 mètres à seulement une heure tout au plus par la route de la Promenade des Anglais. C’est un peu la Suisse à portée de plages.
Toutefois cette montagne conserve un accès difficile pour l’accueil en raison d’un manque d'hébergements et aussi une promotion défaillante.
Vols dans les grands palaces : un élément négatif en terme d’image
Enfin si la fréquentation reste élevée, il n’en va pas de même pour les dépenses, notamment dans la restauration.
Les touristes font de plus en plus l’impasse sur les repas pris à l'extérieur notamment à midi. Crise oblige… C’est une tendance qui ne cesse de se confirmer au fil des ans.
Les restaurateurs doivent donc adapter leur offre avec, pour midi, des menus allégés associés à une ouverture horaire plus large (les touristes veulent manger au délai de 14 h). Une remise en cause importante.
L’été 2013 aura été marqué sur la Côte d’Azur par les vols dans les grands palaces.
Si Marseille vit à l’heure des règlements de comptes, sur la Côte d’Azur l’actualité estivale s’est concentrée sur les vols dans les grands palaces. Certes, cela est moins pénalisant pour l’image mais quand même.
Cannes peut revendiquer une des séries, dont le sommet a été atteint avec le vol record du Carlton le 28 juillet (103 millions d'euros de bijoux emportés par un bandit solitaire).
Les reportages véhiculent une image de la Côte d'Azur comme haut lieu du luxe international et terre de toutes les tentations.
Une image peut-être pas aussi négative que celle véhiculée par les meurtres liés au trafic de drogue à Marseille.
Les touristes font de plus en plus l’impasse sur les repas pris à l'extérieur notamment à midi. Crise oblige… C’est une tendance qui ne cesse de se confirmer au fil des ans.
Les restaurateurs doivent donc adapter leur offre avec, pour midi, des menus allégés associés à une ouverture horaire plus large (les touristes veulent manger au délai de 14 h). Une remise en cause importante.
L’été 2013 aura été marqué sur la Côte d’Azur par les vols dans les grands palaces.
Si Marseille vit à l’heure des règlements de comptes, sur la Côte d’Azur l’actualité estivale s’est concentrée sur les vols dans les grands palaces. Certes, cela est moins pénalisant pour l’image mais quand même.
Cannes peut revendiquer une des séries, dont le sommet a été atteint avec le vol record du Carlton le 28 juillet (103 millions d'euros de bijoux emportés par un bandit solitaire).
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Une image peut-être pas aussi négative que celle véhiculée par les meurtres liés au trafic de drogue à Marseille.
![Futuroscopie - Crise de la presse, crise du réel, fatigue informationnelle [ABO]](https://www.tourmag.com/photo/art/large_16_9/85025254-60665965.jpg?v=1734537945 "Futuroscopie - Crise de la presse, crise du réel, fatigue informationnelle [ABO]")
