Vous pouvez acheter cet article à l'unité pour le prix de 3,99 € en cliquant ICI ou vous abonner pour 83€ TTC par an.
Les Américains adorent. Européens et Français sont séduits. Comment ne pas les comprendre ?
Le cinq étoiles installé à Nice, dans l'ancien Couvent de la Visitation, est un étonnant mélange d'authenticité et de confort très actuel.
Après une période de "solft opening", l'Hôtel du Couvent - c'est désormais son nom - est officiellement ouvert depuis le 20 juin 2024.
Il n'a pas été simple d'en arriver là. Certes, cela fait longtemps - c'était en 1984 - que la municipalité de Nice a racheté ces bâtiments du tout début du XVIIe siècle, classés monuments historiques, et longtemps occupés par les sœurs de l'ordre monastique des Clarisses d'abord, puis des Visitandines.
Cela fait près de dix ans aussi que la ville a accepté qu'ils accueillent un établissement hôtelier.
Cependant, avant de toucher au but, Valéry Grego, fondateur de la société Perseus, spécialisée dans la création d'hôtels synonymes de luxe et de modernité, a eu du fil à retordre.
Hôtel du Couvent : sept ans de démarches, de recours et de travaux

Depuis les restanques, une vue imprenable sur les toits du Vieux-Nice (© Giulio Ghiardi/ Hôtel du Couvent)

Ensuite, il a fallu affronter sept années de démarches administratives et de recours juridiques : les riverains étaient inquiets qu'une circulation intense vienne troubler leur quiétude et hostiles à la construction de deux nouveaux bâtiments, l'un dédié aux thermes, l'autre à des chambres supplémentaires, car ils signaient la disparition d'un terrain de sports.
La pandémie de Coronavirus a également retardé cette rénovation XXL.
Un semestre après l'ouverture, le succès est cependant au rendez-vous pour l'établissement dirigé par Myriam Kournaf Lambert. L'intégration de l'Hôtel du Couvent dans "The Luxury Collection" de Marriott - le premier groupe hôtelier international basé aux Etats-Unis - a aussitôt attiré une clientèle internationale de loisirs.
Pour commencer, des Américains en quête d'authenticité. A leurs yeux, l'Hôtel du Couvent symbolise le village provençal tel qu'ils l'imaginent, avec ses orangers, ses restanques, ses toits de tuiles, sa vue sur la mer !
Les Européens -bdont les Françaisb- ont suivi, bientôt imités par des Asiatiques.
L'hiver venant, la clientèle d'affaires s'est aussi faite plus présente.
Dès l'arrivée, des gages d'authenticité

Les restanques, un lieu secret où se reposer, se restaurer, se promencer sur des petits sentiers (© Giulio Ghiardi/Hôtel du Couvent)
C'est tout de même une singulière entreprise pour les clients que de "s'aventurer" jusqu'à l'Hôtel du Couvent. Il est juché sur une pente, dans le Vieux-Nice, juste en dessous du parc du château qui domine la capitale azuréenne.
L'hiver et le matin, les taxis acceptent de grimper dans les ruelles jusqu'à l'entrée. Ce n'est pas le cas à la belle saison.
Pour autant, il n'est alors pas nécessaire de s'offrir une grimpette pédestre jusqu'à la rue Rossetti où se tient l'entrée principale. En effet, des voiturettes électriques viennent récupérer les clients à l'entrée du quartier, au numéro 2 de la rue Centrale.
Lire aussi : L'Office de tourisme de Nice crée un club Luxury Collection
Après le lourd portail en bois digne de l'ancien monastère, un long passage dessert, à droite, la bagagerie. A gauche se tient la réception et une pâtisserie où sont préparées les madeleines au citron offertes, encore chaudes, à chaque client, dès son arrivée.
En prime est proposée une boisson qui sonne comme un gage d'authenticité. Pour notre part, nous avons opté pour "l'infusion froide du Couvent". Un breuvage délicieux au goût de pomme, d'anis, de réglise, de menthe douce et d'hibiscus. D'entrée, on saisit ainsi l'esprit dans lequel se déroulera son séjour.
L'hiver et le matin, les taxis acceptent de grimper dans les ruelles jusqu'à l'entrée. Ce n'est pas le cas à la belle saison.
Pour autant, il n'est alors pas nécessaire de s'offrir une grimpette pédestre jusqu'à la rue Rossetti où se tient l'entrée principale. En effet, des voiturettes électriques viennent récupérer les clients à l'entrée du quartier, au numéro 2 de la rue Centrale.
Lire aussi : L'Office de tourisme de Nice crée un club Luxury Collection
Après le lourd portail en bois digne de l'ancien monastère, un long passage dessert, à droite, la bagagerie. A gauche se tient la réception et une pâtisserie où sont préparées les madeleines au citron offertes, encore chaudes, à chaque client, dès son arrivée.
En prime est proposée une boisson qui sonne comme un gage d'authenticité. Pour notre part, nous avons opté pour "l'infusion froide du Couvent". Un breuvage délicieux au goût de pomme, d'anis, de réglise, de menthe douce et d'hibiscus. D'entrée, on saisit ainsi l'esprit dans lequel se déroulera son séjour.
La "Cour des orangers" fait mentir le temps qui passe
Difficile de s'arracher au bonheur procuré par cette madeleine et cette infusion. Il le faut pourtant.
Bientôt, le client est invité à traverser la Cour des orangers. Cette cour ne manquait pas d'allure sous la pluie du jour de notre visite, mais son charme doit être décuplé par grand beau temps.
De fait, cette cour pavée et plantée d'orangers d'allure séculaire ont un charme suranné. Douce illusion !
Les dalles de pierre ont été installées récemment au sol, jusque-là en terre battue. Et une grue a alors été mobilisée pour le transport et la plantation des orangers.
Cette première cour se prolonge d'une deuxième, dénommée le cloître, au pied du bâtiment principal en forme de U. Au rez-de-chaussée s'étire une grande galerie à arcades. Dans les étages, des persiennes à lames avec portissol à la niçoise filtrent la lumière.
Bientôt, le client est invité à traverser la Cour des orangers. Cette cour ne manquait pas d'allure sous la pluie du jour de notre visite, mais son charme doit être décuplé par grand beau temps.
De fait, cette cour pavée et plantée d'orangers d'allure séculaire ont un charme suranné. Douce illusion !
Les dalles de pierre ont été installées récemment au sol, jusque-là en terre battue. Et une grue a alors été mobilisée pour le transport et la plantation des orangers.
Cette première cour se prolonge d'une deuxième, dénommée le cloître, au pied du bâtiment principal en forme de U. Au rez-de-chaussée s'étire une grande galerie à arcades. Dans les étages, des persiennes à lames avec portissol à la niçoise filtrent la lumière.
Le style originel du Couvent a été respecté
L'établissement, rénové et isolé avec des matériaux écologiques, compte 88 chambres dont 16 suites, conçues pour s'adapter aux besoins de chacun.
Cinq de ces suites sont pourvues d'une cuisine. Et la plus grande d'entre elles - 175 m2 - communique avec celle d'à côté pour former, si besoin, un appartement de 350 m2.
Ces chambres ont, pour grande partie, été aménagées dans le bâtiment qui était, jadis, le cœur du couvent. On y accède en empruntant un long couloir carrelé de tomettes dont la couleur se marie avec l'ocre des murs.
Avant même de pénétrer dans sa chambre, on apprécie mille détails qui disent le souci des architectes de respecter et mettre en valeur le style original du couvent.
Il en va de même dans les chambres : les murs sont teintés d'un beige élégant, les fenêtres encadrées de rideaux légers, le mobilier sobre, les fauteuils drapés d'un beige assorti à celui des couvre-lit, les éclairages discrets.
Enfin, dans les couloirs, dans les chambres comme partout d'ailleurs, les soubassements des murs sont teintés à la chaux, ici en vert olive, là en rose passé, et toujours surlignés d'une file de la même couleur. Cela paraît un détail ; pourtant, dans ce détail réside tout le style.
A l'heure où il devient courant d'installer des hôtels de luxe dans d'anciens bâtiments monastiques, l'Hôtel du Couvent incarne - avec bonheur - un luxe assez monacal quoique très raffiné.
Bien que visible de prime abord, tout ce que la technologie d'aujourd'hui apporte n'en est pas moins présent, depuis la serrure électronique pour ouvrir la porte de la chambre jusqu'au Wi-Fi.
D'ailleurs, il n'y a pas de télévision dans les chambres, sauf si le client en fait la demande expresse. En effet, l'hôtel du Couvent entend proposer de vivre une vraie expérience hors du temps. Une expérience de déconnexion !
Cinq de ces suites sont pourvues d'une cuisine. Et la plus grande d'entre elles - 175 m2 - communique avec celle d'à côté pour former, si besoin, un appartement de 350 m2.
Ces chambres ont, pour grande partie, été aménagées dans le bâtiment qui était, jadis, le cœur du couvent. On y accède en empruntant un long couloir carrelé de tomettes dont la couleur se marie avec l'ocre des murs.
Avant même de pénétrer dans sa chambre, on apprécie mille détails qui disent le souci des architectes de respecter et mettre en valeur le style original du couvent.
Il en va de même dans les chambres : les murs sont teintés d'un beige élégant, les fenêtres encadrées de rideaux légers, le mobilier sobre, les fauteuils drapés d'un beige assorti à celui des couvre-lit, les éclairages discrets.
Enfin, dans les couloirs, dans les chambres comme partout d'ailleurs, les soubassements des murs sont teintés à la chaux, ici en vert olive, là en rose passé, et toujours surlignés d'une file de la même couleur. Cela paraît un détail ; pourtant, dans ce détail réside tout le style.
A l'heure où il devient courant d'installer des hôtels de luxe dans d'anciens bâtiments monastiques, l'Hôtel du Couvent incarne - avec bonheur - un luxe assez monacal quoique très raffiné.
Bien que visible de prime abord, tout ce que la technologie d'aujourd'hui apporte n'en est pas moins présent, depuis la serrure électronique pour ouvrir la porte de la chambre jusqu'au Wi-Fi.
D'ailleurs, il n'y a pas de télévision dans les chambres, sauf si le client en fait la demande expresse. En effet, l'hôtel du Couvent entend proposer de vivre une vraie expérience hors du temps. Une expérience de déconnexion !
Des restanques qui dévisagent Nice
L'hôtel du Couvent, on l'aura compris, se mérite car il s'agrippe sur une pente.
Cette géographie est aussi un atout indéniable. Sur l'un des côtés de la cour des orangers débutent les restanques. Elles existaient déjà du temps des sœurs, mais elles ont largement été réorganisées en jardins sauvages joliment arborés.
Quelques beaux arbres s'y élançaient déjà. Des agrumes et d'autres arbres fruitiers y ont été ajoutés, là aussi avec l'aide d'une grue.
Dans les restanques les plus proches logent deux potagers, à l'emplacement de celui des sœurs. Dans le premier, des légumes et des fruits. Dans l'autre, des herbes aromatiques.
Sur ces restanques courent de petits sentiers ; plus haut, loge une piscine extérieure de 19 mètres de long. De là-haut, la vue est éblouissante sur le clapotis de toits du Vieux-Nice en contrebas, puis, sur le tumulte de la ville plus moderne, enfin, au loin, sur la chorégraphie des avions dans le ciel et la Méditerranée.
En se promenant sur ces restanques, on peine à se figurer les travaux pharaoniques réalisés pour qu'aujourd'hui l'on puisse déjeuner tranquillement l'été, par beau temps, à l'ombre de la ginguette, aménagée sur la deuxième restanque. Ou, tout simplement, déambuler tranquillement dans une belle végétation.
Cette géographie est aussi un atout indéniable. Sur l'un des côtés de la cour des orangers débutent les restanques. Elles existaient déjà du temps des sœurs, mais elles ont largement été réorganisées en jardins sauvages joliment arborés.
Quelques beaux arbres s'y élançaient déjà. Des agrumes et d'autres arbres fruitiers y ont été ajoutés, là aussi avec l'aide d'une grue.
Dans les restanques les plus proches logent deux potagers, à l'emplacement de celui des sœurs. Dans le premier, des légumes et des fruits. Dans l'autre, des herbes aromatiques.
Sur ces restanques courent de petits sentiers ; plus haut, loge une piscine extérieure de 19 mètres de long. De là-haut, la vue est éblouissante sur le clapotis de toits du Vieux-Nice en contrebas, puis, sur le tumulte de la ville plus moderne, enfin, au loin, sur la chorégraphie des avions dans le ciel et la Méditerranée.
En se promenant sur ces restanques, on peine à se figurer les travaux pharaoniques réalisés pour qu'aujourd'hui l'on puisse déjeuner tranquillement l'été, par beau temps, à l'ombre de la ginguette, aménagée sur la deuxième restanque. Ou, tout simplement, déambuler tranquillement dans une belle végétation.
Cuisine raffinée sans ostentation

Le Restaurant et le Bistrot des serruriers mettent en valeur les produits de saison d'un maraîcher du coin (©emmapittiferrandi/Hôtel du Couvent)
En dépit de la méfiance qu'il a pu susciter parmi ses riverains, l'Hôtel du Couvent se veut ouvert sur le Vieux Nice.
Les habitants ont accès à la boulangerie installée dans le cloître. Ils peuvent également fréquenter l'herboristerie du docteur Nô, la cave à vins, le bar, le Bistrot des Serruriers (ouvert sur la rue du même nom, il propose pour 40€ une formule entrée-plat-dessert dont les Américains raffolent) et, bien sûr, le restaurant principal.
Dénommé en toute simplicité Le Restaurant, celui-ci loge dans l'ancien réfectoire des sœurs et s'ouvre directement sur les cuisines. La salle intérieure peut servir 50-60 couverts. L'été, les tables disposées en terrasse accueillent jusqu'à 100 convives supplémentaires.
Tous les plats de l’Hôtel du Couvent sont pensés par le chef Thomas Vételé, attaché à mettre en valeur les produits de saison du maraîcher, Avit Ghibaudo.
Le jour où nous avons déjeuné au Restaurant, nous nous sommes donc régalée d'une soupe à la châtaigne, suivie d'un poisson du jour cuit juste à point et accompagné d'inattendues - mais succulentes - betteraves rouges en purée et en lamelles. Avec, une fois encore, un verre de Chardonnay.
Une cuisine à l'image de l'établissement : raffinée sans ostentation.
Les habitants ont accès à la boulangerie installée dans le cloître. Ils peuvent également fréquenter l'herboristerie du docteur Nô, la cave à vins, le bar, le Bistrot des Serruriers (ouvert sur la rue du même nom, il propose pour 40€ une formule entrée-plat-dessert dont les Américains raffolent) et, bien sûr, le restaurant principal.
Dénommé en toute simplicité Le Restaurant, celui-ci loge dans l'ancien réfectoire des sœurs et s'ouvre directement sur les cuisines. La salle intérieure peut servir 50-60 couverts. L'été, les tables disposées en terrasse accueillent jusqu'à 100 convives supplémentaires.
Tous les plats de l’Hôtel du Couvent sont pensés par le chef Thomas Vételé, attaché à mettre en valeur les produits de saison du maraîcher, Avit Ghibaudo.
Le jour où nous avons déjeuné au Restaurant, nous nous sommes donc régalée d'une soupe à la châtaigne, suivie d'un poisson du jour cuit juste à point et accompagné d'inattendues - mais succulentes - betteraves rouges en purée et en lamelles. Avec, une fois encore, un verre de Chardonnay.
Une cuisine à l'image de l'établissement : raffinée sans ostentation.
"Mens sana in corpore sano"

En haut des restanques, une piscine extérieure de 19 mètres de long (©Giulio Ghiardi/Hôtel du Couvent)
Cet établissement de 88 chambres qui, l'hiver, emploie 135 personnes et l'été 240 (un ratio digne d'un palace !) n'aurait pas tenu tout à fait ses promesses de déconnexion sans ses Thermes. Un vocable utilisé en écho aux vestiges des bains romains trouvés sur la colline de Cimiez, à Nice.
Logiquement, le parcours thermal s’inscrit dans la tradition antique du soin du corps et de l’esprit par l’eau, le mouvement et les salles de soin.
On fréquente donc ces thermes pour se détendre et suivre un parcours personnalisé d’échauffement progressif, puis de refroidissement en passant par une succession d’espaces (frigidarium, tepidarium, caldarium et natatio) fondés sur l'alternance des températures.
Aux Thermes du Couvent, l’eau est présente dans deux bassins principaux : un grand bassin de 19 mètres avec son ouverture zénithale et un petit bassin.
L'activité physique se pratique dans un espace dédié, incluant danse et barre au sol, entraînement fonctionnel intensif, méditation, gymnastique, yoga… Plusieurs cours exclusifs sont proposés chaque jour, de maximum 10 personnes.
Les clients de l'hôtel ont un accès 24h/24 à l'espace (hors cours collectif). Des accessoires (poids, cordes à sauter, ballons de Pilates, élastiques) sont mis à disposition.
Les Thermes du Couvent disposent de 4 salles de soins pour des massages sur-mesure à base d’huiles essentielles élaborées par l’herboristerie et des soins du visage personnalisés élaborés avec plusieurs marques naturelles soigneusement sélectionnées comme Monastery, De Mamiel, Lesse, Ranavat, Lilfox et Activist.
Logiquement, le parcours thermal s’inscrit dans la tradition antique du soin du corps et de l’esprit par l’eau, le mouvement et les salles de soin.
On fréquente donc ces thermes pour se détendre et suivre un parcours personnalisé d’échauffement progressif, puis de refroidissement en passant par une succession d’espaces (frigidarium, tepidarium, caldarium et natatio) fondés sur l'alternance des températures.
Aux Thermes du Couvent, l’eau est présente dans deux bassins principaux : un grand bassin de 19 mètres avec son ouverture zénithale et un petit bassin.
L'activité physique se pratique dans un espace dédié, incluant danse et barre au sol, entraînement fonctionnel intensif, méditation, gymnastique, yoga… Plusieurs cours exclusifs sont proposés chaque jour, de maximum 10 personnes.
Les clients de l'hôtel ont un accès 24h/24 à l'espace (hors cours collectif). Des accessoires (poids, cordes à sauter, ballons de Pilates, élastiques) sont mis à disposition.
Les Thermes du Couvent disposent de 4 salles de soins pour des massages sur-mesure à base d’huiles essentielles élaborées par l’herboristerie et des soins du visage personnalisés élaborés avec plusieurs marques naturelles soigneusement sélectionnées comme Monastery, De Mamiel, Lesse, Ranavat, Lilfox et Activist.
Un style et une offre originale qui en font un véritable lieu de vie

Parmi les activités proposées aux enfants, la confection des fameuses madeleines (©Hôtel du Couvent)
Autres articles
-
Villefranche-sur-Mer : la colère des commerçants face à la décision d’interdire des escales
-
L’Anantara Plaza Nice Hotel recrute pour l’été 2025
-
Ginto Hotels s’étend à Nice avec deux nouvelles acquisitions
-
easyHotel Nice achève sa rénovation à faible émission de carbone
-
Nice : j'ai testé pour vous Maison Albar - Le Victoria [ABO]
Evidemment aussi, l'Hôtel du Couvent ne serait non plus digne de ses cinq étoiles s'il ne s'était doté d'une conciergerie.
Outre les réservations en tous genres de transports et restaurants, les quatre concierges organisent - à la demande - des visites privées de Nice et (ou) de ses musées, en compagnie d'une guide à la culture imbattable.
Il n'est pas rare toutefois qu'une clientèle argentée et férue d'art et de culture veuille des découvertes en dehors de Nice. Celles, par exemple, des villages pittoresques des environs ou des vignobles. Ou souhaite s'adonner à la création de son propre parfum chez Molinard à Nice ou chez Galimard à Eze.
Lire aussi : Nice : "Notre Luxury Collection va renforcer notre attractivité sur les ailes de saison".
La conciergerie de l'Hôtel du Couvent propose aussi aux amateurs des cours de poterie, de calligraphie et d'estampillage. Des activités pour les enfants également. Elle compte d'ailleurs, à l'avenir, développer cette offre originale. A destination des clients, mais aussi, pourquoi pas ?, des riverains.
Un petit atelier au sous-sol de L'hôtel du Couvent peut accueillir ces leçons. C'est une autre manière de s'ouvrir au voisinage, tout comme le sont les marchés du samedi débutés avec un peu de retard sur la Place des orangers. Ou le marché de Noël, certes modeste avec ses huit stands, mais néanmoins apprécié.
Ce style et cette offre originale font de l'Hôtel du Couvent un véritable lieu de vie.
Cet hôtel joue en tous cas une partition complémentaire à celle des autres établissements de luxe azuréens. Des établissements sur lesquels l'Office de tourisme métropolitain compte pour renforcer l'attractivité de Nice sur les ailes de saison.
Outre les réservations en tous genres de transports et restaurants, les quatre concierges organisent - à la demande - des visites privées de Nice et (ou) de ses musées, en compagnie d'une guide à la culture imbattable.
Il n'est pas rare toutefois qu'une clientèle argentée et férue d'art et de culture veuille des découvertes en dehors de Nice. Celles, par exemple, des villages pittoresques des environs ou des vignobles. Ou souhaite s'adonner à la création de son propre parfum chez Molinard à Nice ou chez Galimard à Eze.
Lire aussi : Nice : "Notre Luxury Collection va renforcer notre attractivité sur les ailes de saison".
La conciergerie de l'Hôtel du Couvent propose aussi aux amateurs des cours de poterie, de calligraphie et d'estampillage. Des activités pour les enfants également. Elle compte d'ailleurs, à l'avenir, développer cette offre originale. A destination des clients, mais aussi, pourquoi pas ?, des riverains.
Un petit atelier au sous-sol de L'hôtel du Couvent peut accueillir ces leçons. C'est une autre manière de s'ouvrir au voisinage, tout comme le sont les marchés du samedi débutés avec un peu de retard sur la Place des orangers. Ou le marché de Noël, certes modeste avec ses huit stands, mais néanmoins apprécié.
Ce style et cette offre originale font de l'Hôtel du Couvent un véritable lieu de vie.
Cet hôtel joue en tous cas une partition complémentaire à celle des autres établissements de luxe azuréens. Des établissements sur lesquels l'Office de tourisme métropolitain compte pour renforcer l'attractivité de Nice sur les ailes de saison.

Voir tous les articles de Paula Boyer